Récit érotique porno: Débauche bisexuelle au palace cinq étoiles: 1ère Partie (de plaisir)

Prologue

J’espère que tu prendras autant ton pied à lire ce récit que j’en ai eu à l’écrire en me remémorant ces chaudes nuits. Je ne l’ai pas montré à me femme, mais elle en a indirectement profité, parce que je n’ai pas débandé pendant toute la période ou je l’ai écrit et la fréquence et l’intensité de nos parties de baise en ont été démultipliées en conséquence.

 

Première Partie: Variations au clair de lune pour deux bites, trois culs et un vagin 

Fantasme

La journée a été longue, comme souvent dans mes voyages d’affaires, mais je n’ai pas sommeil. Je suis étendu à poil sur le lit king-size de ma chambre d’hôtel 5 étoiles, avec la pleine lune comme seul éclairage de la chambre par la fenêtre ouverte sur la mer.

Je suis un mec bien sous tous rapports, un mètre quatre-vingt cinq, blond, les yeux bleus, pas Brad Pitt, mais avec une petite ressemblance tout de même. Je m’occupe bien de mon corps, je suis bien dans ma peau et dans mes couilles. Je m’entends super bien avec ma femme sur tous les plans, les idées, les goûts, le mode de vie, les amis, la baise. C’est une femme vraiment belle, avec ce qu’il y a de mieux là ou il faut. En plus, elle a de l’humour et elle est complètement décomplexée. J’aime ça. Nos parties de baise en sont le reflet. La nature m’a pourvu d’une longue bite de gros calibre et d’une bonne grosse paire de couilles très pendantes, qu’elle aime prendre bien à fond dans sa bouche presque à les avaler. Me faire sucer les couilles et la trique est un de mes plaisirs favoris, et elle y met une ardeur qui me comble. De son coté, elle est très vite excitable. Son clito est extrêmement érectile et sa vulve mouille dès que mes doigts et ma langue la travaille un peu. C’est donc dans les meilleures conditions que je peux ensuite l’enfiler. Mais elle sait aussi m’offrir son cul quand j’ai envie de l’enculer, ce qui me prends de temps en temps pour varier les plaisirs. Je suis donc un mec comblé, et je n’ai pas de mérite à être fidèle à ma femme.

Mais comme tout le monde, j’ai aussi mes fantasmes. Celui qui me fait bander le plus intensément est de sucer la bite d’un mec pendant que je me fais sucer la mienne. Se serait le pied géant de savoir quelle sensation et quel goût procurent les deux actions conjuguées. Mais ça ne me gène pas que ce fantasme ne reste qu’un fantasme. Je n’aurais pas envie de me faire un mec pour l’assouvir, et surtout, je ne voudrais pas que mon petit cul étroit se fasse bourrer par une bite étrangère. Ca, ce n’est pas du tout mon fantasme!

Ainsi allongé mollement sur ce lit, je me branle doucement pour me détendre, sans penser à rien. Je ne suis pas circoncis. En faisant coulisser la peau de mon membre, le va et vient de mon poignet fait apparaître et disparaître mon gland, ce qui me procure une sensation de bien-être jouissif. Mais il fait assez chaud et humide, je suis moite et il me vient une envie de boire quelque chose de frais. Je me glisse en bas du lit, enfile le peignoir de bain suspendu dans le dressing, et sors de ma chambre pour atteindre l’automate à boissons au bout du couloir.

La sensation de moelleux du tissus éponge qui frotte agréablement mon sexe et de mes burnes qui glissent doucement sur mes cuisses quand je marche contribuent à entretenir mon érection qui pointe effrontément sous le peignoir. Juste avant que je passe devant la troisième porte après celle de ma chambre, elle s’ouvre et une femme se glisse dans le couloir dans la même direction que moi sans se retourner. Sa silhouette se détache dans la lumière crue du corridor au tapis épais, et me coupe le souffle. Elle ne porte qu’un léger déshabillé semi-transparent ultra court, qui laisse plus apparaître qu’il ne cache. Elle pensait probablement elle aussi atteindre l’automate à boissons sans rencontrer personne à cette heure de la nuit. De dos, elle n’a rien à envier à un mannequin. De longs cheveux noirs, des longues jambes au galbe parfait, et un cul de reine aux fesses musclées. Entendant mon pas dans son sillage, juste avant d’atteindre le distributeur elle se retourne à moitié, légèrement surprise, et je peux vérifier que son déshabillé n’est fermé sur le devant que par un seul ruban lâche. Son regard scan ma personne de haut en bas et coule un regard plus insistant à la hauteur de mon sexe. Je me rends compte que mon érection est très visible sous le peignoir, renforcée par ce que je suis en train de mater: Le coté face de cette inconnue est encore plus bandant que le coté pile. Elle a un visage à damner un saint, quasiment sosie de Jennifer Lopez. Les tétons de ses seins de bronze aux larges aréoles sombres transpercent presque la fine toile transparente de son déshabillé qui couvre à peine la toison noire de sa chatte qu’elle essaye aussi discrètement que vainement de cacher entre ses longues cuisses cuivrées. Plus vite revenue de sa surprise que moi, elle me lance: «Toi aussi la moiteur de cette nuit t’as donné des envies, mon grand?». Comme je suis un mec cool et sans complexes, je réponds: «J’avais la gorge sèche, mais te mater me laisse langue pendante. Une bouteille d’eau ne va pas suffire à l’hydrater, pas plus que de la verser sur ma queue ne suffira à la calmer». Avec un petit sourire en coin, elle plaisante: «Moi qui croyait que tu cachais une bouteille de coca sous ton peignoir, je suis choquée». Nous tirons chacun une boisson, et je la laisse repartir en premier en direction de sa chambre, puis je m’engage après elle, frottant la bouteille glacée le long de ma bite pour la décongestionner. Je sens un peu de sueur perler au creux de mes reins dont une goutte s’échappe et roule entre mes fesses.

J’arrive à la hauteur de sa porte qu’elle n’a qu’à moitié franchie, quand elle se retourne et me fait: «Comme la pleine lune a l’air de te faire autant d’effet qu’à nous, viens te payer un peu de bon temps dans notre chambre, beau morceau», sur quoi elle tend sa main libre vers moi, agrippe ma queue et mes couilles sous le peignoir et me tire dans la pénombre de la chambre. Là, j’ai comme un doute: Nous? Notre chambre? Où est ce que je mets les pieds et la bite?

Elle lâche mes burnes en feu, fait tomber mon peignoir, détache le ruban qui retient son déshabillé et se glisse dans mon dos. Elle colle son ventre, ses seins et son vagin moites contre mon dos et me pousse gentiment vers le grand lit que je commence à distinguer à la lumière blafarde diffusée par la lune. Malgré la fenêtre ouverte, l’atmosphère est torride. Je sens les poils de son pubis qui me caressent les fesses et le bout de ses seins qui suintent contre mon dos. Elle passe un bras le long de la raie de mon cul, glisse sa main entre mes cuisses et saisit à nouveau à pleine main mon manche qu’elle tire vers l’arrière. Je suis totalement en rut. Je me laisse pousser à quatre pattes en travers du lit, la main de Jennifer Lo toujours solidement arrimée à mes testicules et à mon membre prêt à exploser, son autre main m’ébouriffant les cheveux depuis l’arrière, et sa bouche collée à mon cou, juste à la racine de mon oreille. Je suis si excité que j’ai du mal à penser. Je distingue tout de même de l’autre coté du lit une forme allongée sur le dos droit devant mon nez qui dit d’une voix ensommeillée: «tu as ramené quelque chose à se mettre sous la dent?» «j’ai mieux que ça» répond Jenny d’un ton rauque et elle allume une lampe de chevet. Le jeune éphèbe qui est vautré nu sur les oreillers les cuisses légèrement écartées ouvre un œil, et après avoir apprécié la scène, sourit d’un air assez lubrique. C’est un grand latino à la peau matte, musclé en carrés de chocolat avec des cuisses et des bras de sportif accompli, une gueule à la Antonio Banderas. Il est entièrement épilé, a l’exception de sa chevelure noire en désordre et d’une toison bien taillée qui boucle au dessus de la base de la longue et grosse bite couleur café qui repose sagement sur ses cuisses, entre lesquelles pendent de copieuses burnes un peu à l’étroit dans leur enveloppe de peau bistre. «Salut Brad Bite», il me fait, «On vient de finir de baiser, mais si t’es partant, on peut remettre ça à trois, tu m’as l’air d’avoir des ressources!». Là, je me dis: eh mon vieux c’est ton fantasme qui te tends les bras, et je fais: «Ca pourrait se faire, Antonio Bande Dur, tringler ta J Lo en suçant ta belle queue c’est mon fantasme, j’en salive déjà».

Je sens la chevelure soyeuse de Jennifer Lo glisser de mes épaules vers mon torse lorsqu’elle se décolle de mon dos, libère ma queue, et se glisse sur le lit à l’envers, sa tête renversée maintenant à hauteur de la mienne. Je me laisse aller sur le côté et soude un instant sa bouche inversée à la mienne, mais elle m’échappe et commence à me lécher le cou en descendant lentement le long de ma poitrine. Comme elle a les bras passés au dessus de la tête, ses mains ont pris de l’avance et caressent déjà fermement le contour des muscles de mes fesses. Ses seins gonflés aux aréoles dilatées me passent devant les yeux. Je les happe à pleine bouche et les suce goulument. Sa langue s’arrête aussi un peu pour mouiller et titiller mes tétons durcis, puis continue de descendre insidieusement le long de mon ventre aux muscles contracté. Sa langue fouille mon nombril et le rempli de salive pendant qu’elle m’arrache quelques poils avec les dents et que ses ongles m’enserrent déjà le gland et s’enfoncent dans la peau de mes couilles. Je suis au bord de la syncope. Mes mains moites sont arrivées au niveau de son fessier généreux, les doigts des deux mains réunis dans la raie de son cul tirant pour écarter ses fesses épanouies que mes paumes malaxent. Ma bouche est à hauteur de son con bouffi à l’odeur puissante de moule qui émerge des poils noirs de sa toison bouclée et dont les lèvres largement offertes se gonflent en rythme avec sa respiration haletante et suintent de façon tout à fait obscène. Enivré par les effluves de son vagin, j’y plonge le nez, la bouche, la langue, et m’y vautre sans retenue, suçant à pleine bouche et lapant le suc qui suinte de sa vulve et qui se mélange à ma salive. L’entendre gémir de plaisir me stimule encore plus, mais mon attention est détournée lorsque je sens pendant quelques secondes son haleine chaude sur ma bite avant qu’elle ne fasse doucement glisser mon gland entre ses lèvres entrouvertes, sans relâcher la prise de ses doigts autour de l’attache de mes couilles, fourrageant les poils humides de mon sac et de mon cul de son autre main. Puis elle commence à m’aspirer à l’intérieur de sa gorge avec un mouvement en spirale de sa langue qui manque me faire chavirer. Elle a plaqué une main sur mes fesses tendues et, aidée par le flot de sueur qui me mouille le dos et a coulé entre mes fesses, elle enfonce lentement son index dans le trou de mon cul qui du coup se relâche pour l’accueillir. De mon côté, j’empale ma bouche sur son clitoris qui me semble d’une taille démesurée et qui me fais soudain penser à mon fantasme. Je réalise alors que Tonio a roulé près de nous deux, sa tête presque contre la mienne, et qu’il me susurre à l’oreille: «eh, Brad Bite, laisse en pour moi, et occupe toi plutôt de mon gland orphelin». Il me prend par les épaules et me tire doucement en arrière, arrachant de la moule ouverte de J Lo ma bouche dégoulinante pour la présenter à sa verge qui a maintenant développé une érection spectaculaire. Sa queue légèrement cambrée a plus que doublé de volume et doit mesurer au moins18 centimètres de long. Le gland turgescent d’un brun plus foncé est énorme et luisant. Il en a déjà suinté un peu de liquide séminal qui forme une goutte transparente en son sommet. L’odeur épicée de son membre tendu me dilate les narines. Je saisis religieusement ce monolithe et l’approche de ma bouche haletante. Une grosse veine court sur toute sa longueur, et je la sens battre dans ma main. Je commence par promener délicatement ma langue autour de la base du gland qui réagit en gonflant encore un peu plus, puis je lèche la sécrétion au gout acidulé qui en perle. Je sens ses fesses musclées se contracter et son bassin se tendre vers moi.

Un frisson délicieux me contracte les couilles et court le long de ma bite. J’imagine la vision que doit procurer le triangle formé par nos trois corps, Tonio Bandeur en train de branler le clito de J Lo avec sa langue, pendant qu’elle ramone mon membre aux poils blonds avec assiduité et que je suce avec avidité le monstrueux gland du métisse.

Ma main trouve ses lourdes couilles imberbes et pleines que je soupèse avant de les attirer vers ma bouche et de les lécher copieusement. De mon autre main, je commence à caresser l’espace de peau qui les sépare du trou de son cul. il écarte les cuisses, lève un peu son bassin et ouvre ses fesses dont les muscles sont maintenant relâchés. Du coin de l’œil, je vois que ses mains à lui ne sont pas inactives non plus. Il travaille les tétons de Jenny, les pinçant délicatement entre ses doigts et les étirant en tous sens, pendant qu’il continue de fouiller sa chatte et de faire vibrer son clitoris avec la langue. De son coté, elle est en train de lécher ma biroute sur toute sa longueur, une main emprisonnant toujours mes boules prêtes à exploser, l’autre bien calée dans la raie de mon cul, avec l’index qui me branle énergiquement le trou de balle en cadence. A mon tour, je fais glisser mon index fébrile jusqu’à la fleur de l’anus mouillé de sueur du beau latino et le lui enfonce sans peine bien profond en un mouvement vissé. Nous sommes tous deux dans la même enviable situation. Je fais à Tonio tout ce que Jenny me prodigue et je peux vivre avec mes doigts, ma langue, et dans ma bouche, tout ce que ma bite congestionnée, mes testicules enflammés et mon cul dilaté ressentent sous ses caresses. Tous les trois nous laissons échapper des soupirs d’aise et d’excitation. La bouche pleine de mon engin gonflé à péter, Jennifer me pompe le gland tout en le massant de sa langue. J’ai appuyé mon cul sur sa main si bien que son index est enfoncé à fonds et m’excite la prostate. Tout mon corps est bandé comme un arc. J’ai l’impression de n’être qu’une immense bite tellement tendue qu’elle va éclater. Ma bouche peut à peine contenir la moitié de la queue de Bande Dur, et j’ai l’impression que son gland va m’étouffer tant il est enflé. Je le sens battre au rythme de mes succions et mes coups de langue semblent l’électriser comme le mien. Nom de Dieu, je sens que je ne vais pas pouvoir supporter cet état beaucoup plus longtemps, je suis sur le point de découiller.

Jennifer pousse un long gémissement, son clito et sa vulve doivent être au paroxysme de l’excitation. Une série de spasmes secouent son corps qui se cambre, et son vagin libère une vague généreuse qui inonde le visage de Tonio encore enfoui dans sa touffe. A son tour, il se raidit, je sens ses fesses se serrer autour de mon doigt et son membre se contracter entre mes lèvres. Puis son gland démesuré explose sa purée chaude dans ma bouche et me remplis la gorge. J’étouffe à moitié en avalant son sperme dont je découvre le goût salé et la consistance glaireuse. C’en est trop, je sens partir de mes couilles aussi dures que du bois un flot irrépressible qui monte dans ma queue hypertrophiée jusqu’au gland dilaté à l’extrême, et avec un rugissement rauque je lâche moi aussi une copieuse giclée de foutre dans le gosier de J Lo en un feu d’artifice qui lui coupe le souffle et la force à avaler en hoquetant.

Elle se laisse retomber pantelante et en sueur sur le lit, un filet de ma semence coulant de sa bouche jusqu’entre ses seins, éteint la petite lampe et ferme les yeux. Le visage et les cheveux encore mouillés du jus déchargé par Jennifer, Tonio est pourtant le seul à ne pas avoir la bouche dégoulinante de foutre. Il me saisi la queue à pleine main, l’enserre sans serrer trop et se la presse en douceur contre les lèvres pour récupérer quelques gouttes de découille sur sa langue. Ses cheveux m’humectent agréablement l’entre-jambes et quelques gouttes de sa transpiration me coulent le long des couilles. Dans la lumière blafarde de la lune, à mon tour je prends dans ma main sa queue déjà un peu moins dure d’ou suinte encore un peu de sperme épais et en caresse la peau soyeuse, puis je la remets délicatement dans ma bouche encore gluante de foutre et la suce doucement. Maintenant qu’elle est un peu calmée et a repris des proportions plus raisonnables, j’arrive juste à me l’enfourner en entier avec ses couilles, le nez pressé contre ses poils pubiens au parfum âcre. La tension retombe lentement. Lorsque nos bites sont calmées malgré nos caresses mutuelles, il regagne ses oreillers et s’y jette de tout son long sur le ventre, les fesses luisantes de sueur au clair de lune. Moi je ne bouge pas, je m’affale sur le dos au bord du lit, les jambes écartées, les pieds posés sur la moquette, les yeux clos. D’une main j’étale la sueur qui trempe mon ventre, ma poitrine et mes cuisses, et je m’en lave la queue collée de sperme figé. Malgré la fenêtre ouverte, une agréable odeur musquée de baise flotte dans la chambre retombée dans une moite pénombre.

Promiscuité

Jennifer reprends ses esprits plus vite que nous. Il est vrai qu’elle doit être un peu frustrée. Ni ma bonne grosse bite qu’elle à maté, palpé et sucé jusqu’au trognon, ni la trique géante de son branleur café au lait n’ont trouvé jusqu’ici le chemin de sa moule ou de son cul. Les yeux fermés, je la devine qui rampe jusqu’à moi. Elle glisse son ventre luisant sur le mien, ses seins en caressant le duvet, les mains plaquées sur mes épaules, et m’enfourche carrément. Sa croupe sur mon bassin, les jambes repliées de chaque côté des mes hanches, sa vulve béante enveloppe mon sexe innocent et l’englouti dans sa chaude moiteur. Sa bouche effleure le bord duveteux de mon oreille, ses dents en mordillent le lobe, puis elle me prend la tête entre ses mains, colle avidement ses lèvres pulpeuses aux miennes et nos langues prennent fougueusement possession l’une de l’autre en un long baiser appuyé. A tâtons, mes mains partent à l’assaut de ses seins lisses et fermes qu’elle à décollés de ma poitrine, et les pétris, tout en massant de mes pouces les bouts humides de ses tétons transpirants qui réagissent en durcissant.

Nos bouches se sont dessoudées, ses lèvres dérivent le long de mon torse, trouve mon sein et sa langue en agace le bout avant de s’attaquer à l’autre pour le réveiller lui aussi. Mes tétons humectés réagissent au quart de tour et me font presque mal tant ils se contractent. Jenny a glissé ses mains sous mes fesses et commence à remuer doucement son bassin en un lancinant mouvement circulaire. Elle commande aux muscles de son vagin une série de contractions lentes qui se transmettent en pressions rythmées à ma verge déjà moins paresseuse. Un fourmillement intense me parcourt les burnes et je sens ma queue se retrousser lentement, dégageant le gland déjà excité, et s’enfler en une monstrueuse érection qui remplis l’antre de J Lo jusqu’à en toucher le fonds, comme un sabre rentre à fonds dans son fourreau. A part mes mains travaillant toujours activement ses seins, je reste sans bouger, les yeux maintenant grands ouverts, tout entier abandonné aux sensations qui montent en moi.

Tonio sort lui aussi de sa léthargie et se glisse vers nous. Sans un mot, il s’empare d’une de mes mains et la conduit fermement à son entre-cuisses. Je referme les doigts sur son membre engourdi, jouant en passant à faire rouler ses grosses boules dans leur bourse et je commence à le manipuler, faisant coulisser doucement la peau autour du gland, mon pousse effleurant la grosse veine maintenant familière. Sous la pression de mes doigts, je sens sa belle bite basanée se raidir et se déployer rapidement dans ma main pour atteindre la taille monstrueuse que je lui connais. Je me mets à le branler plus fortement, mais il se dégage bientôt, roule en bas du lit et disparaît de ma vue. Très vite je sens sa tête se faufiler entre mes cuisses en les écartant. Je devine qu’il s’est agenouillé entre mes pieds toujours posés sur la moquette. Je sens ses cheveux me balayer les roustes et son souffle chatouiller les poils de mon cul avant qu’il ne se mette à lécher le pourtour de mon trou du cul qui se dilate d’aise sous les longs coups de sa langue râpeuse. Jennifer roule son bassin d’avant en arrière pour faire coulisser mon nœud dans son écrin en un va et vient qui me fait bander encore plus et commence à la faire copieusement mouiller.

Je suis pour continuer comme ça indéfiniment, mais Tonio se redresse, lâche un filet de salive qui me baigne la fleur du cul et de la main guide comme une tête chercheuse sa verge raidie vers mon trou de balle que son gland disproportionné essaye de forcer. «Oh, mon salaud» je gueule «tire ta queue de mon cul, c’est pas du tout mon fantasme!». Avec un grognement de dépit, il obtempère et rétorque: «Sorry mec, il est trop tentant, mais alors fais pas l’égoïste, laisse moi une place au chaud». Il se relève et du coup vient s’assoir à califourchon sur mes cuisses, derrière Jennifer, le ventre collé à ses fesses et le torse à son dos. Heureusement mes pieds sont solidement campés au sol et supportent son poids. Il pousse Jenny un peu en avant, faisant sortir presque en entier mon phallus boursouflé de sa vulve convulsée, et glisse sa grosse bite contre la mienne, avec ses couilles qui pendent par dessus les miennes jusqu’à mon trou du cul qu’elles frottent. Je comprends maintenant ou il veut en venir, et une bouffée d’excitation supplémentaire me monte au cerveau.

Je passe une main entre la fesse de Jenny et la cuisse de Tonio, saisi nos deux bites accolées que j’arrive à peine à contenir dans ma main et les enfourne avec peine dans la fente qui s’écartèle pour les laisser entrer les deux ensemble. Je garde le pouce et l’index en anneau autour de nos instruments pour les guider et mieux sentir leur promiscuité. Je sens le sang battre de concert dans nos gourdins en rut. De mon autre main, j’atteins vicieusement nos roustons durcis que je masse ensembles. Nous commençons à tringler la bonne J Lo qui gémit d’être si pleine de nos énormes bites et baigne nos couilles de son jus. Nos queues sont deux âmes sœurs et battent au même rythme. Nous n’avons pas besoin de limer de la sorte longtemps avant de sentir une lame de fonds nous inonder, tremper nos couilles et mes mains. Sans que nous nous soyons concertés, je sens que nous allons tous deux jouir aussi, et c’est dans une série de spasmes furieux qui secoue nos deux corps que nos engins crachent de furieuses giclées de sauce au fonds de la grotte détrempée de Jennifer qui s’écroule sur ma poitrine. Bande Dur se laisse aller sur elle et nous restons comme cela un bon moment, seule ma main encore active à triturer nos couilles vidées de leur suc, et Jenny encore parcourue de frissons répétés, les mains crispées sur mes fesses. Lorsque je sens que nous commençons à débander, je débarque mes deux fardeaux sur le lit d’une torsion des hanches, éjectant nos deux biroutes baveuses avec un bruit de succion, je me tourne sur le ventre en essuyant ma sueur et mon foutre au drap, et m’endors presque instantanément.

Baptême

Je ne sais pas si j’ai dormi longtemps, mais mon réveil est assez brusque et déplaisant: Je suis toujours couché sur le ventre, le visage enfoui dans les draps, mais je ne peux plus bouger. Mes jambes sont largement écartées de part et d’autre de l’angle du lit, les pieds probablement entravés par des draps entortillés autour des chevilles et attachés à deux pieds du lit. Malgré mes contorsions, ces liens empêchent tout mouvement de mes jambes écartelées. Mes bras et mes épaules étalés en croix sont immobilisés par les cuisses de cette salope de Jennifer agenouillée sur mes biceps, les fesses assises sur la base de mon crâne, pressant ma tête dans les draps. Je sens les lèvres ouvertes de sa vulve appuyer sur ma nuque et la tartiner de notre foutre qu’elle dégorge encore. Ses avant-bras sont appuyés sur mes reins et ses mains m’écartent les fesses sans ménagement. J’entends Tonio s’affairer au bas du lit et je réalise la situation foireuse dans laquelle je suis. Je me mets à gueuler, protestant que mon cul n’est pas pour lui, mais le son de ma voix sort étouffé et inarticulé des draps. Toutefois, il me répond calmement: «Pas de panique, Brad, je vais pas te détruire le cul, mais MON fantasme c’est de le remplir de mon foutre, c’est tout». J’enrage d’impuissance.

La tête de ce salaud de métèque à repris la place qu’elle avait tout à l’heure entre mes cuisses ouvertes, mais sa langue qui me lèche le trou du cul ne me fait pas du tout le même effet. Le salopard basané s’éloigne de mon trou de balle quelques instants, puis je sens qu’il m’y enfonce le goulot étroit de ce qui me semble être un flacon en plastique mou à l’embout caoutchouté qui y pénètre de quelques centimètres. Malgré tous mes efforts, l’écartèlement de mes cuisses et les mains de Jennifer m’empêchent de serrer les fesses pour protéger mon cul comme je le voudrais. Une longue giclée d’un liquide tiède et huileux me remplis le fondement avant que qu’il n’en retire l’embout. Ce foutu connard est en train de me lubrifier le cul pour pouvoir mieux m’enfiler. J’entends d’ailleurs un bruit de succion qui doit provenir d’un gel dont il enduit sa maudite barramine. Je contracte au maximum les muscles de mon sphincter pour faire barrage aux assauts futurs de son braquemart. Il ne m’aura pas! Mais presque tout de suite, une immense bouffée de chaleur envahit mon cul dont les parois se dilatent et deviennent brûlantes. Il doit m’avoir injecté une huile fortement pimentée, et maintenant je ne demanderais qu’une chose, c’est de pouvoir ouvrir mon cul plus grand et qu’on m’y coule un liquide glacé pour le refroidir. C’est le moment qu’il choisit pour pousser son gland d’acier dans la fleur de mon cul. Le gel qui le lubrifie doit être mentholé, car j’ai la sensation d’un piton de glace qui commence à apaiser l’entrée de mon cul et dont j’aimerais qu’il pénètre plus profond pour éteindre l’incendie qui l’embrase en entier.

Sentant ma résistance se transformer en désir soumis, Jennifer quitte sa position de tortionnaire, passe les fesses par dessus ma tête, m’autorisant du coup à redresser les épaules, prendre appui sur les avant bras et relever la tête. Renversée sur le dos, elle glisse ses jambes sous mon torse, saisit ma biroute à nouveau en pleine érection entre ses pieds et présente à ma vue sa chatte pulpeuse dont elle dégage avec les doigts les lèvres et le clitoris déjà bandant. Je comprends qu’elle veut aussi sa part du gâteau, et l’aide à se glisser sous moi jusqu’à encastrer ma grosse banane dans son con affamé et gourmand, ses jambes repliées, les genoux contre mes épaules.

Le mandrin de Bande Dur a lentement pénétré mon cul comme un piston, centimètre par centimètre, et je sens son gland qui bouscule ma prostate. Je dois bien m’avouer que ça m’excite à mort. Les contractions de sa grosse bite se transmettent aux parois de mon anus et je lui réponds en le resserrant sur elle au même rythme. Il entame ensuite un prudent va et vient qui fait coulisser son immense membre lubrifié et soyeux comme dans un fourreau parfaitement ajusté. Ses couilles se frottent aux miennes, m’en hérissant les poils. De mon côté, j’ai empoigné les fesses de J Lo et transmet à son bassin le même mouvement rythmé. J’ai l’impression que mon madrier furieusement stimulé prend autant de place que nos deux bites réunies dans la séance de tout à l’heure. En fait, je suis le seul à rester parfaitement immobile, toutes les parties de mon corps électrisées, alors que les deux autres s’activent à m’astiquer à fonds le cul et la queue d’avant en arrière. Mon violeur se met à accélérer la cadence des coups de boutoir dont il me ramone le trou de balle, son sac de couilles cognant en rythme contre le mien comme le battant d’une cloche. D’une main après l’autre, Il me claque furieusement les fesses. Nos trois corps sont maintenant embarqués dans un même va et vient frénétique qui affole mes sens. Avec un puissant râle, Tonio éjacule en un spasme violent et décharge un feu d’artifice de foutre qui m’expose dans le cul et en crépit le fonds, mais, trop abondant pour l’étroit espace laissé par son membre démesuré, déborde de mon anus distendu et coule sur mes burnes affolées. Jenny ne nous a pas attendu pour jouir et à déjà noyé mon braquemart de son jus abondant, secouée de spasmes qui éjectent ma bite de sa moule. Avec un brame puissant, je laisse à mon tour mon engin orphelin envoyer sa pleine dose de purée en longs jets laiteux à travers sa figure levée vers moi. Jenny suffoque mais agrippe ma lance de pompier à deux mains et l’enfourne dans sa bouche maculée de foutre pour en traire une dernière giclée. Je ressens un grand vide quand Antonio retire son engin gluant de mon cul rassasié.

Je m’affale sur la moquette, la bite encore dardée, saisissant au passage ma bouteille qui y avait roulé. J’asperge d’eau gazeuse ma queue et ma figure autant que j’en fais couler dans ma gorge desséchée. Je suis moulu, j’ai l’impression que tous mes muscles sont endoloris, j’en ai eu ma dose. Les deux autres sont écroulés sur un coté du lit dans le prolongement l’un de l’autre, l’air tout aussi rétamés que moi. Couchée sur le dos, elle a appuyé sa tête sur les cuisses du latino, qui gît sur le ventre, la tête sur un bras et l’autre pendant du lit.

Je me relève paresseusement, la verge un peu débandée, et m’approche du lit dans la pénombre, tous les muscles relâchés, les bras ballants. Debout au bord du lit, je laisse pendre une main molle qui trouve son chemin entre les cuisses entrouvertes de Jenny. Je laisse traîner nonchalamment ma main qui longe l’intérieur de ses cuisses, se perd quelques instants dans sa fourrure humide, avant que mes doigts n’atteignent sa fente poisseuse qu’ils écartent et remontent jusqu’à effleurer le clito. Mes doigts dessinent un sillon le long de son ventre mouillé, suivant la ligne de son sein dont il taquine doucement le bout assoupi, puis de son cou pour atteindre sa bouche dans laquelle ils se faufilent. Jennifer les happe et les suce gentiment. D’une main, elle attire ma queue vers sa bouche, y pose doucement les lèvres et murmure «Merci belle bite, revient quand tu veux». Ma main poursuit son chemin, caressant sa joue puis ses cheveux répandus sur les cuisses luisantes de Tonio entre lesquelles mes doigts se glissent avant d’atteindre la raie de son cul dans laquelle ils se plantent et qu’ils suivent lentement en glissant sans peine jusqu’au creux de ses reins détrempés. Du plat de la main, j’essuie son dos en sueur en remontant jusqu’à l’épaule que je presse affectueusement sous ma paume, pour finalement pousser mes doigts écartés en peigne en haut de sa nuque et rebrousser ses cheveux épais. Il lève mollement son bras pendant du lit, soulève du dos de la main mes couilles et mon sexe alanguis comme s’il voulait les soupeser, et me fait: «T’as pas l’air de trop m’en vouloir pour le baptême de ton cul, mon frère, c’est cool». Sans répondre, je me dirige sans hâte vers la porte, ramassant au passage mon peignoir que je jette sur mes épaules sans l’enfiler, et je me glisse hors de la pièce dont je referme la porte doucement après avoir vérifié que ma clé se trouve toujours dans la poche de ma robe de chambre. J’enregistre le numéro de la chambre: 369 – facile à retenir!

A la lumière crue, je réalise la vision obscène qu’aurait quelqu’un qui déboucherait dans le couloir: Mon corps est luisant de transpiration, les poils de ma queue, mon ventre et ma bite sont maculés de semences séchées, et de mon cul coule encore du foutre brunâtre le long de mes cuisses. Je presse le pas, m’engouffre dans ma chambre, balance mon peignoir et entre dans la douche. Le premier contact de l’eau glacée qui tombe sur ma tête et m’inonde le corps me saisit, mais je reste un long moment sans bouger sous cette pluie drue. Je me savonne avec vigueur, puis je règle la pomme de douche en position massage, la colle à mon anus et laisse le jet puissant me récurer le fondement. Complètement ragaillardi, je m’emballe voluptueusement dans un linge moelleux pour me sécher, me jette à poil sur le lit et m’endors presque aussitôt.

Soupçon

Les rayons du soleil qui pénètrent par la fenêtre m’ont à peine réveillé en me caressant les fesses que mon téléphone portable se met à vibrer sur la table de nuit. Je vois que c’est ma femme qui appelle et je décroche, toujours enfoncé dans les oreillers. Je suis content d’entendre sa voix enjouée: «Bonjour mon chou, bien dormi? Comment s’est passée ta soirée?» «Très calme, je suis resté dans ma chambre à me branler en regardant un DVD porno où une belle plante se faisait mettre par deux gars à la fois (assez bandant je dois dire), et puis j’ai dormi comme un bébé jusqu’il y a deux minutes». Je n’allais tout de même pas lui avouer que j’avais passé la nuit avec un couple inconnu à téter un braquemart, baiser couilles rabattues à deux bites dans le même trou et me faire bourrer le cul! «Et toi, passé une bonne journée ma puce?» «Pas mal, mais puisque tu me parle de porno, il faut que je t’avoue quelque chose: Hier matin, je suis allé à la mer. Je voulais bronzer nue dans la petite crique où nous allons des fois baiser à l’abri des regards, mais elle était déjà occupée. Tu sais, le jeune maître nageur sénégalais grand format dont tu dis toujours qu’avec les fesses qu’il a, il aurait meilleur temps de porter un string que son mini-slip rouge Ferrari qui ne les lui couvre qu’à moitié. Eh bien c’était lui qui était étendu à poil sur notre sable, mais il était pas seul. Il y avait aussi un blond aussi bien foutu que lui, et les deux balèzes se suçaient la bite avec ardeur. J’en suis restée bouche bée, tu peux me croire. Je me suis retirée sans être vue et je me suis installée en maillot sur la grande plage où je me suis assoupie. Mais il faut croire que le spectacle de ces deux mecs en train de se bouffer la queue m’a travaillé, parce que je suis partie dans un rêve cochon que j’ose à peine te raconter: J’étais de nouveau à la crique, cette fois avec les deux mecs, à califourchon sur les cuisses athlétiques du jeune blond qui s’était couché sur le sable. J’avais sa grosse bite bien emmanchée dans mon sexe, mais c’est pas tout, j’avais aussi la bouche pleine de la monstrueuse queue du négro, debout les jambes de part et d’autre de son copain, et je le suçais avec délice. Le grand black m’a ensuite contournée pour venir s’agenouiller derrière moi et me planter son engin démesuré dans le cul. Dans mon rêve, les coups de bélier des deux triques me décollaient du sol, et je jouissais en quasi lévitation. Quand je me suis réveillée, la culotte de mon maillot était trempée, et j’ai couru à la mer pour en cacher la raison et me rafraîchir. Alors, tu vois, heureusement que tu rentre demain, parce que j’ai énormément envie de baiser et de sentir ta queue en moi». Je l’assure que je serai à la hauteur de son attente et qu’elle ne perd rien pour attendre, je l’embrasse partout à distance et je raccroche.

Je reste songeur. Je me dis que son rêve que je visualise très clairement était un peu trop détaillé pour être honnête, et me prends à soupçonner que sa rencontre avec ces deux mecs montés comme des ânes s’est en fait réellement passée et qu’elle se les est vraiment envoyés par tous les orifices. Je dois admettre que cette idée m’excite au plus au point et je me prends à souhaiter que la crique revive ces instants en ma présence. Les images de son récit se mêlent à celles de ma nuit mouvementée et me foutent une trique monumentale. Je me dis que d’ici à ce soir je serai mûr pour une séance du style de celle d’hier avant de rentrer demain, mais peut-être que cette fois ce sera mon tour de décider quel culs se feront défoncer.

Sur le coin du bureau, je griffonne une petite note: Je laisserais bien ma biroute et mon cul défloré traîner encore à votre portée ce soir…Brad Bite, et la glisse dans une enveloppe de l’hôtel. Je jugule mon érection dans un slip propre et me sape en homme d’affaires dans mon costume Armani pour descendre prendre mon petit déjeuner. Comme je passe devant la chambre 369, je vois que la porte en est entrouverte. Je la pousse discrètement du pied pour guigner à l’intérieur, et constate avec surprise qu’elle est vide, les lits faits, sans aucune trace d’effets personnels. Je me précipite jusqu’à la réception et demande quand le couple qui occupait la chambre 369 est parti. La réceptionniste consulte son registre et me dit d’une voix surprise: «Mais Monsieur, je suis désolée, cette chambre n’a pas été louée ces deux dernières nuits». Perplexe et songeur (je ne peux pas avoir rêvé tout ça), je me dirige vers la salle à manger, passant devant un jeune type sanglé dans un costard bien coupé et dont le badge doré proclame fièrement qu’il dirige ce palace. Il me lance avec un sourire narquois: «Bonjour Monsieur, j’espère que votre séjour dans notre établissement comble vos attentes», c’est à ce moment que je reconnais avec surprise Bande Dur. Je lui rends son sourire et lui fais un clin d’œil appuyé mais je continue mon chemin sans répondre. L’hôtesse du restau m’accueille elle aussi avec le sourire et me demande mon numéro de chambre que je lui donne d’autant plus volontiers que c’est la J Lo de la nuit dernière.

Ma gaule du matin

  • : 26/06/2008
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