1. Une gloutonne de bites
Je n’en reviens pas du pot que j’ai ces temps.
Tout d’abord de tomber sur Cécile et Gilles, puis maintenant de passer un long week-end avec eux dans la villa de ce
couple d’amis de mes parents.
Ca fait pas longtemps qu’on baise ensemble, mais j’en ai plus appris avec eux qu’avec toutes les filles que j’ai connu
avant.
Il faut dire que ça a tout de suite démarré fort la première fois qu’on s’est vu. C’était à une soirée bien arrosée chez
un copain. J’ai tout de suite flashé sur elle. Une plante magnifique, hyper sensuelle avec une super classe, sa longue chevelure marron répandue sur ses épaules dénudées. Elle était avec ce beau
noiraud balèze, Gilles, qui lui caressait les cuisses, et moi j’étais seul. Elle m’a déshabillé du regard quand je me suis assis près d’eux et ce
qu’elle a imaginé à dû lui plaire car son expression était sans équivoque quand nos regards se sont croisés. Il faut dire que je suis plutôt beau gosse, plutôt baraqué, bien pourvu coté bite, et
quand je bande, c’est difficile à dissimuler dans un jean moulant. Je l’ai bouffée des yeux le reste de la soirée et elle me le rendait bien.
J’ai avalé de travers quand elle m’a dit, assez fort pour que son copain l’entende, qu’elle avait besoin de deux queues
pour jouir cette nuit et comme j’avais l’air bien monté, qu’elle avait envie d’essayer la mienne. Je ne sais pas ce que j’ai marmonné en réponse, mais ma gaule a encore doublé de volume et je les
ai suivis de peu quand ils sont montés à l’étage.
Quand je suis entré dans la chambre faiblement éclairée, le gars était déjà couché sur le lit, pieds sur le tapis,
complètement à poil, son grand corps musculeux mis en valeur par une monumentale érection. Il aidait Cécile à dégrafer son soutif d’où s’échappa la plus belle paire de seins que ma jeune carrière
sexuelle m’ait donné à voir: oblongs et fermes au galbe parfait. Pendant qu’il la libérait de son slip, découvrant son cul d’enfer et me laissant entrevoir les lèvres saumonées de son sexe ourlé
de poils bouclés, Cécile m’attira à sa portée et déboutonna fébrilement mon jean d’ou jaillit mon massif engin bandé à mort. Elle me fit m’agenouiller la queue en étendard entre les jambes
écartées du mec, s’empara de nos deux manches turgescents et
se mit
à les branler doucement ensemble, les pressant gentiment avant d’y appliquer ses lèvres satinées. Expérience nouvelle de sentir battre les veines d’une autre queue contre la mienne, mes balloches
roulant sur les couilles d’un autre mec, pendant que je me faisais sucer la bite par cette superbe femelle dont les cheveux me caressait les parties. Je n’ai pas résisté à effleurer au passage la
poitrine musclée aux poils blonds de ce beau mâle, avant de m’emparer des seins magnifiques de Cécile dont je couvris de baisers mouillés de salive les bouts contractés. Le beau blond avait
glissé un doigt explorateur dans sa chatte pulpeuse et lui massait le clitoris d’pouce expert.
Lorsque Cécile s’est dégagée pour venir enfourcher Gilles et se coucher dos sur son ventre, j’ai pensé que je devrais
attendre mon tour pour la baiser, mais les deux m’ont retenu en place et elle s’est enfourné nos deux biroutes dans son vagin dilaté à l’extrême. Sentir nos mastards accolés distendre les parois
de cet espace moelleux qui avait peine à les contenir m’a tellement excité que j’ai déjà déchargé ma purée après trois bourrées de queue, irrigant du même coup la grotte ou coulissait de concert
nos grosses pines maintenant lubrifiées de mon sperme. Nous avons continué à limer ensemble et j’ai bientôt ressenti le long de ma bite la montée de sève dans celle du mec archi tendu, et la
giclée de son foutre qui nous a tous inondé en rafales. Cécile s’est mise à pousser de petits gémissements affolés, elle a serré les cuisses, étreignant nos deux queues et a lâché une puissante
rasade de jus dont le jet impressionnant a giclé mon nombril et ruisselé sur mon bas-ventre.
2. Lubrifiants bienvenus
Après cette entrée en matière, nous avons décidé de continuer à nous voir pour baiser ensemble à trois, et l’occasion
s’est présentée ce week-end avec l’invitation à la villa.
Nous avons embarqué ce matin dans mon vieux cabriolet BMW, capote baissée. Il fait très chaud, je conduis torse nu.
Cécile est à côté de moi, en mini-jupe et cache-cœur croisé, et Gilles est affalé en travers du siège arrière, en short, les pectoraux à l’air. Il nous faudra bien deux heures pour atteindre la
villa, par de toutes petites routes à travers une cambrouse idyllique mais paumée.
Nous avons mis la sono à fond pour couvrir le bruit du vent. Voilà une heure que nous roulons quand le voyant d’huile se
met à tirer dangereusement sur le rouge, et que ma vieille tire se met à fumer. J’avise un bosquet d’arbres au bord de la petite route et parque la voiture à l’ombre. Je baisse un peu le volume
sonore, saute hors de la voiture et prends un bidon d’huile dans le coffre arrière. Je n’en ai pas pour long, les autres peuvent rester dans la voiture à écouter la zique.
J’ouvre le capot et me penche sur le moteur. Il me faudra attendre quelques minutes qu’il refroidisse avant de pouvoir
remettre de l’huile. Comme je ne vois pas mes copains avec le capot ouvert, je leur crie d’avoir un peu de patience. J’en profite pour vérifier le niveau d’eau. Puis je verse le bidon d’huile.
Sans entonnoir, je m’en fous plein sur les mains.
Je referme le capot, et découvre à travers le pare-brise que les deux vicieux n’ont pas perdu leur temps: Gilles est
couché à poil le dos sur le capot arrière, les pieds sur les sièges jambes écartées, le bassin tendu en avant, les mains dans les cheveux de Cécile penchée sur lui par dessus les sièges avants
qui lui pompe la teub. Le spectacle est bien bandant, mais ce qui mène mon excitation à son comble, c’est qu’elle est à cheval entre les deux sièges avant, un genou sur chaque siège, jupe relevée
et seins à l’air, et se ramone lentement avec le levier de vitesse gainé de cuir planté dans le con.
La vision de
ses fesses largement écartées qui vont et viennent en laissant poindre la rosace de son anus rosé m’attire irrésistiblement. J’expédie mon froc, j’enjambe la portière et me coule sous le tableau
de bord. Je prends en main pleine d’huile mon sexe enflammé, graisse son trou du cul de mon index maculé d’huile de moteur et, la base du levier entre les cuisses, je lui enfonce doucement ma
barramine en fusion par à-coups jusqu’au fond du cul. C’est la première fois que j’encule, et je découvre l’immense plaisir d’être enserré dans ce très étroit fourreau soyeux. Après s’être
contractée quand je l’ai pénétrée, Cécile a relâché les muscles de son fessier et a repris son va et viens sur le levier dont je sens le cuir mouillé me frotter les couilles baignées de son jus
qu’elle vient de lâcher en une vague tiède. A l’aveugle, ses mains viennent triturer mes muscles fessiers contractés. Au travers de la fine membrane qui sépare les deux cavernes, le renflement du
pommeau qui coulisse dans son vagin masse ma trique sur toute sa longueur à chaque passage. Mes mains sont remplies de ses seins dont j’entreprends de triturer les tétons durcis entre mes doigts
gras. Mon ventre et ma poitrine en sueur sont plaqués contre son dos, nos têtes côte à côte.
Elle a abandonné la queue de Gilles et lui suce le sac avec application, l’étirant entre ses dents. Son phallus luisant
de salive se dresse insolent juste devant mon visage, émergeant d’un buisson de poils drus. Je n’ai encore jamais goûté de bite mais ce gros morceau obscène au gland suintant et à la forte odeur
attire ma bouche comme un aimant, et je l’aspire goulument. J’en ressens un frisson qui court le long de mon échine jusqu’au creux de mes reins. Ma langue lèche le frein du gland et s’enroule
autour, et je commence à le pomper comme j’aime qu’on me
suce. Il m’a empoigné par la
tignasse et me donne le rythme. Je sens qu’il va me découiller dans la bouche, mais je découvre que ça m’excite et que je n’attends que ça. Ma succion devient frénétique et il m’envoie en
gueulant une rasade de sperme qui me tapisse le palais, englue ma langue et m’envahit la gorge. Je suis au paroxysme, et redouble d’ardeur à défoncer le cul de Cécile Mes couilles bouillonnent de foutre et un dernier coup de biroute à fond de cul suffit à me faire éjaculer avec l’impression d’exploser son derche.
Nous restons un moment écroulés les uns sur les autres à reprendre nos esprits. Une fois grossièrement essuyés, nous nous
remettons en route sans nous rhabiller, musique à donf, le vent chaud séchant nos poils frissonnants. Tous les fluides sont de nouveau à niveau.
3. Plongeon dans le stupre
Une fois la voiture arrêtée dans la cour de la propriété que je connais déjà pour y avoir passé un week-end de baise avec
l’amie de mes parents, je me jette sur la porte que j’ouvre d’un tour de clé, et nous nous ruons à travers la maison vers le jardin, pressés de plonger à poil dans la piscine pour nous rafraichir
autant que nous laver.
En ressortant la tête de l’eau, je découvre que le plongeoir est
occupé. Le jeune gars qui s’occupe de l’entretien du jardin et de la piscine quand les propriétaires sont
absents y est allongé nu, en train de se branler avec délectation, les yeux fermés. Les écouteurs de son ipod sur les oreilles, il ne nous a pas entendus arriver. Je fais vibrer la planche du
plongeoir du plat de la main et il manque en tomber en sursautant. Il se redresse, nous jette un regard affolé, et essaie vainement de cacher son érection carabinée sous ses paluches. Il est
super gêné. Il nous explique qu’il ne nous attendait que dans l’après-midi, et qu’il a l’habitude de …se sécher au soleil sur le plongeoir après les 50 bassins qu’il nage chaque matin. De nous
voir aussi à poil le rassure sans doute un peu.
J’avais déjà rencontré Angel lors de mon premier séjour. C’est un jeune éphèbe très sympa, pas Einstein, mais démerde,
qui se fait un pécule pendant l’été. En habits de travail, je n’avais remarqué que sa belle gueule auréolée de longs cheveux en broussaille, mais son corps juvénile bronzé aux longs muscles
saillants est très harmonieux et ne laisse pas indifférente Cécile
qui fend l’eau jusqu’au
plongeoir et se hisse ruisselante au côté du grand ado. Gilles et moi nous sommes assis jambes dans l’eau sur la margelle qui lui fait face.
Elle le prend par l’épaule et le force à se recoucher, puis lui caresse l’aine du revers de la main et lui commande
doucement de continuer à se branler devant nous en la regardant se caresser les seins. Il nous jette un regard incrédule puis émoustillé et reprend lentement ses caresses solitaires, les yeux
rivés sur les seins somptueux de Cécile qui lui demande s’il est encore puceau. «Ben, j’ai jamais baisé avec une fille, mais mon grand frère m’a prêté son cul quelques fois». Cécile lui promet
qu’elle va lui ouvrir ses cuisses et se charger de le déniaiser avant la fin de la matinée.
En entendant ça, une vague de désir monte
en un délicieux
picotement dans mes couilles et je vois ma verge
gonfler en se dressant entre mes jambes écartées. Gilles se prend lui aussi une trique monumentale. Cécile, s’allonge sur la planche le long du corps du branleur, les poils du pubis collés à sa
hanche, une jambe passée sur sa cuisse, et explore de ses mains baladeuses son sexe, ses abdos, sa poitrine et s’arrête aux tétons, qu’elle pince et tire entre ses doigts. D’une main Il s’empare
des seins qui pointent devant lui et les presse contre ses lèvres pendant que son autre poignet accélère le rythme de sa masturbation.
Gilles se laisse glisser dans l’eau et rejoint le plongeoir. Je le suis et nous nous hissons sur le bord de la piscine de
part et d’autre de la planche.
Du côté ou
je suis, j’ai le fessier écarté de Cécile devant les yeux, la rosace de son cul bien épanouie, la vulve gonflée affleurant des poils pressés contre la cuisse du jeune. Comme aimanté, je me penche
entre ces fesses alléchantes, colle ma langue aux lèvres entrouvertes de son vagin qui s’y infiltre et lèche la ciprine qui en suinte déjà, mes mains caressant la peau de pêche de son fessier
charnu.
Agenouillé de
l’autre côté du plongeoir, Gilles détourne le poignet d’Angel vers sa bite à lui pour qu’il le branle pendant qu’il se penche sur l’ado et aspire sa biroute à pleine bouche pour la pomper à
grandes succions bruyantes, les mains bien actives à lui masser les burnes.
Mais Cécile, reprenant l’initiative, renverse Angel sur elle en se mettant à plat dos, cuisses écartées, les jambes
pendant de chaque côté de la planche, s’emmanche son phallus visqueux de salive dans sa chatte ruisselante, et commence un lent va et vient qui fait ployer le plongeoir en cadence.
Gilles, que je découvre attiré par la chair fraîche mâle, a contourné la tête du plongeoir, et toujours à genoux, dirige
d’une main ferme son dard turgescent qu’il enfonce lentement entre les fesses d’Angel déjà bien écartées. Le jeune étalon accuse le coup d’un râle de molle protestation avant de reprendre sa
besogne maintenant cadencée par les coups de boutoir de Gilles qui lui claque en plus méchamment les fesses, son autre main agrippée à sa crinière blonde ébouriffée.
Spectateur complètement en rut de cette scène, je ne peux me contenter de me branler comme je le fais depuis un moment.
Il faut que ma verge orpheline trouve aussi un orifice où s’épanouir. Je viens m’accroupir derrière le beau Gilles, j’écarte à deux mains ses fesses tendues, lâche un long filet de bave qui coule
le long de la raie de son cul et vient humecter la fleur rosée de son anus à peine ouvert, et prenant en main mon vit impatient, je l’embroche en une poussée douloureuse qui m’amène au fonds de son derche étriqué. Nous limons tous quatre en un même élan qui fait osciller le plongeoir à grande
amplitude. Je bande tellement que j’ai l’impression que c’est aussi mon braquemart démesuré qui coulisse en enfilade dans le cul d’Angel et la moule de Cécile. Les mains bien à plat sur les
épaules charpentées de ma monture, je suis le dessin de ses muscles dorsaux qui saillent sous la peau bronzée, jusqu’à atteindre les reins et palper ses fesses musclées. Défoncer ce rectum
nerveux est une expérience bien différente et plus bestiale que de baiser le cul voluptueusement charnu de Cécile.
Le jeune puceau brame comme un cerf en rut. Il lui faut très peu de temps pour atteindre le point de non-retour,
décharger bruyamment dans une série de spasmes qui nous secouent tous les trois et fait vibrer la planche, et s’écrouler sur la fille qui l’enserre dans ses bras. Aux contractions de ses muscles
fessiers, je sens que Gilles lâche lui aussi sa purée et baptise le trou de balle de l’ado maintenant doublement dépucelé et qui s’écroule sur Cécile. Je suis au comble de l’excitation, redouble
mes coups de piston et éjacule à mon tour avec des râles de plaisir pervers en un feu d’artifice qui tapisse de foutre le fondement relâché de Gilles qui s’est affalé sur le dos d’Angel. Je me retire et laisse
dégorger mon mandrin baveux au creux de ses reins. Au vu de la mare qui inonde la planche maintenant immobile, Cécile a aussi pris son pied à dépuceler l’éphèbe.
4. Ying-Yang et big bangs
Tous quatre vautrés les uns sur les autres à même le plongeoir, le corps baigné de nos sécrétions laiteuses, nous devons
former un tableau assez lubrique. C’est le moment que choisit
Loana, l’amie de mes
parents à qui appartient la villa, pour débarquer au jardin. Elle pensait sans doute me trouver seul et du même coup rééditer le week-end de baise sauvage que nous nous étions payé à l’insu de
son mari. Je vais à sa rencontre, ma queue débandante luisante de foutre, et fais les présentations comme si de rien n’étais. Manifestant sa surprise, elle lâche: «Je ne m’attendais vraiment pas
à toute cette chair fraîche étalée sur mon plongeoir. C’est pas gentil de t’amuser comme ça sans moi, tu aurais pu m’inviter, surtout que mon petit jardinier m’avais caché qu’il était aussi
appétissant et que tes copains ont l’air pleins de ressources». Je l’assure qu’elle est la bienvenue et que nous allons nous occuper sérieusement d’elle. Ce ne sera pas un sacrifice; à quarante
cinq ans, c’est une négresse magnifique et une baiseuse se première. Une robe noire moulante à bretelles qui dégage ses épaules met en valeur sa poitrine plantureuse. La forte cambrure de ses
reins fait ressortir ses belles fesses rebondies. Elle ne porte visiblement rien sous sa robe moulante, comme le soir où, venue dîner avec son mari chez mes parents, elle m’avait littéralement
violé sur le tapis de ma chambre au fonds de l’appartement que je lui faisais visiter. Ses cheveux de jais moussent autour de son beau visage aux lèvres pulpeuses et sensuelles. Elle s’approche
du plongeoir et laisse glisser au sol sa robe de jersey, dévoilant ses seins d’ébène pointés comme des obus, ses hanches généreuses, son pubis à la toison crépue, et ses cuisses fuselées. Les
deux mâles se sont relevés et la bouffent des yeux, leur sexe en main, déjà en train de reprendre vigueur. Mais c’est Cécile, toujours étendue sur la planche, genoux relevés, qui intéresse Loana
pour l’instant. Elle l’enfourche à quatre pattes, lui présentant sa figue violacée et la fleur de son anus à déguster, et plonge sa tête entre ses cuisses largement écartées pour lui pourlécher
la chatte qui coule encore, ses gros seins aux aréoles marron pressés contre le nombril de la jeune jouisseuse qui lui explore le con et le cul d’une langue agile. Leurs deux corps forment un
Ying et un Yang noir et blanc des plus excitants, d’où sortent des bruits de succion et de lèche qui me font saliver.
Laissés pour compte, nous sommes les trois mecs à bander à nouveau comme des boucs au dessus des deux femelles, astiquant
nos trois massifs polars inutiles d’un poignet souple. Gilles choisit de s’aventurer sur le bout du plongeoir qui plie dangereusement vers l’eau, s’y assied à califourchon au niveau de la tête de
Loana, et aide de la main sa grosse bite durcie à s’introduire dans le vagin humecté de salive de Cécile, léchée au passage par la langue gourmande de la suceuse éjectée du con qu’elle barattait.
Balançant son bassin d’avant en arrière, le gars tringle à grands coups de reins, ressort sa queue pour l’enfourner dans la bouche de la négresse qui l’engloutit couilles comprises, puis continue
en alternant ses visites en force de la bouche de l’une et la chatte de l’autre, toutes les deux en attente avide de ce piston insaisissable qui s’en échappe sans cesse pour y revenir encore. Il
choisit finalement le vagin de Cécile pour y décharger son foutre en une série de spasmes qui la secouent furieusement.
Sans perdre des yeux cette scène qui me fait mal à la queue d’excitation, je viens m’agenouiller en tête de plongeoir
entre les fesses de Loana accroupie, au dessus de la tête renversée de Cécile qui laisse glisser sa langue enveloppante le long de ma bite jusqu’aux couilles qu’elle happe de sa bouche goulue et
baigne de salive. De mon gland hypersensible, j’entrouvre les lèvres de la figue boursouflée et gorgée de jus de la belle noire, et me fraie un chemin le long de ce sillon humide en remontant
jusqu'à dégager le clitoris en érection et le branler délicatement avec mon bout suintant. Je sens que le fruit est mûr à point, et, écartelant ses cuisses de mes paumes, je lui enfonce mon
madrier jusqu’au seuil de la matrice d’un coup de reins rageur. La négresse pousse un rugissement de plaisir à demi étouffé par la bite de Gilles qui lui obstrue la bouche, et contracte les
muscles de son vagin qui enserre ma bite dure comme de l’acier. Cécile concentre maintenant ses efforts sur mes couilles en béton qu’elle aspire dans sa bouche et fait rouler sous sa langue et dont elle tire la peau ensalivée entre ses lèvres à presque les arracher. J’ai introduit l’index dans le cul de Loana tendu vers
moi, et l’enfonce en vrille dans cet antre douillet. Je la ramone énergiquement du doigt et de la bite et elle m’encourage en remuant son bassin en cadence. Mais je ressors mon braquemart de sa
chatte qui ruisselle de ciprine, j’en enduis copieusement son trou du cul, et guidant de la main mon engin en folie à ce gouffre béant je m’y enfonce d’une poussée insistante. Je reste un moment
à coulisser dans ce fourreau qu’on dirait ajusté à ma grosse pine, avant de revenir investir pour un moment son vagin pantelant. Je continue mon manège jouissif, alternant le moelleux du vagin et
le soyeux du cul, les couilles affolées par les succions de Cécile. Arrivé au summum de l’excitation, je n’en peux plus et je décharge ma purée en giclées frénétiques qui éclabousse le pubis et
le dos de Loana, et dégouline sur la figure de Cécile qui s’en pourlèche.
Fatigué de se branler, Angel vient se glisser derrière moi, lui aussi à genoux, et colle sa poitrine duveteuse contre mon
dos. Il presse son gros phallus entre mes fesses et je le sens qui palpite le long de ma raie écartée. Récoltant dans ses doigts mon foutre qui dégouline de la toison pubienne de Loana et de mon
sexe luisant, il s’en enduit la bite et m’en lubrifie le trou de balle. Je réalise que je vais recevoir le baptême de mon cul, et ce n’est pas pour me déplaire. Ma queue retrouve le chemin du con
de Loana, et je m’affale sur son dos, écartant à deux mains mes fesses relevées et offertes. Je sens le gland du jeune jardinier qui force l’entrée de mon derche, et s’enfonce millimètre par
millimètre dans mon fondement distendu. J’ai l’impression que son gland est démesuré et que son poteau d’airain trop gros pour cet espace étroit va m’éclater le fion écartelé. Mais les parois de
mon anus se détendent peu à peu pour s’ajuster à l’intrus et je commence à ressentir un plaisir douloureux aux mouvements de ce piston qui coulisse avec insistance jusqu'à presser à chaque va et
viens son gland contre ma prostate. Ses couilles bien pendues battent contre les miennes que les lèvres de Cecile ont retrouvé et qu’elle lèche avec application par en dessous. Du coup, je me
reprends une érection solide au fonds de la moule gluante de Loana. Je passe une main derrière la cuisse d’Angel, éprouve la fermeté de ses muscles fessiers, empoigne à pleine main son sac par
l’arrière et lui malaxe méchamment les couilles, les ongles plantés dans sa chair. Je les sens gonfler en même temps que son dard se rigidifie encore dans mon anus qui manque exploser quand il
découille en longues rasades et tapisse de sperme bouillant ma prostate stimulée à l’extrême. Son foutre refoule de mon cul obstrué par sa grosse bite et coule le long de mes balloches où il est
léché bruyamment par Cécile. Le petit enculeur ne sait pas qu’il m’a défloré le cul, mais je le lui glisse à l’oreille.
Nos mouvements se ralentissent jusqu’à s’arrêter. Angel appuie son torse sur mon dos et nous restons un moment vautrés
les uns sur les autres à revenir sur terre. Cécile, comprimée contre la planche par le poids de nos corps affalés est la première à réagir. D’un coup de hanches de côté, elle nous débarque du
plongeoir et nous nous retrouvons au fonds de la piscine qui nous rafraichit et nous épure une nouvelle fois.
J’ai pris un pied géant et je crois que je ne suis pas le seul. Je suis sûr que nous allons passer le reste du week-end
tous les cinq à jouir par tous les orifices dans toutes les configurations possibles, mais je te raconterai çà mon retour. D’ici là, imagine ce qui t’excitera le plus.
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