Baiser avec une capote, c’est chiant. Tu perds tes sensations. C’est comme de nager en combi de plongée plutôt qu’à poil.
Sucer une bite couverte d’un préservatif c’est pas bandant. Goût de latex dans la bouche.
En plus, tu baise à sec, pas de foutre à partager.
Ca fait chier.
Mais est ce que tu veux risquer de te faire séropo, ta vie foutue passée en trithérapies, paria de la société?
Ca serait trop con, alors merde, dans le
doute, enfile un présé.
Champagne
Cette dernière journée de négociations et le dîner qui l’a suivie ont été longs mais je ne suis pas mécontent du résultat. Même si je n’étais pas toujours à mon affaire après ma nuit mouvementée, je peux rentrer demain avec les contrats en poche. De retour à l’hôtel, un billet du directeur du palace m’attend avec ma clé: Brad, j’ai touché un mot de notre nuit à la cliente de la suite Panoramique. Elle serait ravie de nous offrir un verre ce soir vers onze heures pour faire ta connaissance en petit comité. Crois moi, tu ne le regretteras pasC’est signé Miguel. Dommage, j’aimais bien Tonio Bande Dur comme nom, mais Miguel, ça ira aussi! Je ne sais pas ce qui m’attend, mais si ça pouvait être à moitié aussi bandant que la nuit dernière, je serais déjà comblé. Je griffonne au dos: La suite me va, je te fais confiance, ma bite en salive déjà. Brad. Je la remets dans son enveloppe et la confie à la réceptionniste.
Je me paye un quart d’heure de bien-être sous la douche, et ripoliné de fonds en comble au gel-douche jusqu’au tréfonds du cul (on ne sait jamais!), je me prépare avec soin pour monter au dernier étage de l’hôtel. J’enfile mes dernières fringues propres, un boxer noir en soie que je laisse dépasser de mes jeans taille basse et un t-shirt blanc bien moulant qui met en valeur mes muscles.
L’ascenseur me dépose en douceur au huitième. Je repère la plaquette qui proclame «Suite Panoramique» et pousse la porte laissée entrouverte. Je découvre un vaste salon très design, dans des tons beige bruns, au milieu duquel sont disposés en angle deux canapés profonds et généreux en cuir crème qui entourent une grande table basse en verre dépoli. La lumière indirecte est tamisée, ce qui permet de voir le clair de lune par la baie vitrée qui couvre entièrement la paroi sud du sol au plafond. Elle est ouverte sur une grande terrasse qui surplombe la mer, où trône un vaste jacuzzi habillé de teck, éclairé de l’intérieur, entouré de deux lits de repos en fibre tressée et de plantes exotiques aux larges palmes. Dans la pièce, un grand écran plasma couve une autre des parois, sous lequel court un long bar en verre et inox. Deux ouvertures se découpent sur le mur d’en face, probablement les portes de la chambre à coucher et de la salle de bain. Une musique new age joue en sourdine.
C’est le beau Miguel alias Tonio Bande Dur qui vient à ma rencontre, élégant dans le costume que je lui ai déjà vu ce matin, mais la veste maintenant à même la peau, ouverte sur son torse imberbe, exhibant ses pectoraux bien découplés. J Lo est aussi là, assise sur l’un des canapés, toujours aussi bandante dans une robe noire à bretelles très minimaliste, dont le fin tissu laisse deviner qu’elle ne porte rien en dessous. Miguel me présente à l’heureuse cliente de la suite, une belle jeune femme aux longs cheveux blond cendrés, l’allure sportive, qui a pris possession de l’autre canapé. Elle porte une robe bustier sans manches, très décolletée, qui laisse ses épaules découvertes et dégage sa poitrine qui en déborde presque, soulignée par un collier de perles à deux rangs. Ses longues jambes sont gainées par des bas noirs qui en font ressortir le galbe parfait. Elle a de magnifiques yeux bleus que mettent en valeur son teint halé, et son visage est mangé par des lèvres délicieusement pulpeuses qui la font ressembler à Scarlett Johansson, l’actrice qui me fais le plus bander. C’est Susan, la femme d’un armateur très occupé, soucieuse de ne pas dépérir d’ennui en son absence. Elle me déshabille du regard en tripotant son bracelet de perles et lance: «Tes amis m’ont mise dans tous mes états en me décrivant votre nuit. Je suis impatiente de tester ton matériel». Je n’ai pas de peine à lui assurer qu’elle peut compter sur moi, que j’attend beaucoup d’une femme dont le prénom est Suce-Anne, et que j’ai assez envie d’être son jouet. Elle prend la bouteille de Champagne qui dormait dans un seau à glace sur la table basse, et me sert une flûte pour que je trinque avec eux trois. Il règne une chaleur moite dans la pièce. La soirée s’annonce prometteuse, et je suis en forme.
Miguel a tombé la veste, et rejoint torse nu Jennifer restée sur le sofa et qui s’affaire déjà à le dépouiller de son futal. Il ne porte maintenant plus qu’un string en lycra blanc qui peine à contenir sa déjà monstrueuse érection, ses belles fesses basanées à l’air, juste séparées par le trait blanc du string dans la raie du cul. Il fait glisser des épaules de Jenny les fines bretelles de sa robe qui tombe et fais apparaître ses fermes seins plantureux couleur de miel qu’il saisit à pleines mains et dont il masse délicatement les bouts. De son coté, elle lui sort ses attributs du slip, passant sous ses grosses couilles l’élastique qui les fait encore plus gonfler et les souligne d’un autre trait blanc. S’emparant de sa bite qui se dresse jusqu’au nombril, elle se met à le branler en experte, le pouce massant le champignon de son gland protubérant. Bande Dur insinue une main fébrile entre les cuisses de J Lo et les lui écarte pour frayer un chemin à ses doigts jusqu’à la chatte boursouflée, l’index lui agaçant le clitoris qui pointe à l’orée de la touffe de poils noirs. Jenny est visiblement folle de désir, les yeux fixes et exorbités, et ses seins ont l’air durs comme du bronze. Elle se retourne sur le ventre et offre sa croupe levée, ses mains écartant ses fesses et les lèvres de sa moule en invitation à se faire pénétrer. Miguel ne se fait pas prier. Il enfonce son madrier jusqu’à la garde dans cette grotte accueillante. Le ventre plaqué à ses fesses, les mains enrobant les seins qui pendent sous elle, il halète et bave dans son cou, la bourrant à grands coups de sa massue forcenée. Je m’approche des canapés pour mieux mater les deux lubriques qui ne tardent pas à jouir en soubresauts violents dans un concert de râles gutturaux.
Sans perdre une miette de la scène, notre hôtesse se lève, pose son verre et m’attire vers elle contre le canapé. Elle glisse ses mains sous le t-shirt qui dessine mes abdos et les caresse en remontant jusqu’aux seins qui réagissent aussitôt et tendent le tissu. Je me laisse faire, les bras posés sur ses épaules de velours tout en continuant de siroter mon champagne. Elle remonte mon maillot jusqu’aux aisselles, dont elle fouraille les poils de ses doigts baladeurs, qu’elle glisse ensuite dans les manches du t-shirt pour explorer mes biceps et les en extraire en le faisant passer par dessus mes coudes et ma tête. Elle effleure mon nombril de sa bouche humide, et la laisse vagabonder dans le sillon de ma poitrine dénudée jusqu’au téton auquel elle se ventouse. A tâtons, sa main défait ma ceinture, trouve ma braguette qu’elle déboutonne impatiemment, et pèle mon jean qu’elle fait glisser sur mes chevilles et que j’envoie valser du pied. Elle me repousse un petit peu pour mieux jouir du tableau que je lui offre, bien campé jambes écartées devant elle, mon service trois pièces moulé dans la soie brillante du boxer noir. Elle ne résiste pas à le saisir à travers le tissu comme pour en vérifier la rigidité, tandis qu’elle glisse son autre main sous l’élastique pour tâter mes fesses fermes. Sans doute convaincue des promesses de son jouet, elle baisse prestement mon caleçon, faisant jaillir ma verge turgescente comme un diable de sa boite. Elle pousse un petit cri admiratif, se laisse tomber à genoux entre mes cuisses, empoigne mon engin à deux mains et se le frotte avidement contre le visage. D’une main preste, elle se dépouille de son bracelet de perles, le tord pour former un anneau étroit à deux rangs qu’elle passe autour de ma queue et entortille à la base de mes couilles qu’il enserre et décore d’un double rang de perlouzes.
Toujours debout le verre à la main, je caresse ses cheveux soyeux que je dégage de sa nuque pour faire de la place à mes lèvres au creux de son oreille et de son cou ou elles musardent. Je repère dans son dos la glissière de sa robe que je défais. Son bustier s’ouvre comme une corolle et laisse échapper ses seins blancs aux bouts fièrement relevés qui viennent s’appuyer contre mes cuisses.
Elle attrape le seau à champagne sur la table basse, en sort la bouteille dont elle prend une gorgée à même le goulot, et la renvoie à son seau au pied du canapé. Elle me saisit par les couilles emperlées et empale sa bouche pleine de champagne sur ma trique qu’elle noie dans le liquide mousseux qui explose ses petites bulles autour de mon gland émoustillé. Elle entreprend de me pomper le nœud en aspirant et refoulant le liquide pétillant dont le trop-plein s’échappe de sa bouche, arrose les poils de mon sac, les perles, et me coule le long des cuisses. Je verse sur ma queue pour l’irriguer encore plus les quelques gouttes qui restent au fonds de mon verre que je dépose sur le dos du sofa. Mon excitation est à son comble et je sens que je vais perdre tout contrôle.
Je passe mes avants-bras sous les aisselles de Suce-Anne et la relève lentement. Sa bouche laisse échapper sa proie comme à regrets avec un bruit de succion et remonte de mon pubis à ma poitrine en léchant mes poils blonds, puis s’attarde pour sucer mon téton dardé. Je sens contre mes jambes sa robe glisser à terre. Mes coudes pressent ses seins l’un contre l’autre à hauteur de ma queue entre lesquels elle est comprimée. En vue plongeante, je vois leurs aréoles rose foncé et les tétons plus clairs dressés en érection vers mon gland qui joue avec eux. Un filet de liquide séminal suinte de mon urètre ouvert qui cherche maintenant le contact du téton comme s’il voulait le téter et auquel il est relié par un filet de cette bave visqueuse. D’une main elle se caresse les seins avec mes couilles poilues pendant que l’autre me palpe les fesses.
Je l’asseye sur le canapé et me laisse glisser à mon tour à quatre pattes, la tête au niveau de son ventre plat et lisse, suivant de mes mains le contour de ses hanches galbées et soyeuses. Mes yeux descendent à la hauteur de son sexe en un travelling qui s’arrête sur un string en soie rouge grenat bordé de dentelles très classe, surmonté d’un porte-jarretelles de même ton rattachés aux bas noirs qui font ressortir la blancheur de ses cuisses. Mon approche lui fait écarter les cuisses au maximum, les genoux repliés et ses hauts talons en chevreau noirs plantés dans le bord du siège. D’un doigt, j’écarte la dentelle de soie sur le côté et découvre la peau blanche de son pubis aux poils blond rasé en ticket de métro, et sa vulve écarlate et béante devant mes yeux comme une figue trop mûre éclatée. Mon doigt s’infiltre dans la fente ouverte et humide qu’il parcourt jusqu’à trouver son clitoris déjà raidi auquel il reste vissé. Je fourre mon nez dans son con à l’odeur puissamment enivrante qui me monte au cerveau et m’affole les sens. Ma langue est juste bien placée pour lécher l’espace entre son anus et l’amorce de sa vulve, la lisière de dentelle du slip en soie me frottant la joue. Les mains de Susan me fourragent les cheveux et me triturent le lobe de l’oreille. Ma langue remonte ensuite entre les lèvres de son vagin et trouve sans peine le clito qu’elle enveloppe de salive et lèche doucement.
D’une main, je tâtonne vers la table basse et trouve la bouteille de champagne que j’empoigne par le goulot. Je verse un peu du nectar pétillant dans son nombril bien dessiné, orné lui aussi d’une perle, et le lampe a grands coups de langue bruyants comme une huitre perlière, rattrapant ensuite le liquide qui s’est échappé en direction de son sexe et mouille le porte-jarretelles au passage. Passés sous mon menton, les doigts de ma main libre écartent la soie du slip puis les lèvres du vagin qui mouille déjà. J’y introduis en douceur le goulot de la bouteille renversée, et laisse le reste de son contenu le remplir avec un glouglou peu discret. Le contact du verre glacé et du liquide froid lui arrache de petits cris et la fait se trémousser du bassin. J’enfonce la bouteille un peu plus profond en un mouvement vissé avant de la retirer et de la remplacer par ma langue et ma bouche qui aspire goulument le champagne mêlé aux sécrétions de sa figue noyée. Susan me tire à elle par les cheveux, tendant sa bouche vers la mienne pour capter un peu de liquide qui mousse encore sous ma langue. Je n’en peux plus de désir, il faut que je calme un peu mon phallus qui sinon va exploser. Toujours à quatre pattes, j’attire à moi le seau à glace que je tire entre mes cuisses, prends en main mon sexe collant de champe et le plonge dans l’eau glacée jusqu’aux couilles, mon gland écartant les glaçons cylindriques en se frottant à la paroi glacée du récipient. Le froid me crispe la biroute et me rétrécit les testicules qui laissent échapper le bracelet qui coule au fond du seau. J’ai l’impression que ma queue est prise dans une banquise. En relevant le bassin, je la laisse ressortir en la faisant glisser le long de la paroi d’où elle jaillit dégoulinante, les poils gorgés d’eau, et reprend sa position agressive, fièrement dressée.
Susan qui a suivi mon manège avec impatience, s’empare de mon braquemart, le guide à sa chatte, lui fait écarter la dentelle du slip qu’il trempe au passage et se l’enfile en poussant les hanches en avant. J’agrippe ses fesses à pleines mains comme des poignées et commence à la tringler en longues poussées de mon piston hypertrophié qui distend les parois de son con resserré et bute contre le fonds à chaque coup de boutoir. Je sens mon sac de couilles battre contre la fleur de son anus. Arcboutée sur ses talons aiguilles, elle amplifie mes mouvements à grand coups de bassin. Les perles de son collier roulent sous ma langue. Ses mains sont agrippées aux poils de ma poitrine, les ongles plantés dans la chair de mes seins. Ses jarretelles impriment leur empreinte dans la peau de mes cuisses contre lesquelles crissent ses bas à chaque frottement. La soie du string écarté par ma queue la frotte à chaque passage, me portant au comble de l’excitation. C’est Susan qui atteint l’orgasme la première en larguant son jus en une inondation qui baigne nos poils mêlés en un chapelet de spasmes désordonnés. Je n’en peux plus de bander si grave et ne suis plus maître de mes moyens. Je sens le foutre affluer de mes boules en inox, monter dans ma bite en caoutchouc vulcanisé vers mon gland en céramique qui le crache comme un volcan sa lave brûlante en jets convulsifs. Je m’écroule sur Suce-Anne comme un pantin, et laisse mon pénis dégorger lentement en elle pendant qu’elle reprend peu à peu son souffle.
Rastas
On frappe à la porte de la suite. Miguel rengaine partiellement son encombrant engin dans son string et se dirige vers la porte avec un sourire entendu: «je vous ai concocté une petite surprise». Il fait entrer un jeune black juste pubère en livrée de chasseur de l’hôtel, l’air bien à l’aise dans son corps, une belle gueule un peu veule avec un regard insolent, la tignasse en rastas. «Je vous présente Thebo le bien nommé. Il a débarqué il y a un mois à peine à l’hôtel, vient de fêter sa majorité sexuelle avec un test sida négatif, et comprends tout juste assez notre langue pour piger ce qu’il faut qu’il fasse ce soir pour mériter le double salaire que je lui ai promis». Il pousse gentiment le presque encore adolescent vers le centre de la pièce tout en déboutonnant les brandebourgs de sa vareuse qu’il laisse choir en chemin. Le jeune rasta porte dessous un débardeur de basketteur XXL en nylon trop grand pour lui qu’il lui enlève aussi, dévoilant un torse baraqué et des abdominaux musculeux en carrés couleur chocolat. Son bras droit est tatoué d’un barbelé qui entoure le biceps, et un anneau doré pend en piercing d’un de ses tétons. La légèreté du duvet noir qui mousse sur sa poitrine et couvre son nombril trahit sa jeunesse. Miguel l’arrête pour le détrousser de son froc de larbin, et le laisse debout devant nous, les poils pubiens dépassant de son short de rappeur retenu plus par ses fesses charnues et la base de sa queue que par ses hanches étroites. Ses cuisses sont très musclées, sa peau très foncée est luisante de sueur. C’est un beau mâle un peu sauvage qui nous contemple avec un air de défi amusé.
Je l’attire contre moi vers le canapé, tâte les muscles de ses épaules et de son poitrail que je parcours en descendant vers les hanches et je lui baisse le short sur les chevilles, découvrant son long pénis d’ébène au diamètre impressionnant qui lui descend plus bas que mi-cuisses. Ses roustes copieuses disparaissent dans la toison crépue de son entre-jambes musclé. Je palpe cette trompe couillue et la retrousse pour en dégager le gros gland brun foncé un peu collant. Elle s’anime dans ma main et commence à se développer en durcissant sous mes doigts, se dressant en une prodigieuse érection que je contemple en salivant.
Miguel a ressorti son matériel de son string, l’élastique passé sous les burnes, et approche son grand corps basané et glabre de nous, la bite dressée en étendard complètement obscène. Je la capture de mon autre main et en fais coulisser la peau d’un mouvement lent du poignet. Les deux mecs se caressent mutuellement les fesses et le torse. Je lâche leurs deux poteaux dressés contre moi, plaque chacune de mes mains sur une de leurs fesses, me laisse tomber assis sur le divan et attire les deux mecs de part et d’autre de mon buste. Leurs pièces d’artillerie sont maintenant tout près de mon visage, si bien que j’ai en gros plan les deux engins érigés insolemment sous mon nez. Celui du jeune black dégage une forte odeur de fauve qui a macéré tout le jour dans son slip, mêlée au fumet douceâtre de la queue de Bande Dur pas encore sèche de sa partie de baise. Ce mélange sauvage à la fois m’écœure et me fait remonter un frisson d’excitation le long de l’échine.
Je m’empare des deux bites visqueuses et les enfourne ensemble dans ma bouche, les lèvres distendues par leur volume, le nez enfoui dans les poils du rasta puant la sueur acide. Le goût amer et acre de leurs bites malpropres qui m’envahit la gorge me fait grimacer de dégoût, mais m’envoie en même temps une formidable bouffée d’excitation jusque dans les couilles. C’est délicieusement répugnant et je bande comme un bouc. Je salive abondamment et lave avec ma langue les deux monstres accolés qui m’emplisse la bouche. J’empoigne fermement leurs sacs de couilles moites et les malaxe en les tirants vers le bas à les arracher. Je sens sur ma langue la tension transmise à leurs verges dilatées à péter, et leurs glands enfler encore plus au fonds de ma gorge qu’ils obstruent. Je ressens un besoin irrésistible de sucer, et ma bouche écartelée amorce un va et vient frénétique de succion pulsée, mes mains crochues toujours arrimées à leurs roustons qui doivent être en feu. Les deux mâles en rut lâchent des petits gémissements de plaisir douloureux et se trémoussent l’un contre l’autre en roulant les hanches, leurs mains parcourant avec frénésie leurs bustes et leurs fesses en tous sens.
Suce-Anne nous a rejoint à quatre pattes sur la moquette et s’est approprié mon gros bâton de berger qu’elle peine à enfourner entièrement dans sa bouche pulpeuse. Je gémis aussi sous les allées-venues de ses lèvres ventousée à mon braquemart prêt à éclater, mon excitation encore renforcée par le massage vigoureux qu’elle prodigue à mes burnes enflammées. Jenny s’est couchée sur le dos à même la moquette, dans le prolongement de Susan, la tête sous son bassin pour lui bouffer la chatte. En mal de bite, elle s’est fourré dans le vagin le goulot de la bouteille de Veuve Clicquot qu’elle manipule comme un godemiché géant.
C’est le métisse qui découille le premier, me lâchant sa purée tiède en longs jets abondants qui tapissent mon palais et m’étouffe à moitié. Les deux bites s’échappent de ma bouche qui refoule la vague de foutre sur mon menton et qui coule le long de mon cou. Le jeune branleur noir prend précipitamment son tuyau d’arrosage en main et m’envoie sa sauce en pleine gueule, en une série de salves saccadées accompagnées d’un rugissement bestial. Le visage dégoulinant de foutre qui remplit mes narines et la bouche engluée, j’ai du mal à respirer. C’est superbement dégeulasse. Mes sens sont complètement affolés et à mon tour je décharge en puissantes giclées dans la bouche de Suce-Anne qui manque s’étrangler en avalant une rasade de mon sperme épais et en recrache le trop-plein visqueux. J’entends le bruit mouillé du flot de jus qui jaillit de son vagin lorsqu’elle vient elle aussi, stimulée par les coups de langue de Jenny et dont elle asperge le visage, la faisant jouir à son tour sur la bouteille de champe qu’elle manipule frénétiquement. Nous sommes tous les cinq haletants, trempés de sueur, de sperme et de jus, effondrés sur les canapés ou gisants sur la moquette.
Magnums
Lorsque nous avons un peu repris nos esprits, notre hôtesse sort sur la terrasse et enclenche le jacuzzi. Elle envoie promener ses escarpins, ses bas et son string, ne gardant que son collier, et je vois ses belles fesses charnues et luisantes disparaître dans le bain ou elle se laisse couler jusqu’au cou. Miguel et Jennifer la rejoignent et plongent avec entrain dans les bulles. Thebo semble hésiter, même si à vue de nez, c’est lui qui a le plus besoin d’un bain. D’une main ferme, je le pousse au cul en direction de la terrasse et il saute rejoindre les autres dans l’eau chaude. Je me glisse à sa suite et me cale entre Miguel et lui. A cinq, nous remplissons tout l’espace circulaire au coude à coude. Je plonge la tête sous l’eau et me lave avec les mains, puis me laisse relaxer, les mains sous la nuque appuyée au bord du jacuzzi. Le flot de bulles qui roulent sous mon corps et remonte entre mes cuisses me remue agréablement les bourses et me masse gentiment les fesses. Nous nous prélassons depuis un long moment sous les jets quand J Lo laisse sa main tâtonner en direction de l’entrejambes de Miguel, à la recherche d’une pièce de viande à se mettre sous la main dans cette soupe bouillonnante. Susan ne tarde pas à l’imiter, et pêche ma queue et celle de Thebo qu’elle prend sérieusement en mains. Nous sommes les trois mâles cuisse à cuisse, les deux femelles nous faisant face à nous astiquer le manche sous l’eau. Leur entreprise ne reste pas longtemps sans effet. Bientôt je sens mon morceau se raidir et je vois nos trois glands émerger des tourbillons de bulles. Sans nous concerter, nous nous levons les trois au centre du jacuzzi, laissant plus d’espace aux femmes dans le bassin. Susan me paraît fortement troublée par la vue des trois énormes phallus exhibés côte à côte sous son nez. C’est le jeune taurillon noir qui est le mieux monté, le gland de son impressionnant gourdin noir au duvet crépu lui couvrant le nombril. Mais Bande Dure et moi pouvons presque rivaliser avec lui quand au volume de nos attributs respectifs, les couilles marron du métisse plus grosses et pendues que les miennes, mon poteau aux poils blonds plus massif que le sien.
A genoux dans les remous, Suce-Anne rapproche nos trois bites de ses lèvres, et lèche tour à tour à grand coups de langue gourmands les trois magnums café, vanille et chocolat, qui loin de fondre, en durcissent encore plus. Boulimique, elle les prend chacun en bouche en alternance pour les déguster. Du plat de ses mains actives, elle fouille nos poils pubiens et caresse nos trois bas-ventres. Jennifer s’est faufilée entre Susan et nous, et la tête renversée en arrière émergeant à peine de l’eau, elle nous suce les couilles à grand bruit, avec une préférence marquée pour celle de Miguel sans doute parce qu’elles sont les plus volumineuses et qu’elles sont épilées. Debout en demi-cercle dans le bouillonnement qui nous gicle les couilles, nos monolithes géants érigés comme des statues de marbre, nous laissons les deux prêtresses officier religieusement, l’une des vestales nous pompant la bite à tour de rôle en les faisant s’entrechoquer, l’autre faisant de même avec nos burnes. Pendant que les deux officiantes célèbrent leur culte, mes mains explorent les fesses des deux éphèbes au raz de l’eau, entre lesquelles mes deux index s’infiltrent et trouvent leur trou de balle où je les enfonce. De leur côté, Thebo et Miguel me travaillent chacun une fesse et un téton. En plus des sensations intenses que j’éprouve, le spectacle que nous offrons me met en transes.
Miguel se dégage et, prenant appuis sur ses mains, se hisse pour s’asseoir sur le bord du Jacuzzi, son priape effrontément dardé en l’air. Il prend Thebo par ses rastas, attire sa tête au niveau de son membre dressé, et l’introduit entre les lèvres du jeune larbin qu’il force à le branler avec sa bouche en le tenant par les joues. J’ai maintenant les reins cambrés du jeune black aux belles fesses tentantes tendues vers moi à hauteur de ma biroute alléchée. Je lui écarte les fesses et mouille son trou de balle pour mieux forcer son cul d’ébène que je lui défonce à grand coups furieux, tout en lui claquant méchamment le fessier. Jenny est restée sous ma queue et s’occupe de mes roustes, pendant que Susan me lèche l’anus en spirales. Quand je me lâche et remplis le cul de l’étalon noir de mon foutre laiteux en convulsions saccadées, Bande Dur lui a déjà craché sa purée en pleine gueule, lui composant un masque tribal en noir et blanc complété par les peintures de guerre de mon sperme blanchâtre qui lui coule le long des cuisses.
Plénitude
Notre hôtesse se relève, manifestement frustrée de n’avoir pas pu participer plus activement à nos ébats. Elle sort du jacuzzi, plonge la tête de Thebo sous l’eau pour le rincer, et l’index passé dans la boucle du piercing de son téton, le conduit ruisselant d’eau et bandant comme un taureau jusqu’à la table basse en verre du salon, sur laquelle elle le fait s’allonger sur le dos. Elle revient sur la terrasse, nous prend, Miguel et moi par la main, et nous ramène à l’intérieur de la pièce, dégoulinants toute notre eau qui coule le long de nos sexes ramollis comme si nous pissions sur la moquette, y laissant un sillage sur notre passage. Susan nous fais nous agenouiller face à face de part et d’autre de la table détrempée et sans un mot nous montre comment nous agripper mutuellement les avant-bras avec nos poignets au dessus de Thebo, toujours étendu comme sur un autel.
Je comprends où elle veut en venir lorsque, s’appuyant des mains sur nos épaules, elle se hisse en arrière, et vient s’asseoir sur nos bras, le creux des genoux et le dos retenus par nos avant-bras noués, l’arrière train passé dans le trou carré formé par nos bras et nos poitrines. Son cul pend juste au dessus du gland démesuré du rasta qui dirige à deux mains son mandrin vers la cible mouvante que constitue la vulve écarlate suspendue en l’air au dessus de lui. Nous baissons un peu la chaise percée que nos bras forment pour que son vagin béant puisse s’emmancher sur cette bite d’amarrage. Confiante dans notre force à la soutenir, elle lâche nos épaules, s’empare de nos queues maintenant à nouveau bien raides et se met à les manœuvrer comme des manches à balais, de droite et de gauche, nous indiquant du coup dans quel sens faire tourner son corps avec la moule convulsée empalée sur la poutre de chair noire. Pilotés par les mouvements alternés imprimés à nos bites, nous faisons pivoter ce bilboquet en augmentant l’amplitude à chaque changement de direction jusqu’au demi-tour dans chaque sens, pendant que Thebo le met en vrille, faisant coulisser verticalement son manche de pioche en levant son bassin en rythme avec nos torsions. Il soutient les fesses de Susan qui pousse des cris de plaisir comme une petite fille sur un manège de voltigeurs, à la différence qu’elle est à poil, embrochée comme une volaille et qu’elle mouille abondamment.
Commençant à fatiguer, nous baissons la garde de nos bras et laissons la jouisseuse redescendre se planter jusqu’à la garde sur l’énorme madrier du black, plaquer son ventre blanc contre le sien, les seins roses et gonflés appuyés contre les plaques de chocolat de son torse, la bouche cherchant ses tétons presque noirs et trouvant l’anneau piercé qu’elle arrache presque avec les dents. Miguel contourne la table, et vient s’assoir sur les cuisses de Thebo, derrière Susan. Il crache abondamment dans ses doigts pour lubrifier de sa salive sa bite congestionnée et le trou du cul de la blonde. Profitant des ahanements du jeune rasta en plein travail sur le con, en s’aidant des mains qui écartent les fesses à les déchirer presque, il enfile par à-coups sa grosse pièce durcie dans l’anus de la chienne, qu’il distend à l’extrême.
Jennifer ne perd rien de la scène, mais ne veut pas être en reste. Elle s’accroupi derrière le métisse, darde sa langue dans son cul, et évalue d’une main enveloppante la taille des couilles des deux mecs en rut, pendant que de l’autre elle se branle la moule et le clitoris déjà bien stimulé.
Ce spectacle décuple mon érection et je ne veux pas rester non plus sur la touche, si bien que je me déplace à l’autre extrémité de la table, sur laquelle je monte à califourchon au dessus du visage de Thebo qui prend mes couilles entre ses dents et me les mange en les suçant. Je présente ma verge en chaleur aux lèvres pulpeuse de Suce-Anne qui la happe avec une fébrilité avide et lui transmet le va et vient des deux mandrins qui la pistonne depuis l’autre bout de la table. Chacun de ses trous est maintenant obturé et ramoné par un énorme phallus en mouvement. En prime, je lui triture le bout durci de ses seins moites. Elle doit ressentir cette plénitude de tous ses orifices si intensément qu’elle lâche bientôt un raz de marée de jus mousseux qui inonde les parties des deux fouteurs transpirants. A la succion accélérée que Thebo prodigue à mes testicules enflammés et la crispation de sa mâchoire, je pressens qu’il est en train de décharger grave, tout comme le râle guttural de Miguel ne laisse pas douter de l’intensité de son éjaculation féroce. A mon tour, je sens que j’atteins le paroxysme de l’excitation et j’ai l’impression qu’un bon décilitre de mon sperme brûlant monte en bouillonnant dans ma bite pour gicler en saccades au fonds de la gorge de Suce-Anne, qui doit se sentir comme une grosse outre remplie de foutre qui déborde par tous ses trous. Je retire lentement ma queue fatiguée de sa bouche et elle régurgite ma semence sur le poitrail de Thebo, qui en capte avec la langue quelques gouttes sur mon gland débandant lorsqu’il glisse au passage sur sa bouche et son visage.
Rassasiée, Susan se dégage des deux queues qui la fourraient et se laisse rouler sur un des canapés dont elle macule le cuir en s’y essuyant. Miguel s’écroule en nage sur l’autre canapé, la bite déjà en berne d’avoir trop baisé, abandonnant J Lo qui se retrouve face à l’érection par contre encore tout à fait utilisable de Thebo. Elle l’enfourche et vient se finir frénétiquement sur la poutre d’ébène, les seins nageant dans la sueur mêlée de foutre qui baigne le poitrail du jeune noir, puis s’affale de tous son poids sur lui, la tête dans le creux de son épaule.
Je me traine jusqu’à mon froc qui gît en torchon sur le tapis, l’enfile à même le sol et y remballe mon matériel visqueux. J’avise le seau à glace à portée de ma main et y puise une poignée de glaçons fondants. Je me relève, m’approche à nouveau du groupe avachi de torpeur, écarte les fesses relâchées de Jenny couchée sur le black, et propulse un cylindre glacé dans son anus, lui arrachant un cri d’agréable surprise. Je trouve la bouche de Miguel et lui force un glaçon entre les dents comme une ostie, puis j’écarte les cuisses mollement abandonnées de Susan et lui en fourre un dans le vagin, lui rafraîchissant aussi la touffe avec l’eau qui en coule. Puis je déverse ceux qui me restent au creux de la poitrine de Thebo où ils se mêlent à sa sueur et coagulent mon sperme dont il est trempé. Je murmure:« Merci pour cette putain de bonne bourre, les potes. Vous avez tous été foutrement bons et moi aussi j’espère. Sûr que je vais en garder un souvenir nostalgique. Bye-bye». Je ne récolte qu’une série de grognements de contentement et d’approbation, sauf de Miguel qui me fais: «Prends bien soin de tes fesses mon salaud, et ne laisse pas traîner ta bite n’importe où, tu sais pas sur qui tu peux tomber, hin-hin!». Je ramasse mon slip et mon t-shirt avec lequel je m’éponge la queue et traîne les pieds jusqu’à la porte. Je jette un dernier coup d’œil aux quatre corps lascivement abandonnés avant de quitter la pièce et de descendre jusqu’à ma chambre en me repassant le film de la soirée. Je me dis qu’il faudra que je me trouve un nouveau fantasme. Le jour pointe déjà. Je me débarrasse de mon jean, me jette sur le lit et m’endors comme une masse pour une nuit sans rêve.
Epilogue
C’est là que mon récit s’achève. Ni Miguel ni Jennifer ne se sont montrés le lendemain matin lorsque j’ai quitté l’hôtel, et mon voyage de retour ne présente pas d’intérêt. Même si j’étais seul dans le compartiment première classe de l’avion, dorloté par une jeune hôtesse eurasienne hyper-bandante et un petit steward au cul de toréador qui tous deux me faisaient clairement comprendre qu’ils étaient à mon service, je n’en ai pas profité, préférant rester fidèle à ma femme, …et la queue encore trop endolorie du festin des deux nuits précédentes.
Ma prose t'inspire?