Récit érotique porno: Initiation bisexuelle sous les tropiques: 1ère partie (de sexe débridé)

Première Partie: Une île où le sexe est roi

J’habite une petite île paradisiaque du pacifique, le genre palmiers dans une nature luxuriante, lagon turquoise, plages de sable et douceur de vivre.

Je m’appelle Thebo, je suis un jeune black assez grand, avec un visage harmonieux, mangé par une barbe naissante et les cheveux fous en longs rastas. On dit que le corps d’ébène dont j’ai hérité est proche de la perfection, bien proportionné et très musclé par tout le sport que je lui fais faire.

Mes concitoyens ne sont pas tous aussi noirs de peau que moi. A cause de tous les marins et flibustiers qui ont accosté notre île à travers les âges et y ont copieusement copulé avec les femmes d’ici, on trouve des corps de toutes couleurs dans notre petite communauté, du presque blanc aux cheveux blonds au noir le plus sombre en passant par tous les métissages.

Parce que l’histoire de mon île a toujours baigné dans le sexe, ses habitants ont un rapport très libre et ouvert avec leur sexualité. Le seizième anniversaire y représente une étape importante, marquée par une initiation sexuelle qui constitue en quelque sorte un rite de passage pour les jeunes hommes et femmes de l’île.

Tout d’abord, le chef du village réunit les jeunes qui ont eu seize ans dans les mois précédents, leur explique dans le détail comment exploiter toutes les ressources de leur corps sans tabous, et leur apprend à donner et prendre un maximum de plaisir sexuel sans inhibition. Puis les jeunes sont laissés à eux-mêmes toute une nuit sans témoins par groupes de quatre pour mettre en pratique les enseignements du sage et découvrir leurs préférences sexuelles.

Tout comme mon copain Bandaï et les deux plus belles filles de mon âge, Vulgine et Monoa, j’ai fêté mes seize ans, je suis puceau et impatient de découvrir enfin tous les plaisirs du sexe partagés qui me font fantasmer un max lorsque je me branle le nœud consciencieusement en matant des vidéos pornos.

Ce matin, le chef nous a expliqué les préparatifs à cette initiation et les différentes choses que nous pourrons expérimenter les quatre pour atteindre la nuit prochaine notre pleine maturité sexuelle.

Douloureuse épilation

La première chose que nous devons faire en ce début de soirée, Bandaï et moi, c’est de nous épiler mutuellement le corps à la cire chaude. Bandaï se met à poil le premier et s’étend sur la table de la terrasse du bungalow qu’on nous a prêté pour que nous puissions opérer tranquillement. C’est un grand métis au corps fuselé par les compétitions de natation, sans un poil de graisse, les cuisses et les bras puissants, la poitrine bien découplée, les abdos ciselés en carrés et la ligne d’aine bien marquée. Son visage d’ange est encadré par de longs cheveux foncés très épais qui tombent sur ses larges épaules. Contrairement à moi, il n’est pas très poilu, sauf au niveau du pubis qui disparaît dans un foisonnement de poils noirs. Je commence par appliquer les bandes de cire chaude sur son torse. Je le sens se crisper un peu lorsque les poils de ses tétons s’arrachent avec la bande de tissu, mais il n’a pas l’air de trop souffrir. La séance continue avec le devant des jambes et des cuisses. Il se tourne ensuite sur le ventre pour que je puisse terminer l’épilation de l’arrière de ses cuisses. Son dos présente un beau tatouage géométrique qui vient mourir à l’échancrure de ses fesses. Je m’attaque ensuite aux poils qui frisent autour de son trou du cul, que je lui arrache en même temps qu’un cri rauque de douleur. En sentant ma bite durcir dans mon short, je découvre que j’éprouve un malin plaisir sadique à maltraiter son anus, mais lorsqu’il se retourne à nouveau sur le dos, je constate que ce maso s’est lui aussi mis à bander grave. J’empoigne sa longue verge bien droite d’une main et m’empresse de poursuivre ma torture à son entre-jambes, son sac de couilles et la base de sa queue. Il réagit avec force beuglements, mais je sens sa biroute se dilater encore plus dans ma main à chaque arrachement, et je continue de développer moi-aussi une érection carabinée. Il se relève, le corps maintenant complètement glabre, et la vison obscène de sa longue biroute dure au diamètre imposant fièrement dressée et de ses grosses couilles imberbes et bien pendantes ne me laissent pas indifférent.

Je baisse à mon tour mon froc, lui dévoilant du coup mon émoi, et me fais traiter de salaud de sadique qui ne perd rien pour attendre. En effet, comme je suis très poilu, je sens que je vais déguster, et ne suis pas sûr d’y trouver du plaisir. Mon bourreau propose de commencer par mes parties génitales arguant que se sera plus facile avec ma queue en érection qui tend la peau de mes couilles. L’opération se révèle aussi douloureuse que je m’y attendais, et ma bite qui se ramollit me confirme que je ne suis pas masochiste. De son côté, Bandaï prends clairement son pied à me martyriser, comme en atteste son sourire cynique et la persistance de sa formidable érection. Une fois mon calvaire terminé, tout le corps en feu, du poitrail aux mollets en passant par les burnes et la raie du cul, je me fais enduire d’un baume apaisant que j’applique aussi avec une certaine délectation sur tout le corps lisse de mon copain. Sa queue n’a pas débandé durant toute la séance et balader mes mains sur tout son corps a redonné vigueur à la mienne qui s’est redressée à la verticale, mais nous n’y faisons pas allusion même si nos regards gourmands en disent long sur nos pensées.

Les taureaux entrent dans l’arène

Nous enfilons les strings en peau de python que nous avions préparé pour l’occasion, comprimant à l’extrême nos braquemarts toujours turgescents, cachons le tout dans nos bermudas extra larges et sortons sur la plage pieds et torse nus. La nuit est entre temps tombée, et nous avons hâte d’atteindre la chambre d’initiation en bambous dont nous distinguons les pilotis plantés dans l’eau au bord de la plage. Nous grimpons impatiemment l’escalier d’accès éclairé par quelques flambeaux plantés dans le sable. L’entrée de la maison au toit de palmes est fermée par un panneau de fibres tressées qui ne résiste pas à notre poussée fébrile et que nous refermons derrière nous, pour découvrir enfin l’espace ou vont se dérouler nos ébats. C’est une pièce circulaire, sur le sol de laquelle on a jeté une grande natte écarlate. Les murs sont presque entièrement couverts de tapisseries brodées qui présentent de multiples scènes franchement pornographiques. Les torchères fixées aux murs procurent une lumière chaude et dansante et projettent de longues ombres qui modulent la pénombre. Au milieu de la chambre se dresse un grand podium rectangulaire de cinquante centimètres d’épaisseur en fibres tressées, recouvert d’une épaisse natte matelassée et de quelques coussins rebondis. Au dessus d’un des angles du podium, une nacelle ovoïde est suspendue au faîte du toit par une corde en lianes tressées. Elle est faite de tiges de bambous entrecroisées en un canevas lâche, largement ouverte sur l’avant, avec un trou de la taille d’une grande assiette dans le fonds arrondi situé à une vingtaine de centimètres au dessus du podium. Notre mentor nous en avait parlé, comme des calebasses en demi-sphères décalottées remplies de liquides colorés et des divers accessoires de formes allongées qui sont disposés au sol contre la paroi. Dans l’air flotte un parfum suave d’ambre musqué et il règne dans la pièce une douce torpeur un peu moite.

Vulgine et Monoa nous ont précédés et sont installées sur le podium, appuyées contre les coussins, les jambes repliées de côté. Elles sont très différentes l’une de l‘autre mais toutes deux sublimes dans leur déshabillé en fine toile blanche juste noués par un fin ruban au dessus des seins qu’on voit pointer au travers, et qui laisse transparaitre à la lueur des torches le contour de leurs formes parfaitement harmonieuses. Vulgine est la plus grande et la plus foncée, splendide négresse aux lèvres pulpeuses, au visage délicat que mangent de grands yeux noirs aux longs cils et les cheveux crépus relevés en un chignon ananas. Ses longues jambes musclées aux mollets bien galbés témoignent de son goût pour le sport. Monoa est de type polynésien, à la peau brun cuivré avec de longs cheveux noirs brillants et soyeux qui se répandent sur ses épaules et lui tombent jusqu’au bas du dos. Elle a des yeux de jade aux reflets limpides. Elle est mince et parfaitement proportionnée, même si une certaine lascivité se dégage de son attitude. Elle a d’ailleurs laissé négligemment remonter son déshabillé sous ses fesses et ses cuisses légèrement écartées laissent entrevoir les lèvres sombres de son vagin fraichement épilé.
Les deux filles ont le regard vissé sur le bas-ventre de Bandaï qui a déjà retiré son short. Je constate sans surprise qu’il n’a toujours pas débandé et que son string prêt à péter peine à contenir ses attributs congestionnés. Je laisse à mon tour glisser mon bermuda sur mes chevilles. Les yeux des deux vénus s’écarquillent en voyant mon énorme phallus d’ébène émerger de mon slip dont le gland a écarté la peau de serpent qui le comprimait et qui se déploie jusque loin au dessus de mon nombril, la couture supérieure du string le maintenant plaqué contre mon ventre. Elles émettent de petits cris mêlés de rires et tendent leurs mains vers nous en gloussant. Nous nous approchons du podium, prenant leurs mains dans les nôtres pour les empêcher d’aller droit à nos bites alléchantes.

Dépucelages

Je passe derrière Monoa, insinue mes mains sous sa tunique et caresse son dos en faisant remonter le tissu qui découvre ses fesses charnues couleur de bronze. Elle m’aide à la dépouiller de sa tunique, qui découvre sa poitrine plantureuse. Ses gros seins sont magnifiquement galbés, les bouts effrontément dressés au centre des larges aréoles foncées. Comme aimantées, mes mains glissent de son dos sous ses aisselles et viennent envelopper ses mamelles dont je découvre les tétons déjà durcis d’excitation. Elle tourne son beau visage vers moi et me tend ses lèvres que je happe avec fièvre. Nos langues se trouvent et nous nous embarquons dans un baiser torride et mouillé qui nous électrise. Puis je laisse divaguer ma bouche le long de son cou et de son dos jusqu'à ses fesses dont je lèche avec délice la ronde plénitude. Mes bras sont restés scotchés sur ses seins dont je fais rouler les bouts entre mes doigts, pendant que ma langue parvenue au creux de ses fesses s’égare dans la raie de son cul déjà baignée de sueur à laquelle je mêle ma salive. Elle soulève doucement sa croupe de reine pour mieux écarter les fesses et m’offrir sa fleur dans laquelle je laisse couler un filet de salive et darde ma langue aussi profond qu’elle peut aller. De ses mains nerveuses elle vient me pétrir les oreilles et farfouiller mes dreads. Je ramène mes mains pour caresser la chair ferme et lisse de ses fesses moites. Comme elle relève encore le bassin en s’appuyant sur les coudes, je ressors ma langue de son anus et lèche copieusement l’espace qui le sépare de son vagin avant d’en écarter délicatement les lèvres et de découvrir avec la langue la douceur de velours et la chaude moiteur visqueuse de cette figue éclatée. Ma bouche, comme animée d’une vie propre, la suce furieusement et se pourlèche du suc épais qui en suinte. Je suis de la langue le sillon de ses lèvres écartées et butte contre son clitoris dilaté qui en dépasse et que j’aspire goulûment et branle avec ma langue, le nez maintenant enfoui dans son con aux enivrants effluves de fruits de mer. Elle gémit en ondulant de la croupe, et je bande tellement que j’ai l’impression que mon engin a décuplé de volume et que mes couilles ont la taille de pamplemousses. Les choses vont trop vite, il faut que nous nous calmions un peu. D’une main, je fais passer la couture de mon string sous mes couilles pour les libérer. Je me relève en faisant glisser ma poitrine mouillée de transpiration contre son cul, suivie de ma bite hypertrophiée qui remonte le long de son cul et se plaque entre ses fesses où elle s’encastre le long de la raie qu’elle remplit jusqu’au bas de son dos.

Par dessus le buste de Monoa, je vois maintenant la scène qu’elle avait devant les yeux pendant que je lui astiquais l’arrière train. Bandaï se tient à genoux sur le podium, les cuisses écartées, le torse redressé et la tête renversée en arrière, Vulgine lui faisant face assise sur ses talons. Elle a dégagé son braquemart démesuré en lui arrachant le triangle de peau du string dont il ne reste plus que le lacet de cuir qui lui ceinture la taille et ceux qui lui passe entre les jambes en contournant son sac de couilles pour finir dans la raie de son cul. Une main affairée à lui masser ses grosses burnes imberbes pendant que l’autre évalue la fermeté d’une de ses fesses, elle lui suce avidement le gland, laissant s’échapper un peu de salive qui coule le long de sa longue verge fièrement dressée. Il l’a débarrassée de son déshabillé, et je peux admirer son ventre plat et ses seins qui pointent fièrement comme des obus d’airain, les tétons et les aréoles rétrécis par le désir. Bandaï les lui triture à l’aveugle, absorbé qu’il est par la succion consciencieuse de son gland que lui prodigue Vulgine. Non contente d’être spectatrice, Monoa se penche en direction du couple et se met elle aussi à baiser et lécher le membre du métis sur toute sa longueur. Loin de me calmer, cette vision me met au bord de l’apoplexie. Je décolle ma queue de l’entre-fesses de Monoa, j’écarte largement ses cuisses et prends en main mon engin que je conduis fermement jusqu’à sa moule bien mise en condition et prête à l’accueillir. Trop excitée et occupée à sucer mon copain, elle ne réalise pas que je suis en passe de lui déchirer sa rondelle. Vu la taille de mon gourdin fortement cambré, je dois la dépuceler délicatement si je ne veux pas la blesser. De mon gland hypertrophié j’écarte les lèvres gonflées de son vagin et introduis en douceur mon mandrin dans cette caverne accueillante, vite arrêté par son hymen dont mon gland éprouve l’élasticité. Je me décide à la pénétrer plus avant, distend la membrane que je sens se déchirer d’un coup. J’enfonce mon piston jusqu’à la garde et le ressort baigné de sang, puis je perds le contrôle et la bourre en une série de coups de boutoirs frénétiques. Très vite, je sens un flux irrépressible monter de mes couilles et je décharge en une série de spasmes violents. Presque en écho, Monoa jouit à son tour en soubresauts désordonnés, lâchant un torrent chaud qui m’inonde la gaule et dégouline le long de mes couilles, puis je continue de faire coulisser mon membre encore bien dur dans son écrin gorgé de laitances qui en fluidifient les mouvements.

De l’autre côté du lit, Bandaï n’a pas changé de position, mais Vulgine s’est retournée, lui présentant ses fesses, et c’est elle qui vient s’accroupir entre ses jambes pour s’empaler lentement sur son monolithe dressé, se déflorant elle même en se l’enfonçant profond avec un petit cri de douleur. Un filet de sang s’échappe et colore l’aine de Bandaï qui, trop excité, envoie en poussant un puissant brame une salve de purée qui fait tressauter la dépucelée. Prise de frénésie, elle entame une série de va et vient et se ramone le con avec la bite du métis bien lubrifiée par son sperme, jusqu’à ce qu’elle aussi soit prise de transe jouissive et se répande sur le pubis de Bandaï qui s’est écroulé en arrière.

Voilà, nous ne sommes plus puceaux, les filles sont déflorées, et nous y avons tous pris notre pied. Mais nous n’allons pas nous arrêter là, la nuit ne fait que commencer, et nous avons encore plein de choses à expérimenter.

Suceurs de bites

Je retire mon calibre débandant et gluant, laisse choir mon string au pied du podium et vient m’affaler sur le dos au milieu des autres sur le podium, saisissant au passage une des calebasses qui contient du beurre de karité dont nous allons nous enduire la pine pour qu’elle reste lubrifiée. Imitant Vulgine qui lave à grands coups de langue la biroute et les couilles de Bandaï maculées de foutre et de sang virginal, et qui s’est remis à bander comme un taureau, Monoa aspire mes roustes dans sa bouche et les ripoline avec sa salive et sa langue avant de les recracher et d’engloutir ma biroute pour la laver aussi des restes de découille rougie de sang. Ses longs cheveux me caressent le bas du ventre et les cuisses, et je sens que ma bite se reprend une érection dans sa bouche qui ne peut bientôt plus en contenir tout le volume et la laisse ressortir à moitié. Elle se concentre alors sur mon gland qu’elle entreprend de sucer comme si elle devait faire fondre une friandise en chocolat noir. Vulgine, qui en a terminé avec le lessivage de la queue de l’autre mâle, se fraye un chemin vers nous, s’immisce entre mes cuisses et s’avise de me brouter les couilles. Laissé à lui-même, Bandaï contourne le podium, attiré lui aussi par mon magnum. Il m’enfourche carrément, à califourchon sur mon torse, sa bouche cherchant à participer au festin de ma verge, son cul et ses parties offerts en gros plan obscène à mon visage. Je dois avouer que cette vue m’excite passablement. J’agrippe ses testicules que j’enserre en y enfonçant les ongles. De mon autre main, j’empoigne son énorme engin et le tire en arrière entre ses jambes pour le forcer jusqu’à ma bouche. J’en prends entre mes dents le bout turgescent d’ou suinte un peu de cérumen que je goutte avec la langue, et me mets à le sucer avec délectation. Cette nouvelle expérience, couplée avec la sensation que me procure les trois bouches qui me lèchent et me sucent le dard, décuplent mon excitation. Je sens en plus des mains me caresser l’intérieur des cuisses et le bas-ventre, d’autres se glisser sous mes fesses et les pétrir, et des doigts m’enserrer le nœud en anneau et me branler doucement. C’en est trop pour un seul homme, tous mes sens s’affolent et je laisse mon mamba noir dressé de toute sa hauteur cracher furieusement son venin blanchâtre à la gueule des trois suceurs qui suffoquent. Tirant d’une main sur le sac de couilles de Bandaï à presque l’arracher, je le branle énergiquement de l’autre tout en le suçant avec rage, fébrile que je suis de découvrir moi aussi le goût du foutre, qu’il ne tarde pas à me décharger en longues rasade chaudes qui m’emplissent la bouche, me coulent dans le gosier et que j’avale en gorgées au gout douçâtre. Je lâche son tuyau d’arrosage qui, comme mû par un ressort, reprend sa position vers l’avant, s’essuyant au passage sur ma poitrine ou il laisse une trainée de foutre épais, et finit de dégorger dans mon nombril. Bandaï se laisse aller de tous son poids sur moi, et repose sa tête sur ma cuisse, le visage contre ma queue baveuse qui débande. J’ai ses fesses relâchées juste devant mes yeux, son trou du cul bien ouvert, décoré de fine gouttelettes de sueur, zébré par les lacets de cuir du string que je lui arrache avec les dents. Je me dis qu’il faudra que je m’occupe de ce cul qui ne demande qu’à être malmené, mais plus tard. Pour l’instant je suis bien et j’éprouve juste le besoin de récupérer quelques minutes.

Carrousel lubrique

La température de la pièce a monté de plusieurs degrés. Nous sommes tous quatre en nage, et une envoutante odeur de stupre enveloppe le podium. Bandaï et moi nous passons une des calebasses qui contient un breuvage énergétique à base de caféine, de taurine et de plantes aphrodisiaques macérées dans du vin de palme. Les deux femelles se sont emparées de la calebasse de karité, et s’activent à m’enduire copieusement le sexe dont elles ont retroussé la peau pour dégager le gland. Le beurre forme une couche luisante sur ma peau sombre, du plus bel effet dans la lumière des torches, d’autant plus que de petites gouttelettes de sueur se sont formées sur tout le pourtour de mon membre viril. Bandaï a roulé sur le côté, et attendu son tour étendu de tout son long sur la natte. Chez lui aussi, le karité met en valeur sa longue bite de couleur caramel en lui donnant des reflets mordorés. Maintenant allongées côte à côte, Vulgine et Monoa se sont fourré la chatte avec un bon morceau de beurre et étroitement enlacées, en profitent pour se faire mutuellement reluire le clito en se trémoussant, tout en se roulant un langoureux patin longuement appuyé. Le spectacle nous fait pas mal d’effet et revigorés par le breuvage alcoolisé, nous nous remettons à bander comme des boucs en rut.

Je descends du podium la bite en étendard, prends Vulgine par la main, l’arrache à son étreinte pour l’amener vers la nacelle suspendue au dessus de l’angle, et l’aider à s’y asseoir, jambes relevées, les genoux à hauteur des seins, et les pieds posés au bord de l’ouverture ovale. Ses fesses et sa vulve dépassent largement au travers du trou percé dans le fond, cerclé par le bambou qui en délimite le pourtour. En rampant sur le dos, je viens me placer sur la natte matelassée, juste au dessous. Levant le bassin, je plante sans peine mon solide madrier copieusement beurré jusqu’au fond de la moule étroite mais bien lubrifiée que me présente la belle pouliche noire qui l’accueille avec un soupir d’aise, sachant bien ce qui l’attend. Je saisis la base du panier à deux mains, et lui imprime une lente rotation autour de mon gros vit qui lui sert d’axe et frotte contre les parois de son vagin comme dans un moyeu graissé. Je lève et abaisse mon bassin en un rythme lascif, faisant coulisser ma pine qui se met en vrille, essorée entre les lèvres resserrées de la vulve qui lui tourne autour, me donnant l’impression qu’elle va se dévisser. J’accélère le mouvement du carrousel, provoquant des jappements de plaisir de la jouisseuse qui tourbillonne dans la nacelle et largue un tsunami de jus tiède qui m’arrose le ventre et les testicules. Je suis au comble de l’excitation, et à mon tour lâche ma sauce sans retenue, ma bite hypersensible traversée de décharges électriques et le corps parcouru de frissons délicieux. Je laisse le panier ralentir sa course de lui même, le bassin toujours en mouvement vertical, savourant le glissement visqueux autour de ma trique, mon plaisir rehaussé par les contractions que Vulgine impose à son vagin. Lorsque la nacelle s’est immobilisée et que nous avons retrouvé notre calme, j’extrait ma limace géante et roule de côté sur le ventre. J’ai en face de moi le cul de Monoa agenouillée la croupe relevée, en train de récupérer les coudes au sol et le visage enfoui dans un coussin. Son trou du cul dégouline de foutre brunâtre, témoignant que Bandaï n’a pas perdu son temps pendant que nous jouions à la toupie. Le voyant sortir à poil de la pièce, j’envoie une bonne claque sur les fesses de la jeune enculée et propose que nous le suivions tous pour aller nous aussi nous jeter à l’eau au clair de lune.

Châtiment porno-sadique

Le sable est encore chaud, et l’eau tiède du lagon ne nous rafraîchit pas, mais nous lave de nos miasmes, et nous y sommes de toutes façon dans notre élément. Bandaï propose que le premier qui atteindra l’îlot de corail décidera d’un gage pour les autres, et nous nous lançons dans un crawl de compétition. Vulgine démarre en trombe, mais Bandaï et moi la rattrapons bientôt et je prends la tête de la course. Soudain, à quelques brasses de l’îlot, Bandaï annonce une crampe et lorsque je stoppe pour lui prêter main-forte, il me dépasse et touche le corail le premier dans un grand rire. Il prétend avoir gagné et veut nous infliger un gage, mais nous le traitons de faux-cul et ce salaud de traître accepte finalement, un peu trop volontiers, de se faire châtier dès notre retour à la case, ce qui le fais bander d’avance. Les deux filles ramènent leur prisonnier en le tirant chacune par un biceps, et je les suis en lui prodiguant des claques sur ses fesses musclées.

L’odeur de baise et de transpiration musquée qui flotte dans la pièce surchauffée me dilate les narines et me met en érection. Le tricheur se laisse docilement installer debout face au podium, jambes écartées, le buste penché en avant reposant sur le matelas. Vulgine se positionne à cheval sur le haut de son dos, lui écrasant de son poids la poitrine contre la natte, les fesses assises sur sa nuque, lui maintenant les bras en croix sous ses genoux. Ses mains appuyées sur les reins de notre victime, elle a la vue plongeante sur son cul, aux premières loges pour le spectacle de son supplice. Monoa s’est laissé glisser au pied du podium, la tête sous les attributs virils de Bandaï. Elle a ramassé un fin lacet de cuir souple dont elle ligature bien serré les couilles et saucissonne étroitement la bite bouffie du tricheur qui proteste mollement. Je me suis emparé d’un fouet à manche de cuir d’ou part un faisceau de longues lanières. Je commence par lui en caresser le cul avant de lui claquer plus sévèrement le fessier, les lanières imprimant leur marque dans la peau de ses fesses tendues qui prennent une belle couleur brun rouge foncé. Je m’arrange pour que le bout des lanières vienne lui brûler les couilles. Le supplicié braille sous les coups mais ce vicieux en redemande. Ma gaule me fait mal tellement je bande dans mon rôle de tortionnaire, mais je ne veux pas déchirer son beau cul trempé de sueur.

Parmi les accessoires, j’ai aussi sélectionné un gros boudin en boyau élastique rempli de billes de verre que j’ai trempé dans le beurre de karité, et dont je m’apprête à forcer son trou du cul encore vierge. Monoa m’aide en lui écartant les fesses et je pousse le godemiché dans son fondement en un mouvement vissé. Le viol de son cul le fait gueuler comme un putois et me maudire mais le filet de liquide visqueux qui suinte de sa bite bandée à faire péter le lacet qui l’entrave montre bien qu’il prend son pied. Lorsque le boudin est emmanché jusqu’au fonds, je tords l’extrémité du boyau comme si je voulais l’essorer, ce qui comprime les billes de verre plus à l’intérieur en leur donnant moins de place en longueur, les forçant à déformer le boyau élastique et distendre à l’extrême les parois de l’anus sous la pression latérale. Je manœuvre la prothèse en tous sens pour que Bandaï sente bien son cul trop rempli s’élargir au maximum, avant de la retirer doucement en un mouvement circulaire.

Le trou de balle de mon esclave est maintenant mûr pour qu’il ne se déchire pas quand je vais l’enculer. Monoa a beurré ma poutre d’ébène que je plante dans sa cible et pousse centimètre par centimètre jusqu’à toucher sa prostate. Ma bite découvre la sensation du resserrement de ce fourreau soyeux un peu trop étroit et qui se contracte, très différente de la volupté d’une accueillante chatte largement offerte. Je commence à lui labourer le cul en un va et vient de plus en plus frénétique, pressé de vider mes couilles dans son trou, ce qui arrive bientôt en un feu d’artifice de purée abondante qui le rempli et refoule autour de ma queue pour couler le long de son sac. Monoa lui a délacé son phallus et le branle avec ardeur jusqu’à ce qu’il lâche sa découille entre les seins de la métisse. Vulgine se laisse rouler de son dos, et de mon côté, je libère son cul, essuie ma trique poisseuse avec un des déshabillés abandonné, monte sur le podium et me jette sur les coussins, vautré sur le dos entre Vulgine et Bandaï.

Pénétration en force

Nous avons déjà bien progressé dans notre initiation sexuelle. Je crois que nous sommes tous assez doués pour la baise et que nos penchants sont assez clairs. Mais Vulgine n’en a manifestement pas encore assez. Elle commence par me caresser les abdos en remontant ma poitrine pour venir agacer mes tétons qui réagissent au quart de tour. Mais c’est mon pénis sagement rangé sur ma cuisse qui l’attire. Elle s’en saisit et se met à la manipuler doucement, faisant coulisser la peau autour du gland qui apparaît et disparaît en s’y frottant agréablement tandis que ma verge se raidit lentement dans sa main. De l’autre main, elle soupèse mes lourdes couilles qu’elle masse avec application. Je glisse une main fébrile entre ses cuisses, remonte mon index entre les lèvres de sa figue humide et trouve son clitoris bien beurré que je roule gentiment en cercles gourmands, et que je fais grandir jusqu’à dépasser de ses lèvres vaginales pourtant bien boursouflées. Sans lâcher ma bite, elle se tourne vers moi, me rampe sur le ventre en pressant ses seins contre ma poitrine et vient coller sa bouche entrouverte contre mes lèvres qui la happe avec avidité. Pendant que nous nous suçons la langue comme des perdus, elle conduit d’une main décidée mon braquemart à son con béant qui l’aspire en son tréfonds. Je me mets à la limer lentement, tout en continuant de branler son berlingot, mon autre main affairée à lui exciter un téton, nos bouches toujours soudées.

Du coin de l’œil, j’entrevois Bandaï qui m’enjambe et vient s’accroupir derrière le cul de Vulgine, sa grosse pine en pleine érection bien en main. Je pense qu’il va l’enculer, mais c’est un doigt qu’il lui enfonce dans le fion, et je sens son gland forcer son passage dans le vagin en glissant contre ma queue complètement comprimée dans cet espace confiné, ses burnes pendant sur les miennes. La baiseuse qui a lâché ma bouche doit penser que sa moule distendue va se déchirer, et pousse de petits cris affolés. Je sens la bite de mon compère battre contre la mienne. De la main, il tient nos deux queues accolées à leur base, et nous nous mettons à tringler la noire femelle lubrique en coordonnant nos lents mouvements de va et vient. Ses cris se transforment en soupirs et elle mouille abondamment. Son clitoris est dans tous ses états sous mon doigt, et à l’accélération du de nos coups de bourre haletants, je me dis que nous allons jouir les trois en même temps. En tous cas mes roupettes en feu sont pleines et je lâche une puissante giclée de foutre sans attendre, tout de suite suivi par Bandaï qui décharge en jets saccadés sa sauce brûlante. Vulgine se lâche elle aussi et le flot de son jus nous éjecte de sa vulve débordante de sperme.

Notre trio se disloque en roulant chacun dans son coin pour reprendre ses esprits, puis, laissant tout en plan, nous sortons à poil tous les quatre au petit jour nous laver dans la mer, et nous nous affalons sur le sable pour nous sécher un peu avant de regagner nos pénates et passer la journée à récupérer.

Ma gaule du matin

  • : 26/06/2008
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