Ma gaule du petit matin

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L'excision c'est criminel

Les femmes ont droit au plaisir


TIKEN JAH FAKOLY

Le Sida c'est ta vie foutue


Baiser avec une capote, c’est chiant. Tu perds tes sensations. C’est comme de nager en combi de plongée plutôt qu’à poil.

Sucer une bite couverte d’un préservatif c’est pas bandant. Goût de latex dans la bouche.

En plus, tu baise à sec, pas de foutre à partager.

Ca fait chier.
Mais est ce que tu veux risquer de te faire séropo, ta vie foutue passée en trithérapies, paria de la société?

Ca serait trop con, alors merde, dans le doute, enfile un présé.

 


Sidaction
envoyé par sabotage

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Récit Porno Bisexuel

Mardi 15 décembre 2 15 /12 /Déc 08:53


Encore un récit que m'a fait mon pote Philou: Orgie gay dans un WC public


J’ai toujours rêvé de me faire violer par une bande de brutes sur le carrelage d’un WC public.

Ce jour là, j’étais à l’étranger, j’avais besoin de pisser et j’étais curieux de voir de quoi les toilettes publiques avaient l’air dans cette ville. Mais j’avais aussi des idées derrière la tête, parce que j’étais en manque de sexe dans ce pays dont je ne parle pas la langue. Les toilettes étaient assez vastes, toutes carrelées de blanc du sol aux murs, avec des box de chiottes fermés à mi-hauteur et une rangée de pissoirs assez sales.

J’ai soulagé ma vessie, et comme j’étais seul, j’ai commencé à masser ma queue en pensant à mon fantasme de viol, et je me suis mis à bander comme un âne rien que d’y penser. J’ai commencé à me branler plus énergiquement.

C’est à ce moment que deux jeunes loubars balèzes sont entrés dans les toilettes. Ils ont choisi de venir uriner chacun de son côté, à ma droite et à ma gauche. Ca m’a excité grave de savoir que ces deux jeunes mecs me lorgnaient du coin de l’œil en train de me secouer le nœud pendant qu’ils pissaient. J’ai jeté un coup d’œil à leur bite et j’ai vu qu’ils commençaient à bander en finissant de pisser.

Ils se sont lancé un regard complice, et biroute dressée en main, se sont légèrement reculés pour se retrouver derrière moi. Je leur ai jeté un regard affolé, j’allais pas leur dire que je voulais me faire violer! Ils m’ont tiré en arrière, l’un d’eux, un grand blond m’a ceinturé, et m’a levé mon t-shirt jusqu’aux aisselles pendant que l’autre, un noiraud très poilu, défaisait la boucle de ma ceinture et me baissait brutalement le jeans et le boxer sur les chevilles. Je me suis retrouvé à poil dans ce WC, la bite en érection, à la merci des deux lascars qui s’échangeaient dans cette langue que je ne comprenais pas des commentaires dont je sentais bien qu’ils parlaient du sort qu’ils me réservaient.

Le mec de derrière m’a plaqué une main sur les fesses, de l’autre passée entre mes cuisses, il a enserré ma bite à pleine main et l’a tirée vers lui en la pliant à sa base. Celui qui était devant moi s’est assis au sol jambes écartées en m’attirant vers lui, et comme j’avais les chevilles entravées par mon froc, je suis tombé à genoux et sur les coudes, le visage plongé dans les poils de son pubis. Les relents acres de sa bite me sont montés au nez et ont redoublé mon érection. Il a forcé son gland entre mes lèvres et poussé sa grosse biroute bien dure au fonds de ma gorge. J’aimais trop être à moitié étouffé par ce membre qui pulsait dans ma bouche écartelée, mais j’ai poussé un râle indigné comme si j’étais pas consentant. Puis j’ai commencé à sucer cette queue au gout acide, tout enrobée de mon abondante salive.

Le noiraud s’est agenouillé derrière moi, m’écartant les cuisses de ses genoux, et set venu frotter sa bite contre la mienne tordue en arrière entre mes jambes. Il m’a écarté les fesses et j’ai senti qu’il crachait une série de glaires bien gras dans la raie de mon cul, dont il a lubrifié mon trou de balle de son doigt mouillé. J’y croyait pas, je vivais mon fantasme mieux que dans mes rêves! J’étais en train de me faire violer par deux brutes en rût sur le carrelage froid des WC. Le gars de devant me laissait pas respirer, me pressant à deux mains la tête pour que je le suce à la cadence frénétique qu’il m’imposait.

Mais mon attention était toute entière centrée sur mon trou du cul béant, en attente fébrile de l’estocade de l’autre gros pédé. Pour donner le change, je râlait comme un porc en secouant la tête pour signifier que je ne voulais pas me faire enculer, alors que je n’en pouvais plus d’être excité rien qu’à l’idée de ce manche hypertrophié qui allait me forcer le derche.

Ma résistance simulée a eu l’air d’exciter le mec, qui a commencé à m’injurier dans sa langue, et qui m’a enculé sans ménagement, poussant d’un coup son gland jusqu’au fond de mon fion à le faire péter tellement sa bite était énorme. C’était tellement bon, cette sensation d’une matraque qui rentre dans son fourreau, cette impression de plénitude, ce mal qui fais tant de bien! J’ai beuglé en sourdine, la bouche pleine de la pine de l’autre loubard. L’enculeur y est allé à grands coups violents, entrant et sortant de mon cul avec frénésie. J’ai senti que ma bite coulait son précum sur les couilles du mec contre lesquelles elle venait se frotter à chaque enculage, toujours broyée dans sa main crispée.

C’est à ce moment là que je me suis rendu compte que d’autres mecs étaient rentrés dans les toilettes, et passé leur surprise du spectacle qu’ils découvraient, avaient sorti leur paquet et se branlaient en me regardant me faire baiser. C’étaient trois jeunes beurs d’une trentaine d’années tous rudement bien montés.

Mais mon esprit est vite revenu se fixer sur ce que je vivais. Le blond m’a pris par les cheveux et tiré vers le haut de sa poitrine, me sevrant de sa bite pourtant si bonne, que je sentis glisser le long de mon corps, se frotter contre ma bite et mes couilles, et chercher à me pénétrer en même temps que celle du noiraud qui me ramonait avec violence. J’ai poussé un cri de réelle frayeur, mon derche n’allait pas pouvoir accueillir ces deux grosses bites sans être déchiré! Mais le blond a forcé son chemin, distendant au maximum les parois de mon anus et s’est mis à me limer à grands coups de reins ptt8bg7.jpg
de concert avec le noiraud collé à mon dos courbé. J’étais maintenant affalé sur le ventre du blond, ma pine et mes couilles plaquées contre son ventre transpirant.

Un de trois beurs s’est mis à poil du bas et est venu s’agenouiller au dessus de la tête du blond, lui offrant ses couilles à sucer et à moi sa bite à pomper. J’ai happé goulument cette queue basanée et suante qui suintait grave. Elle avait un goût un peu amer qui m’a mis les sens en folie.

Mes deux enculeurs ont pas tardé à décharger leur foutre à plein jet au fond de mon cul, en telle quantité qu’une bonne partie est ressortie et m’a coulé sur les couilles. Dans le même temps, le jeune beur m’a craché sa purée dans la gorge, en rasades puissantes que j’ai avalées avec gourmandise. C’était à une époque ou le Sida n’était heureusement pas encore apparu, aujourd’hui plus question de prendre comme ça directement du jus de couilles dans le cul sans protection.

Ils se sont tous retirés, mais ma fête n’était pas finie, l’orgie ne faisait que de commencer. Les deux autres les ont remplacé tour à tour dans mon derche, me bourrant sans peine avec tout le sperme qui le lubrifiait. Mon cul n’était plus qu’un garage à bites et n’arrivait plus à contenir tout le foutre qui en débordait lorsqu’ils lâchaient leur dose de jus épais.

Il m’ont ensuite fait lécher toutes leurs bites pour les nettoyer et j’ai dû les leur ranger dans leur slip. Les gars se sont rhabillés, m’ont jeté un regard narquois, et sont partis en parlant tous à la fois dans cette langue que je ne comprenais pas. Je me suis relevé la bouche pâteuse de foutre, le corps couvert de sperme séché que je voulais garder sur moi, et j’ai baissé mon t-shirt sans me laver et remonté mon boxer. Mais une fois rhabillé, une grande quantité de sperme a encore coulé de mon trou du cul et atterri dans mon slip qui s’était retrouvé gluant et humide.

J’ai gardé de cette aventure un souvenir nostalgique, auquel je pense chaque fois que je pisse dans des WC publiques, mais l’occasion ne s’est bien sûr jamais plus présentée et le Sida est venu bouleverser les cartes.

Par Tonio Bi - Publié dans : Récit Porno Bisexuel - Communauté : Arts érotiques
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Dimanche 25 octobre 7 25 /10 /Oct 06:35

Là, c'est mon pote Philou qui va te faire saliver avec le récit de ses débuts comme soumis:
 

Y faut que je te raconte mes débuts de sac à foutre. Ca a commencé quand j'avais 19 ans. J'étais timide, encore vierge du cul, et je suis entré dans un ciné porno. Je savais que la pénombre me conviendrait si je devais faire une rencontre. Il devait y avoir une vingtaine de personnes dans la salle. Je me suis assis dans une des rangées latérales du fond. Sur l'écran, deux gars enculaient un mec qui râlait, leurs deux bites qui lui déchiraient son trou du cul. Ils étaient super bien montés. J'ai défait ma braguette et commencé à me caresser la queue, la main dans le slip.

Au bout d'un moment, un jeune mec s’est affalé dans le fauteuil à côté de moi. Il avait l’air de sortir du bureau, costard cravate, genre jeune loup carnassier. Sans me regarder, il a dézipé son froc. J’ai vu les poils de son pubis surgir, c’était clair qu’il portait pas de slip. Il a sorti sa queue en érection monumentale et a commencé à se branler. Quelques instants après, il m'a dit sur un ton assez autoritaire: «descend ton froc!». On ne m'avait jamais parlé comme ça mais j’ai aimé, et j’ai senti ma queue durcir un peu plus encore. J'ai donc descendu mon jean et me suis retrouvé en slip dans cette salle de cinéma avec des mecs qui me regardaient de leur place. Je dois dire que ma biroute est de belle taille et faisait une protubérance assez suggestive à mon slip. Il m'a lentement caressé la queue à travers le tissu, puis il l'a sortie de son écrin et a commencé à me la masser tout en se masturbant. Je suis un peu exhib, mais avec tous ce mecs autour, j’étais pas à l’aise. J’ai été soulagé quand le gars m'a dit: «remballe ton matos, on va aller chez moi». Ca m’a excité un max de penser à ce qui pourrait des passer chez lui, et je l’ai suivi sans hésitation. En chemin, il ne m’a pas parlé, et pas répondu à mes questions, mais il dégageait une autorité naturelle et je me suis senti comme en son pouvoir. Il habitait pas loin.

En arrivant chez lui, il m'a montré la salle de bain, m’a donné une serviette de bain et m’a dit de prendre une douche pendant qu’il donnait quelques coups de fil. Je me suis prélassé sous la douche, et lavé le cul bien à fond. J’avais bien l’intention qu’il me le déflore ce soir là. Quand je suis sorti de la salle de bain, avec ma serviette autour des reins, il était vautré sur le divan de son salon devant la télé, avec juste un slip en latex noir qui moulait ses attributs. Il bandait à mort. J’ai pu apprécier son torse musclé et ses abdos sans graisse. Un beau spécimen de jeune cadre sportif! Il avait mis une vidéo SM homo. Je me suis étendu près de lui en laissant ma serviette découvrir ma queue dressée. Il a glissé sa main le long de ma cuisse, et m’a caressé les couilles.

Soudain la sonnette a retenti. J’ai bondi du sofa et me suis emballé séré dans ma serviette. Il s’est levé et m'a dit «t’inquiète pas, j'ai juste invité quelques copains pour qu’on s’amuse un peu, on va bien s'occuper de toi». Il a été ouvrir à quatre gars dans son genre, dont un grand black super balèze, qui m’ont déshabillé des yeux d’un air lubrique. J’avais pas prévu un truc comme ça, à plusieurs. Pris de panique, je me suis dirigé vers la salle de bain ou j’avais laissé mes habits, mais un des gars m’a barré le passage avec un sourire en me susurrant : «on veut pas te faire de mal bébé, mais Michel nous a dit que t’était bien monté et que t’avais l’air chaud du cul, alors on veut aussi en profiter et te faire tester nos pines. Viens te mettre à l’aise sur le canapé». Je me suis laissé faire, et c'est à partir de ce moment là que j'ai été un jouet sexuel pour ces cinq vicieux.

 Ils se sont déshabillé rapidement. Quatre portaient un slip de cuir et le black un jock rouge qui n’arrivait pas a contenir sa grosse bite turgescente. Un des mec m’a dit qu’ils allaient avant tout me raser. Je me suis couché sur la table de la salle à manger, et j’ai perdu tous mes poils du pubis, de la queue et des couilles. Mais cela ne leur suffisait pas. Ils m'ont retourné sur le ventre à même la table, les jambes pendantes qu’ils m'ont écartées au maximum pour bien ouvrir mes fesses et dégager mon cul, puis ils me l’ont rasé intégral. J’ai bien aimé le contact de la lame autour de mon trou du cul, avec cette crainte de me faire blesser. Je bandais comme un taureau, la bite comprimée contre le bois de la table. Mais j’en avait pas fini avec les préparatifs. Ils ont voulu me faire un lavement avec une poire et m’ont vidé les intestins.

Sans crier gare, ils m’ont ensuite attaché les mains et les pieds aux quatre pieds de la table avec des rubans de soie. J’étais à leur complète merci, presque écartelé, le cul grand ouvert, la bite et les couilles dépassant du bord de la table contre lequel elles étaient pressées. Avoir le cul ainsi exposé à cinq mecs en rut m’excitait beaucoup, j’avais les burnes comme du béton.

Ils ont voulu tester l'élasticité et l'ouverture de mon trou de cul encore vierge. Un tube de lubrifiant Eros a surgit et un des mec m’en a enduit le fion. C’était un peu pimenté, et ça m’a mis le cul en feu. Un index fouilleur m’a sondé, m’en a graissé l’intérieur aussi profond qu’il pouvait et en est ressorti en un mouvement vissé.

Puis Michel est réapparu dans mon champ de vision avec trois godes de tailles différentes dont un énorme qui faisait au moins 7 cm de diamètre. Ils me les ont enfoncé l’un après l’autre, en douceur et profondeur. Quand le plus gros a commencé à forcer mon cul, j'ai gueulé comme un âne. J’avais l’impression que mon derche allait se déchirer. Mais je me suis relâché, il s’est lentement distendu, et j’ai ressenti une grande plénitude. J’ai pas pu m’empêcher de crier : «bordel à queue, j’aime trop». L'un des gars m'a alors dit: «t’as maintenant le cul d'une vrai salope. Tu va pouvoir te le faire exploser et te faire enculer sans crainte, et tu vas en redemander».

Ils sont venus du coté ou j’avais ma tête et ils ont sorti leurs queues qu’ils ont posées sur la table devant mes yeux affolés. Quels braquemarts! Celle du black devait mesurer plus de 20 cm mais elle était surtout très épaisse. Le grand noir m'a dit: «pas de souci, mon bébé, avec le trou béant que tu as à présent, ma queue va renter comme dans du beurre, tu vas jouir grave, mais y faut d’abord que tu me suce». Et il m’a poussé sa grosse biroute entre les lèvres. J’ai pris son odeur forte et musquée en plein nez, et ça a décuplé mon excitation. Je l’ai sucé goulument, avant que les autres viennent se faire pomper par ma bouche avide qui les aspiraient à tour de rôle et même par deux à la fois. Je n'avais jamais sucé autant de bites, ni senti si fort l’odeur âcre qui se dégageait de leur poils pubiens et de leur bites pas lavées. Elles devenaient énormes et bien raides dans ma bouche et leurs couilles ballottaient sur mon menton. J’étais en transe, les sens affolés.

Pendant que je suçais comme un malade, ma séance d'enculage a commencé. C'était encore l'époque où le sida n'existait pas, un premier gland nu à forcé son chemin dans ma rondelle vierge et s’est enfoncé millimètre par millimètre dans mon fion tendu vers lui. J’attendais cette sensation depuis si longtemps! Ca m’a tellement excité que j’ai largué une giclée de foutre qui a coulé en bas de la table. Les queues se sont succédées dans mon trou. J'étais devenu un véritable garage à bites, un trou ouvert à tous. Les pédés m'ont enculé à tour de rôle, tous plus puissants les uns que les autres. Seul le black attendait son tour en s’attardant à se faire sucer, ce qui n’était pas pour me déplaire. Il m’a dit qu’il voulait que mon derche soit bien ouvert et lubrifié par le sperme de tous ses copains avant de me prendre. Les quatre bites se sont vidées dans mon cul et je crois même qu’un mec y est venu deux fois. Le sperme débordait de mon trou et coulait jusque sur mes burnes.

Le grand balèze noir m’a sevré en retirant sa pine de ma bouche. Il s’est approché de mon fion débordant de foutre, et a écarté davantage encore mes fesses pour faciliter la pénétration de son énorme queue. Il en a profité pour les claquer du plat de la main, et le molosse m'a embroché comme une pute. Je me sentais emmanché à la limite du possible, les parois de mon cul complètement écartelées.

Pendant ce temps, les autres m'ont donné leurs queues à lécher pour les nettoyer. Elle étaient encore dégoulinantes de sperme bien gluant que j’ai bouffé avec délice.

Après m’avoir ramoné et limé pendant un bon moment, mon enculeur s'est retiré de moi brusquement sans avoir joui, et m’a crié qu’il voulait me cracher son jus dans la bouche. J’ai ouvert la bouche aussi grand que je pouvais, et sa biroute est entrée toute entière jusqu’au fond de ma gorge. J'en avais presque le souffle coupé. Après quelques va et viens impatients, il s'est raidi et immobilisé quelques secondes avant de vider ses couilles à gros bouillons. Trois grosses giclées de ce jus de couilles tout chaud et épais ont envahi ma gorge, que j’ai avalé en hoquetant.

Ils m’ont abandonné pantelant, attaché sur la table, pendant qu’il allait se doucher tous ensemble, se sont rhabillés, et sont venus me libérer. J’étais à poil, la bouche pâteuse, la figure, les fesses et la queue maculés de foutre séché, au milieu de ces cinq jeunes mecs en costard, qui me regardaient comme si j’étais leur jouet, et j’ai vraiment aimé ça.

Comme j’avais pris goût à être soumis à cette bande d’enculeurs, depuis ce jour-là j’ai remis ça souvent, avec des copains ou des inconnus, mais jamais avec violence. J’ai même une fois été mis à poils dans un WC public par trois mecs qui m’ont sodomisé à même le carrelage, sous l’œil de deux autres qui  sont arrivés par hasard. Mais aujourd'hui plus question de sperme dans la bouche ni dans le cul malheureusement, le préservatif est de rigueur, sida oblige. Dommage!

Philou

Par Tonio Bi - Publié dans : Récit Porno Bisexuel - Communauté : Le meilleur des blogs X
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Dimanche 14 décembre 7 14 /12 /Déc 15:27

Transgression

Cette plage naturiste est vraiment un havre de paix et un avant-poste du paradis. Seuls quelques corps nus sont éparpillés seuls ou en couples entre les dunes semées de quelques touffes de genêts qui bordent la plage ou meurent de paresseuses vagues d’eau limpide. Je suis affalé à plat ventre sur l’ondulation de la dune, mes fesses nues liquéfiées par le soleil de cette fin d’après-midi, qui darde aussi entre mes jambes écartées ses rayons encore brûlants sur mes grosses couilles bouillantes répandues sur le sable blond.

Devant moi, j’ai une vue plongeante sur le corps parfait d’Emma, étalée dans mon prolongement sur la pente de la dune, face à la mer turquoise. Elle aussi est écrasée de chaleur, comme encastrée dans le sable, bras et jambes en croix. 

Ca fait deux ans que nous vivons une passion dévorante. Avides l’un de l’autre, nous baisons comme des bêtes, découvrant ensemble les inépuisable ressources de nos sexes qui réagissent au quart de tour. Nos langues ont exploré et gouté chaque détour de nos beaux corps juvéniles. Nous nous sommes presque tout permis. C’est Emma qui a imposé un seul interdit : je lui lèche le cul qu’elle me permet aussi d’explorer du doigt, mais elle refuse que je l’encule, prétextant que ma grosse biroute lui déchirerait l‘anus en le pénétrant, et que de toutes façon elle n’y trouverait aucun plaisir.

Le menton posé sur les mains, je me délecte du spectacle de son cul magnifique, les fesses bronzées bien écartées dégageant son trou de balle ourlé de rose foncé luisant de la sueur qui perle le long de la raie. J’ai devant les yeux son entrecuisse bien ouvert, la vulve suintant un filet de mousse visqueuse sous l’excitation du soleil caressant, quelques grains de sable mêlé à ses poils humides. Nous avons déjà baisé dans les dunes ce matin, mais je bande  à nouveau comme un bouc, la bite moulée dans le sable chaud pressée contre mon ventre jusqu’au nombril.

J’allonge un bras, remonte de la main l’intérieur de sa cuisse puis m’attarde sur sa fesse dont je caresse le galbe mouillé de sueur avant de laisser glisser mes doigts tendus entre les lèvres déjà dilatées de son vagin. Mon pouce humide s’occupe de son clito que je sens raidir et que je branle doucement. Mes autres doigts écartés vont et viennent dans son sexe mûr à point et le laboure doucement.  Avec un gémissement d’aise alanguie, elle ouvre encore un peu plus les cuisses et tend sa croupe vers moi.

Relevant mon bassin, je me traine sur les coudes et rampe entre ses jambes jusqu'à mettre mon museau à portée de sa chatte baveuse dont ma langue écarte les lèvres entrouvertes et lèche avec délice le suc qui s’en échappe.

Elle roule le bassin pour que ma langue puisse pénétrer plus à fond dans sa moule qui dégorge et que je suce avidement. La pointe de ma langue trouve son clitoris salé qu’elle excite en un mouvement enveloppant, le faisant rapidement doubler de volume. J’ai le nez planté dans sa chaude intimité détrempée. La forte odeur de marée qui s’en dégage me monte au cerveau et redouble mon érection. Ma pine me fait mal à force de bander dur et mes couilles enflées sont comme des outres trop pleines. Le dos trempé, je sens la sueur couler de mes reins dans la raie de mon cul.

Mes mains enveloppent maintenant ses mamelles fermes et soyeuses qu’elles ont dégagées du sable, et dont je fais rouler les tétons tétanisés pincés entre mes doigts. Ma langue abandonne bientôt son clito palpitant pour remonter entre les lèvres boursouflées de son vagin et lécher l’espace qui le sépare de la fleur de son cul, avant de venir baiser de mes lèvres humides son trou du cul largement offert et en explorer les profondeurs de ma langue vicieusement enfoncée. Je remplace ma langue par mon doigt que j’enfonce en vrille dans son cul, lui arrachant un petit cri d’approbation gourmande.

Mes sens en sont complètement affolés. Je suis en rut et me sens totalement bestial, avec une envie irrésistible de l’enculer.

Mon index ramonant toujours son fion, j’introduis les autres doigts dans sa chatte détrempée et la fourrage à nouveau. De mon autre main j’essuie mon gland tapissé de sable mouillé de la bave qui en suinte abondamment.  Préparant mon forfait, je cherche à tâtons la bouteille d’huile solaire qui gît dans le sable, l’ouvre du pouce et en asperge une copieuse rasade sur mon madrier enflammé. Agenouillé derrière Emma, j’avance le torse et le plaque contre son dos, ma bouche dans son cou lui baisant la base de l’oreille au gout de sel, une main remontée au niveau de son épaule  pressée contre le sable. De ma main libre, j’empoigne mon pieu bien graissé, le guide fermement vers sa cible innocente et force l’entrée de son cul par surprise, en une poussée lente mais implacable. Mon engin hypertrophié avance par à-coups, forçant ce passage trop étroit qu’il distend à l’extrême. Emma tente de se dégager de mon étreinte, mais je suis en position de force et maitrise ses mouvements convulsifs, qui redoublent mon excitation, surtout quand elle contracte violemment son fessier pour m’en éjecter. Le visage contre le sol, elle vocifère, mais sourdement, bouche fermée pour ne pas bouffer du sable. Il y a longtemps que je rêvais de braver cet interdit. Je la pistonne en longs coups profonds, mon gros phallus confiné dans ce boyau soyeux, comprimé par tous les muscles en anneaux qui se resserrent à son passage. A chaque poussée, je sens mes couilles boursouflées qui viennent buter contre son vagin aux poils mouillés. Je suis en ébullition et je sens que je vais décharger lourd. Dans un ultime coup de boutoir, je lâche un feu d’artifice de purée brûlante au fond de son derche violé, et me laisse retomber de tous mon poids sur elle, salaud repus de son cul délicieux. 
Emma se dégage en me poussant de côté, éjectant ma bite gluante et merdeuse, et sans un mot se dirige vers la mer d’un pas rageur. Ma semence bulle de son trou du cul et macule ses cuisses de traînées brunâtres. Je la suis et cours me jeter à l’eau à quelques pas d’elle. J’ai vraiment pris un pied d’enfer à lui bourrer le cul. Je ne regrette pas d’avoir transgressé son interdit, mais j’espère qu’elle y a aussi trouvé son compte. Je lui jette un regard curieux, un sourire gêné aux lèvres : «Alors, comment c’était? Tu vois, je ne t’ai pas déchirée comme tu le craignais». Elle me retourne un regard noir, lance d’un ton courroucé: «Mon salaud, tu vas me le payer très cher», et sors de l’eau en courant vers la dune pour y ramasser son maillot et se rhabiller rageusement. Bon, il va falloir que je me fasse tout petit pour laisser passer l’orage. J’enfile rapidement mon short de toile, saute dans mes savates, ramasse mes affaires et la suit sur le chemin qui serpente en direction de la route ou nous avons laissé la tire louée pour la semaine. C’est elle qui à les clés et elle serait bien capable de me planter là si je traîne. Elle a déjà lancé le moteur quand je me jette sur le siège passager, et elle démarre en trombe. L’ambiance du trajet jusqu’au bungalow risque d’être assez lourde. Comme Emma ne dessert pas les dents, je ne me risque pas à commenter ma prestation, ou même à tenter d’excuser ma conduite. Je sens bien que se serait peine perdue. Mes actions sont au plus bas.

Autostop

A peu près à mi-chemin, nous dépassons un jeune gars qui revient aussi de la plage, et qui fait du stop en levant le pouce. Il est torse nu avec un vieux short élimé et des baskets éculées, un sac à dos jeté sur une épaule. Quelques mètres plus loin, Emma ralentit et stoppe la bagnole en bord de route. «qu’est c’que tu fais?», je demande, «tu veux jamais qu’on prennent des stoppeurs». Mais elle ne me répond pas, et le mec arrive nonchalamment à ma hauteur. C’est un beau latino aux cheveux châtains qui tombent en longues boucles sur ses épaules bronzées. Un large tatouage court sur son bras bien musclé. Il dégage une impression de forte animalité renforcée par le sourire un peu énigmatique qu’il affiche et qui lui donne un air d’ange déchu sûr de son charme. Emma se penche vers ma fenêtre ouverte et lui dis de monter. Je n’ai rien contre, mais c’est bien la première fois qu’elle accepte un inconnu à bord. La séquence qui s’est  déroulée dans les dunes doit y être pour quelque chose. J’ai l’impression qu’elle est en train d’orchestrer sa vengeance. Le mec jette son sac sur la banquette arrière et monte derrière moi. Il amène avec lui une odeur de sable mêlé de sueur mâle salée qui envahit l’habitacle. Du coin de l’œil, je surprends un frémissement des narines d’Emma qui lui fait monter le rouge au front. «Où tu vas ?» lui demande t’elle. Le gars se fend d’un plus large sourire et lâche : «Não falo franceses, falo apenas português, e brasileiro…je pas parle français, Brazil». Bon, c’est pas sa conversation qui va faire diversion dans la voiture! Par gestes, Emma répète sa question en dessinant un point d’interrogation dans l’air. Il semble comprendre et répond : «Vou onde vai, vous y va, je va». Pas trop compliqué le latino, mais où on va, c’est au bungalow que nous avons loué au milieu de nulle part, assez loin d’ici mais aussi du prochain village. Enfin, il verra bien, et de toute façon, Emma a déjà démarré. Nous échangeons nos prénoms, lui c’est  Raphaël. Puis le silence s’installe, et il doit sentir la lourde tension électrique qui règne entre Emma et moi. Arrivés au chemin d’accès aux bungalows, Emma lui propose par gestes de venir boire un verre et il acquiesce de la tête avec toujours son sourire ambigu.

Une fois débarqués au bungalow, nous prenons d’assaut les fauteuils de la terrasse ombragée. Je rentre préparer des caipirhinas glacées et un plateau de fruits que j’apporte dehors. Tout en sirotant son drink, Emma ne lâche Raphael des yeux que pour me lancer des regards de défi. Le jeune latino ne se pose pas de questions et la couve du regard sans vergogne. Les yeux plongés dans les siens, il choisit à tâtons une figue presque trop mûre, l’ouvre entre ses doigts, et se met à en lécher la chair violacée d’une langue gourmande. Un peu de jus mêlé de salive bave de son menton et coule en un sillon visqueux le long de son torse glabre. Le salaud n’a pas besoin de traducteur! Je peux mesurer l’effet sur Emma  au rythme de sa respiration qui s’est accéléré. A son tour, elle se penche vers le plat et saisit une banane tigrée qu’elle  décalotte avec les dents, faisant apparaître la chair plus claire qu’elle dégage à moitié de sa peau et qu’elle caresse d’un doigt avant de l’introduire entre ses lèvres entrouvertes, l’enfourner dans sa bouche et la faire ressortir lentement en la suçant, le regard toujours rivé à celui de Raphaël. Pas difficile de voir comment Emma envisage sa vengeance,  mais si elle croit me faire chier en se tapant le brésilien, elle se goure. Ca m’exciterait un max de la voir se faire mettre devant moi par ce bel étalon.
Le mec avance une main vers la cuisse d’Emma et commence à en caresser doucement l’intérieur. Mais elle se lève, s’empare de nos verres vides et part vers la cuisine pour les recharger. Je la soupçonne de vouloir en fait se débarrasser discrètement de son slip et de son sous-tif. En effet, quand elle revient avec nos drinks, ses seins lâchés bougent librement sous sa blouse à demi transparente. Elle pose les verres embués sur la table pour s’approcher du mec qui s’est levé et l’attend les reins appuyés contre la barrière de la terrasse. Elle promène ses paumes sur les pectoraux et les abdos bien dessinés du bogosse, les seins appuyés contre son biceps, avant de déboucler fébrilement son ceinturon et de lui déboutonner sa braguette, d’ou jaillit une belle grosse queue en plein raidissement.
Son short lui tombe sur les chevilles, et il s’en débarrasse en l’expédiant du pied sous une chaise. Il est maintenant complètement à poil devant nous, et enserre dans son poignet sa bite encore en train d’enfler.
Sans complexe, regardant Emma droit dans les yeux, il se met à se branler lentement en se massant les couilles de l’autre main. Emma semble fascinée.  Attirée comme par un aimant, elle vient se coller contre lui en ouvrant sa blouse pour lui plaquer contre la poitrine ses seins aux tétons déjà gonflés, les mains agrippées à ses fesses musculeuses qu’elle se met à pétrir avec force. Une main insinuée par l’arrière dans le slip d’Emma, il continue de l’autre à masser son manche turgescent. Je dois avouer que le spectacle de cette belle bite en mouvement me fout aussi une solide trique, qui n’échappe pas à Raphaël dont le regard ironique sur le renflement peu discret de mon short en dit long. Par dessus la tête d’Emma qui lui couvre le cou de baisers et lui lèche le lobe de l’oreille, il me fait un clin d’œil en portant un doigt à sa bouche pour le sucer. Je réalise que son exhibition m’est aussi destinée et ça m’excite grave. Je n’ai jamais eu l’occasion de me faire pomper la gaule par un mec, même si je me suis déjà dis que ça me brancherais assez. Surtout, un frisson me court le long de l’échine à l’idée de lui sucer la pine et de téter son gland et je me prends à saliver d’avance. Mais ça risque de brouiller les plans d’Emma, et de ne pas être du tout à son goût, même si elle est assez ouverte aux expériences qui ne touchent pas son trou du cul. Il faudra la jouer finement. Emma, le slip maintenant baissé sous les fesses, la main affairée de Raphaël lui fouillant la chatte, le prend par le bras et l’attire à sa suite vers l’intérieur du bungalow.

Dès qu’ils ont disparu, je me désape fébrilement, libérant mon membre comprimé qui me fait mal d’être si dur, et je les rejoins discrètement dans notre chambre aux persiennes closes.

Festin de bites

Le beau mâle me fait face, debout au pied du lit, jambes écartées, la tête renversée en arrière dans la pénombre. Emma est agenouillée devant lui, et lui suce les couilles avec des grognements gourmands, tout en le branlant d’une main, l’autre affairée à rouler un de ses tétons entre ses doigts. Je tombe moi aussi à genoux sans bruit derrière Emma. J’ai devant les yeux son cul défloré, et je ne résiste pas à caresser cette douce rondeur veloutée d’une main légère, tout en me branlant d’un poignet souple. Comme elle ne réagit pas, je m’enhardis, glisse une main entre ses cuisses, entrouvre les lèvres gonflées de son vagin et  enfonce doucement l’index à la recherche de son point G que je connais bien. Je sais que je l’ai trouvé lorsqu’elle bascule son pubis en arrière vers moi et commence à se trémousser en gémissant de façon assourdie, la bouche maintenant vissée à la queue de Raphaël qu’elle aspire bruyamment. Cette double stimulation doit l’amener au summum de l’excitation, car elle ne tarde pas à m’inonder la main d’une gerbe de jus brûlant dans une série de spasmes incontrôlés. Elle laisse échapper de sa bouche la biroute du bandeur brésilien luisante de salive, et se jette en avant sur le lit, le menton enfoui dans les draps pour se reprendre en main.

J’en profite pour prendre la relève et empoigner la gaule dressée que Raphaël tend vers moi comme un étendard. Du bout de la langue, j’ouvre son méat et en extrais le précum visqueux au goût salé qui en suinte, puis je gobe son gros gland obèse et l’enfourne goulument dans ma gueule. Mon cerveau est affolé de sentir cette masse de chair vivante qui pulse entre mes lèvres et me remplis la bouche avant de ressortir un instant pour mieux revenir forcer son passage entre mes dents, le gros bout protubérant palpitant contre mon palais. Agrippé à mes cheveux des deux mains, c’est lui qui règle en silence la cadence de mes aller-venues. Je lui broie les burnes d’une main, l’autre toujours vissée à mon sexe enflammé que je secoue au même rythme, frère jumeau de celui qui m’emplit la bouche à m’étouffer. Si nous déchargeons en même temps, j’aurai la sensation que c’est moi qui me découille dans la gorge. Mais le salaud me frustre de ce délire en retirant de ma bouche son engin luisant de ma salive pour me tourner le dos et s’approcher d’Emma qui l’appelle d’une voix étouffée par le drap, lui offrant un con béant encore baigné de cyprine, ouvert des deux mains tirant sur les fesses. Tombé à genoux, complètement en rut, il l’empoigne sous les cuisses largement écartées, l’embroche par l’arrière d’un coup de son pieu d’acier et la pistonne sauvagement à coups de bassin brutaux, Elle l’accueille avec un soupir d’aise et l’attire par la tignasse pour lui bouffer la bouche.

Je suis à peine remis de mon festin de phallus avorté, et trop excité pour rester spectateur. Me trainant sur le sol, j’atteins la tête du lit que j’enjambe, et viens frotter contre leurs visages ma gaule dressée raide comme une poutre, cherchant à attirer leurs bouches soudées l’une à l’autre. C’est Emma qui prend conscience la première de ce monstre qui se presse devant ses yeux, et le happe au passage d’une bouche avide qui se ventouse autour du gland. De son côté, Raphaëlito saisit mes roustons entre ses dents et me les suce comme des sucres d’orge. J’ai l’impression que ces deux sangsues vont avaler mes parties génitales bousculées en tous sens par les  coups de boutoir du baiseur qui lime ma copine. Très rapidement, la situation devient incontrôlable. Tout le corps du mec se raidit, fesses serrées et torse crispé. Il me mord le sac en laissant échapper un brame rauque et je sens qu’il éjacule en une longue série de convulsions. J’imagine son foutre épais qui englue le vagin hyper excité d’Emma qui réagit en inondant le lit d’une marée de son jus. Ma trique me fait mal de tellement me retenir, et à mon tour, j’abandonne le contrôle, je lâche une puissante giclée de riche purée qui tapisse le visage et les cheveux des deux suceurs, et me laisse retomber en arrière, dos contre la paroi. Raphaël s’est écroulé, son sexe toujours emmanché encore animé d’un lent mouvement coulissant,  la poitrine collée au dos d’Emma

Enfilade

De ma position, je domine le corps musclé du brésilien dont le large dos aux muscles saillants est perlé de sueur comme ses fesses un peu velues qu’il serre et relâche au rythme ralenti de ses mouvements de va et viens. La vision de ce beau cul . Je contourne les deux corps imbriqués et agrippe à deux mains les fesses fermes et duveteuses qui ondulent devant moi. Je les pétris et les écarte pour dégager le trou de balle dont je ne résiste pas à lécher et ensaliver copieusement la rosace. Le mec m’encourage en relâchant les muscles de son fessier largement ouvert dont j’ai idée qu’il à déjà été forcé plus d’une fois. De la main, je guide mon engin encore lubrifié de sperme jusqu’à l’orée de cet orifice accueillant et j’en force l’entrée d’une poussée résolue du gland visqueux. Mon membre comprimé coulisse avec peine dans cet espace confiné, pour venir butter contre la prostate souple. Comme Raphaël a recommencé à besogner Emma avec plus d’ardeur, nos mouvement se coordonnent et j‘ai l’impression que mes coup de hanche sont démultipliés. Je sens mes couilles bien pendues battre contre son gros sac quand nos balloches dilatées s’entrechoquent à la même cadence. Je caresse des doigts ce double paquet de couilles gluant des sécrétions qui ont coulé du vagin engorgé. Je saisi nos bijoux de famille et les masse ensemble d’une main ferme, pendant que de l’autre, je lui malaxe une de ses fesses dure et poilue. A chacune de mes poussées, le jeune éphèbe bande tous ses muscles fessiers et compresse mon polar écrasé dans l’étau de son anus contracté.
Comparé au cul douillet et velouté d’Emma, même lorsqu’elle tentait de m’en éjecter, ce derche nerveux qui pourtant m’accueille volontiers n’est que convulsions violentes et m’impose un rodéo sauvage qui tuméfie mon braquemart qui pistonne et affole le frein de mon gland irrité. Je ne sais pas lequel des deux culs je préfère, et je n’en ai rien à branler. Je sens le foutre bouillonner dans mes burnes et s’engouffrer dans ma bite emprisonnée entre ses fesses qui ne demande qu’à cracher. Mais voilà maintenant tout le corps de mon enculé qui se raidit dans un violent spasme, essorant mon braquemart en train de vomir une salve incontrôlée d’épaisse purée au fond de son fion. Il éjacule aussi dans la foulée, et j’ai l’impression que c’est mon foutre qui gicle de sa grosse queue, prolongement de la mienne. La vengeance d’Emma s’est transformée en une nouvelle expérience plutôt jouissive pour moi.

Une fois relâchée toute la tension de cette séance, nous retirons nos dagues souillées de leurs fourreaux, que nous essuyons au drap, et nous nous laissons aller sur le lit, vautrés l’un sur l’autre à côté d’Emma le visage toujours enfoncé dans le matelas. Je crois bien que nous faisons un somme pour récupérer. En tous cas, le soir est tombé quand je reprends mes esprits sous les caresses d’une main douce qui remonte le long de ma cuisse. J’entrouvre les paupières et espionne à travers le rideau de mes cils Emma, qui me fourrage les poils du pubis, son autre main baladeuse faisant de même à Raphael, agenouillée à cheval au dessus de nos deux corps. Nous avons son beau cul et son vagin maculé de foutre séché entrouvert devant les yeux. Raphaël y a déjà introduit ses doigts. J’avance une main fébrile et vient le rejoindre dans cet antre moite ou nos doigts de mêlent. A sentir comme Emma me manipule la gaule, il semble que je sois rentré en grâce. Du coin de l’œil, je peux vérifier qu’elle applique le même traitement au brésilien, et qu’il y est aussi sensible que moi. Nos deux verges jumelles sont en train de se déployer et de se redresser côte à côte en durcissant entre les mains expertes de ma femelle préférée qui les caressent en stéréo. Puis elle les presse ensemble, et le souffle de son haleine chaude vient caresser mon gland hypersensible avant qu’elle le gobe tout entier avec son jumeau et nous traie les bites avec application. Je sens pulser contre ma pine gonflée la grosse veine saillante qui longe la teub de Raphael. Nos deux corps tendus sont accolés cuisses contre cuisses, poitrine contre poitrine, nos lèvres se cherchent et nos langues se trouvent. Nos doigts mêlés s’alternent à agacer le clitoris d’Emma qui bande grave. Mais sa bouche abandonne bientôt nos phallus et elle se dégage de nos caresses. Elle traine son pubis sur nos ventres, et guidant nos deux manches tumescents qu’elle enserre ensemble entre ses doigts, elle vient empaler sa moule béante et détrempée sur nos deux pieux de chair qui l’emmanchent avec peine. Elle monte et descend sur nous, faisant lentement coulisser nos poutres dures comme de l’acier pressées l’une contre l’autre. Toujours à nous sucer les langues, nous nous paluchons nos poitrines et nos fesses de mecs pendant que nous laissons notre femelle coulisser langoureusement son vagin qui enrobe nos queues palpitantes et caresser ensemble nos sacs de couilles. Nous savourons religieusement cette communion voluptueuse et lascive, jusqu’à ce qu’Emma accélère le rythme de ses va et viens au gré de son excitation grandissante. Mes mains crispées sur les muscles contractés du jeune latino, je sens nos deux corps mâles se raidir à l’extrême. Je savoure la montée en puissance de mon excitation, peinant à retenir le flux de sève qui gonfle mes couilles dures comme du bois et qui ne demande qu’à gicler. Je saisis Emma par le bras et la force à figer ses mouvements pour nous laisser un peu de répit. Tous les sens en alerte, nous restons quelques instants sans bouger, au bord de la syncope. Puis Emma reprends son ouvrage avec encore plus de vigueur, nous amenant tous au delà du point de non retour. Dans un grand désordre de soubresauts hystériques, nous jouissons les trois en un cataclysme spastique de foutre et de jus qui débordent du con engorgé pour dégouliner sur nos balloches et se mêler à  nos poils de queue. L’odeur enivrante de stupre m’enchante les narines.

Aveu et Perspective
Après avoir un peu récupéré, Emma se dégage et s’éclipse en direction de la salle de bain. Je me lève aussi, essuyant de la main mon phallus glaireux. Raphaël est resté allongé, sa belle biroute à peine débandée encore suppurant sur une de ses cuisses, les poils pubiens englués de foutre.
Levant un pouce, il me jette un regard entendu, que je lui rends avec un sourire ironique, puis je rejoins Emma sous la douche. «je suis pardonné?», je lui glisse à l’oreille ruisselante d’eau. Elle sourit sous le jet puissant de la douche. «je crois, mais seulement si tu me promets de …revenir me fourrer le cul de temps en temps. En fait, j’aime assez». J’en suis un peu estomaqué. La salope m’a joué les vengeresses alors qu’elle avait autant pris son pied que moi! Après un temps d’arrêt, elle ajoute: «d’ailleurs tu devrais profiter de la bite de Raph pour te faire mettre toi aussi». A vrai dire, je m’étais déjà dis que ça ne me déplairait pas de me faire déflorer et ramoner le trou du cul par la grosse pièce d’artillerie du latino, mais avec la bénédiction d’Emma, et sous ses yeux, ça en devient parfaitement alléchant, et je me reprends une trique monumentale.

Sortis de la douche, nous traversons le bungalow en ruisselants sur le carrelage et retrouvons notre beau jouet qui s’est assoupi en travers du lit. Nous le poussons de côté sans qu’il ne se réveille, et nous couchons lovés ensemble contre lui. Ca ne fait rien, je peux attendre jusqu'à demain matin. Je me vois déjà réveillé par une bonne odeur de café, prendre le petit déj au lit. Je vais tartiner mon pain de beurre, en graisser la gaule de Raphaël encore mal réveillé, et le faire bander prêt à me trouer le cul. J’aurai aussi beurré ma queue en érection et Il se pourrait bien qu’Emma vienne m’offrir la fleur de son cul à défoncer pendant que je me ferai enculer dans la moiteur du petit matin.


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Par Tonio Bi - Publié dans : Récit Porno Bisexuel - Communauté : Arts érotiques
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Samedi 22 novembre 6 22 /11 /Nov 08:01

Aujourd’hui ça été un jour merdeux

Elle m’a largué comme un bouseux

J’aurai plus accès à son pieu

Elle m’a dit «c’est fini nous deux

Tout c’que j’aimais chez toi c’est ta grosse queue

Mais t’es un mec beaucoup trop sérieux

A 30 piges pour moi t’es trop vieux

Avec ce jeune matou j’ai trouvé bien mieux

J’te jure, il est monté comme un dieu

Quand il m’enfile son énorme pieu,

J’ai l’impression qu’il me l’enfonce jusqu’aux yeux

J’y trouve mon compte quand au fond de moi j’ai son noeud

Dans mon cul aussi j’le veux 

Et lui il fait pas de romans, baiser c’est tout c’qu’il veut»

En écoutant ça, je n’ai plus qu’à me taire

Aujourd’hui c’est la misère

Je suis anéanti, ma vie est à terre

Mon cœur est rayé comme du verre

Comme un con dehors je erre

Pourtant quand on s’envoyait en l’air

Elle jouissait en appelant sa mère

M’écrasant les couilles, mes cuisses se serrent

En pensant aux pipes qu’elle va plus m’faire

Et à tous les trucs pervers

Qu'on faisait par devant et par derrière

Sans elle, pour moi ça va être qu’une galère

Et ma bite j’ai plus qu’à me la traire

Par Tonio Bi - Publié dans : Récit Porno Bisexuel - Communauté : Arts érotiques
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Lundi 3 novembre 1 03 /11 /Nov 06:22
Bravo, tu fais partie des plus de 2000 chaque mois qui se branchent sur mon blog pour s'en prendre plein la gueule de mes récits pornos, des photos et des BD bien cochonnes.
Je dois avouer que ça me fous la trique de t'imaginer qui te branles en découvrant les pages que je t'ai préparé.
Mais bordel, tu te foule pas en commentaires! Dis moi au moins si tu y trouves ton compte ou si tu veux voir autre chose!



Les beaux spécimens pour te faire fantasmer:
La belle meuf de la semaine
Le mec bien gaulé de cette semaine

Les meufs du semainier
Les keums du semainier

Et les galleries:
Belles bites tatouées Belles bites tatouées
Balloches à lécher Balloches à lécher

Belles bites d'ivoire Belles bites d'ivoire
Belles bites d'ébène Belles bites d'ébène
Culs a bouffer Culs a bouffer
Du foutre plein partout Du foutre plein partout 
Juteuses moules à déguster Juteuses moules à déguster 
Les trous sont bien remplis Les trous sont bien remplis 
Mises en bouches salivantes Mises en bouches salivantes
Des sous vêts très indécents Des sous vêts très indécents

Par Tonio Bi - Publié dans : Récit Porno Bisexuel
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Lundi 1 septembre 1 01 /09 /Sep 19:11
L, 7 P P O Q B C 2 D S, M O A, G O Q P 7 é 3 Q é J é B Z E D R I R, 1 2 C 5 E G K R S é é N R V. L A M é, C T 1 F M R M O A 9 A 2...
Par Tonio Bi - Publié dans : Récit Porno Bisexuel - Communauté : Arts érotiques
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Mardi 5 août 2 05 /08 /Août 11:15

1. Une gloutonne de bites

Je n’en reviens pas du pot que j’ai ces temps.

Tout d’abord de tomber sur Cécile et Gilles, puis maintenant de passer un long week-end avec eux dans la villa de ce couple d’amis de mes parents.

Ca fait pas longtemps qu’on baise ensemble, mais j’en ai plus appris avec eux qu’avec toutes les filles que j’ai connu avant.

Il faut dire que ça a tout de suite démarré fort la première fois qu’on s’est vu. C’était à une soirée bien arrosée chez un copain. J’ai tout de suite flashé sur elle. Une plante magnifique, hyper sensuelle avec une super classe, sa longue chevelure marron répandue sur ses épaules dénudées. Elle était avec ce beau noiraud  balèze, Gilles, qui lui caressait les cuisses, et moi j’étais seul. Elle m’a déshabillé du regard quand je me suis assis près d’eux et ce qu’elle a imaginé à dû lui plaire car son expression était sans équivoque quand nos regards se sont croisés. Il faut dire que je suis plutôt beau gosse, plutôt baraqué, bien pourvu coté bite, et quand je bande, c’est difficile à dissimuler dans un jean moulant. Je l’ai bouffée des yeux le reste de la soirée et elle me le rendait bien.

J’ai avalé de travers quand elle m’a dit, assez fort pour que son copain l’entende, qu’elle avait besoin de deux queues pour jouir cette nuit et comme j’avais l’air bien monté, qu’elle avait envie d’essayer la mienne. Je ne sais pas ce que j’ai marmonné en réponse, mais ma gaule a encore doublé de volume et je les ai suivis de peu quand ils sont montés à l’étage.

Quand je suis entré dans la chambre faiblement éclairée, le gars était déjà couché sur le lit, pieds sur le tapis, complètement à poil, son grand corps musculeux mis en valeur par une monumentale érection. Il aidait Cécile à dégrafer son soutif d’où s’échappa la plus belle paire de seins que ma jeune carrière sexuelle m’ait donné à voir: oblongs et fermes au galbe parfait. Pendant qu’il la libérait de son slip, découvrant son cul d’enfer et me laissant entrevoir les lèvres saumonées de son sexe ourlé de poils bouclés, Cécile m’attira à sa portée et déboutonna fébrilement mon jean d’ou jaillit mon massif engin bandé à mort. Elle me fit m’agenouiller la queue en étendard entre les jambes écartées du mec, s’empara de nos deux manches turgescents et se mit à les branler doucement ensemble, les pressant gentiment avant d’y appliquer ses lèvres satinées. Expérience nouvelle de sentir battre les veines d’une autre queue contre la mienne, mes balloches roulant sur les couilles d’un autre mec, pendant que je me faisais sucer la bite par cette superbe femelle dont les cheveux me caressait les parties. Je n’ai pas résisté à effleurer au passage la poitrine musclée aux poils blonds de ce beau mâle, avant de m’emparer des seins magnifiques de Cécile dont je couvris de baisers mouillés de salive les bouts contractés. Le beau blond avait glissé un doigt explorateur dans sa chatte pulpeuse et lui massait le clitoris d’pouce expert.

Lorsque Cécile s’est dégagée pour venir enfourcher Gilles et se coucher dos sur son ventre, j’ai pensé que je devrais attendre mon tour pour la baiser, mais les deux m’ont retenu en place et elle s’est enfourné nos deux biroutes dans son vagin dilaté à l’extrême. Sentir nos mastards accolés distendre les parois de cet espace moelleux qui avait peine à les contenir m’a tellement excité que j’ai déjà déchargé ma purée après trois bourrées de queue, irrigant du même coup la grotte ou coulissait de concert nos grosses pines maintenant lubrifiées de mon sperme. Nous avons continué à limer ensemble et j’ai bientôt ressenti le long de ma bite la montée de sève dans celle du mec archi tendu, et la giclée de son foutre qui nous a tous inondé en rafales. Cécile s’est mise à pousser de petits gémissements affolés, elle a serré les cuisses, étreignant nos deux queues et a lâché une puissante rasade de jus dont le jet impressionnant a giclé mon nombril et ruisselé sur mon bas-ventre.

2. Lubrifiants bienvenus

Après cette entrée en matière, nous avons décidé de continuer à nous voir pour baiser ensemble à trois, et l’occasion s’est présentée ce week-end avec l’invitation à la villa.

Nous avons embarqué ce matin dans mon vieux cabriolet BMW, capote baissée. Il fait très chaud, je conduis torse nu. Cécile est à côté de moi, en mini-jupe et cache-cœur croisé, et Gilles est affalé en travers du siège arrière, en short, les pectoraux à l’air. Il nous faudra bien deux heures pour atteindre la villa, par de toutes petites routes à travers une cambrouse idyllique mais paumée.

Nous avons mis la sono à fond pour couvrir le bruit du vent. Voilà une heure que nous roulons quand le voyant d’huile se met à tirer dangereusement sur le rouge, et que ma vieille tire se met à fumer. J’avise un bosquet d’arbres au bord de la petite route et parque la voiture à l’ombre. Je baisse un peu le volume sonore, saute hors de la voiture et prends un bidon d’huile dans le coffre arrière. Je n’en ai pas pour long, les autres peuvent rester dans la voiture à écouter la zique.

J’ouvre le capot et me penche sur le moteur. Il me faudra attendre quelques minutes qu’il refroidisse avant de pouvoir remettre de l’huile. Comme je ne vois pas mes copains avec le capot ouvert, je leur crie d’avoir un peu de patience. J’en profite pour vérifier le niveau d’eau. Puis je verse le bidon d’huile. Sans entonnoir, je m’en fous plein sur les mains.

Je referme le capot, et découvre à travers le pare-brise que les deux vicieux n’ont pas perdu leur temps: Gilles est couché à poil le dos sur le capot arrière, les pieds sur les sièges jambes écartées, le bassin tendu en avant, les mains dans les cheveux de Cécile penchée sur lui par dessus les sièges avants qui lui pompe la teub. Le spectacle est bien bandant, mais ce qui mène mon excitation à son comble, c’est qu’elle est à cheval entre les deux sièges avant, un genou sur chaque siège, jupe relevée et seins à l’air, et se ramone lentement avec le levier de vitesse gainé de cuir planté dans le con.

La vision de ses fesses largement écartées qui vont et viennent en laissant poindre la rosace de son anus rosé m’attire irrésistiblement. J’expédie mon froc, j’enjambe la portière et me coule sous le tableau de bord. Je prends en main pleine d’huile mon sexe enflammé, graisse son trou du cul de mon index maculé d’huile de moteur et, la base du levier entre les cuisses, je lui enfonce doucement ma barramine en fusion par à-coups jusqu’au fond du cul. C’est la première fois que j’encule, et je découvre l’immense plaisir d’être enserré dans ce très étroit fourreau soyeux. Après s’être contractée quand je l’ai pénétrée, Cécile a relâché les muscles de son fessier et a repris son va et viens sur le levier dont je sens le cuir mouillé me frotter les couilles baignées de son jus qu’elle vient de lâcher en une vague tiède. A l’aveugle, ses mains viennent triturer mes muscles fessiers contractés. Au travers de la fine membrane qui sépare les deux cavernes, le renflement du pommeau qui coulisse dans son vagin masse ma trique sur toute sa longueur à chaque passage. Mes mains sont remplies de ses seins dont j’entreprends de triturer les tétons durcis entre mes doigts gras. Mon ventre et ma poitrine en sueur sont plaqués contre son dos, nos têtes côte à côte.

Elle a abandonné la queue de Gilles et lui suce le sac avec application, l’étirant entre ses dents. Son phallus luisant de salive se dresse insolent juste devant mon visage, émergeant d’un buisson de poils drus. Je n’ai encore jamais goûté de bite mais ce gros morceau obscène au gland suintant et à la forte odeur attire ma bouche comme un aimant, et je l’aspire goulument. J’en ressens un frisson qui court le long de mon échine jusqu’au creux de mes reins. Ma langue lèche le frein du gland et s’enroule autour, et je commence à le pomper comme j’aime qu’on me suce. Il m’a empoigné par la tignasse et me donne le rythme. Je sens qu’il va me découiller dans la bouche, mais je découvre que ça m’excite et que je n’attends que ça. Ma succion devient frénétique et il m’envoie en gueulant une rasade de sperme qui me tapisse le palais, englue ma langue et m’envahit la gorge. Je suis au paroxysme, et redouble d’ardeur à défoncer le cul de Cécile  Mes couilles bouillonnent de foutre et un dernier coup de biroute à fond de cul suffit à me faire éjaculer avec l’impression d’exploser son derche.

Nous restons un moment écroulés les uns sur les autres à reprendre nos esprits. Une fois grossièrement essuyés, nous nous remettons en route sans nous rhabiller, musique à donf, le vent chaud séchant nos poils frissonnants. Tous les fluides sont de nouveau à niveau.

3. Plongeon dans le stupre

Une fois la voiture arrêtée dans la cour de la propriété que je connais déjà pour y avoir passé un week-end de baise avec l’amie de mes parents, je me jette sur la porte que j’ouvre d’un tour de clé, et nous nous ruons à travers la maison vers le jardin, pressés de plonger à poil dans la piscine pour nous rafraichir autant que nous laver.

En ressortant la tête de l’eau, je découvre que le plongeoir est occupé. Le jeune gars qui s’occupe de l’entretien du jardin et de la piscine quand les propriétaires sont absents y est allongé nu, en train de se branler avec délectation, les yeux fermés. Les écouteurs de son ipod sur les oreilles, il ne nous a pas entendus arriver. Je fais vibrer la planche du plongeoir du plat de la main et il manque en tomber en sursautant. Il se redresse, nous jette un regard affolé, et essaie vainement de cacher son érection carabinée sous ses paluches. Il est super gêné. Il nous explique qu’il ne nous attendait que dans l’après-midi, et qu’il a l’habitude de …se sécher au soleil sur le plongeoir après les 50 bassins qu’il nage chaque matin. De nous voir aussi à poil le rassure sans doute un peu.

J’avais déjà rencontré Angel lors de mon premier séjour. C’est un jeune éphèbe très sympa, pas Einstein, mais démerde, qui se fait un pécule pendant l’été. En habits de travail, je n’avais remarqué que sa belle gueule auréolée de longs cheveux en broussaille, mais son corps juvénile bronzé aux longs muscles saillants est très harmonieux et ne laisse pas indifférente Cécile qui fend l’eau jusqu’au plongeoir et se hisse ruisselante au côté du grand ado. Gilles et moi nous sommes assis jambes dans l’eau sur la margelle qui lui fait face.

Elle le prend par l’épaule et le force à se recoucher, puis lui caresse l’aine du revers de la main et lui commande doucement de continuer à se branler devant nous en la regardant se caresser les seins. Il nous jette un regard incrédule puis émoustillé et reprend lentement ses caresses solitaires, les yeux rivés sur les seins somptueux de Cécile qui lui demande s’il est encore puceau. «Ben, j’ai jamais baisé avec une fille, mais mon grand frère m’a prêté son cul quelques fois». Cécile lui promet qu’elle va lui ouvrir ses cuisses et se charger de le déniaiser avant la fin de la matinée.

En entendant ça, une vague de désir monte en un délicieux picotement dans mes couilles et je vois ma verge gonfler en se dressant entre mes jambes écartées. Gilles se prend lui aussi une trique monumentale. Cécile, s’allonge sur la planche le long du corps du branleur, les poils du pubis collés à sa hanche, une jambe passée sur sa cuisse, et explore de ses mains baladeuses son sexe, ses abdos, sa poitrine et s’arrête aux tétons, qu’elle pince et tire entre ses doigts. D’une main Il s’empare des seins qui pointent devant lui et les presse contre ses lèvres pendant que son autre poignet accélère le rythme de sa masturbation.

Gilles se laisse glisser dans l’eau et rejoint le plongeoir. Je le suis et nous nous hissons sur le bord de la piscine de part et d’autre de la planche.

Du côté ou je suis, j’ai le fessier écarté de Cécile devant les yeux, la rosace de son cul bien épanouie, la vulve gonflée affleurant des poils pressés contre la cuisse du jeune. Comme aimanté, je me penche entre ces fesses alléchantes, colle ma langue aux lèvres entrouvertes de son vagin qui s’y infiltre et lèche la ciprine qui en suinte déjà, mes mains caressant la peau de pêche de son fessier charnu.

Agenouillé de l’autre côté du plongeoir, Gilles détourne le poignet d’Angel vers sa bite à lui pour qu’il le branle pendant qu’il se penche sur l’ado et aspire sa biroute à pleine bouche pour la pomper à grandes succions bruyantes, les mains bien actives à lui masser les burnes.

Mais Cécile, reprenant l’initiative, renverse Angel sur elle en se mettant à plat dos, cuisses écartées, les jambes pendant de chaque côté de la planche, s’emmanche son phallus visqueux de salive dans sa chatte ruisselante, et commence un lent va et vient qui fait ployer le plongeoir en cadence.

Gilles, que je découvre attiré par la chair fraîche mâle, a contourné la tête du plongeoir, et toujours à genoux, dirige d’une main ferme son dard turgescent qu’il enfonce lentement entre les fesses d’Angel déjà bien écartées. Le jeune étalon accuse le coup d’un râle de molle protestation avant de reprendre sa besogne maintenant cadencée par les coups de boutoir de Gilles qui lui claque en plus méchamment les fesses, son autre main agrippée à sa crinière blonde ébouriffée.

Spectateur complètement en rut de cette scène, je ne peux me contenter de me branler comme je le fais depuis un moment. Il faut que ma verge orpheline trouve aussi un orifice où s’épanouir. Je viens m’accroupir derrière le beau Gilles, j’écarte à deux mains ses fesses tendues, lâche un long filet de bave qui coule le long de la raie de son cul et vient humecter la fleur rosée de son anus à peine ouvert, et prenant en main mon vit impatient, je l’embroche en une poussée douloureuse qui m’amène au fonds de son derche étriqué. Nous limons tous quatre en un même élan qui fait osciller le plongeoir à grande amplitude. Je bande tellement que j’ai l’impression que c’est aussi mon braquemart démesuré qui coulisse en enfilade dans le cul d’Angel et la moule de Cécile. Les mains bien à plat sur les épaules charpentées de ma monture, je suis le dessin de ses muscles dorsaux qui saillent sous la peau bronzée, jusqu’à atteindre les reins et palper ses fesses musclées. Défoncer ce rectum nerveux est une expérience bien différente et plus bestiale que de baiser le cul voluptueusement charnu de Cécile.

Le jeune puceau brame comme un cerf en rut. Il lui faut très peu de temps pour atteindre le point de non-retour, décharger bruyamment dans une série de spasmes qui nous secouent tous les trois et fait vibrer la planche, et s’écrouler sur la fille qui l’enserre dans ses bras. Aux contractions de ses muscles fessiers, je sens que Gilles lâche lui aussi sa purée et baptise le trou de balle de l’ado maintenant doublement dépucelé et qui s’écroule sur Cécile. Je suis au comble de l’excitation, redouble mes coups de piston et éjacule à mon tour avec des râles de plaisir pervers en un feu d’artifice qui tapisse de foutre le fondement relâché de Gilles qui s’est affalé sur le dos d’Angel. Je me retire et laisse dégorger mon mandrin baveux au creux de ses reins. Au vu de la mare qui inonde la planche maintenant immobile, Cécile a aussi pris son pied à dépuceler l’éphèbe.

4. Ying-Yang et big bangs

Tous quatre vautrés les uns sur les autres à même le plongeoir, le corps baigné de nos sécrétions laiteuses, nous devons former un tableau assez lubrique. C’est le moment que choisit Loana, l’amie de mes parents à qui appartient la villa, pour débarquer au jardin. Elle pensait sans doute me trouver seul et du même coup rééditer le week-end de baise sauvage que nous nous étions payé à l’insu de son mari. Je vais à sa rencontre, ma queue débandante luisante de foutre, et fais les présentations comme si de rien n’étais. Manifestant sa surprise, elle lâche: «Je ne m’attendais vraiment pas à toute cette chair fraîche étalée sur mon plongeoir. C’est pas gentil de t’amuser comme ça sans moi, tu aurais pu m’inviter, surtout que mon petit jardinier m’avais caché qu’il était aussi appétissant et que tes copains ont l’air pleins de ressources». Je l’assure qu’elle est la bienvenue et que nous allons nous occuper sérieusement d’elle. Ce ne sera pas un sacrifice; à quarante cinq ans, c’est une négresse magnifique et une baiseuse se première. Une robe noire moulante à bretelles qui dégage ses épaules met en valeur sa poitrine plantureuse. La forte cambrure de ses reins fait ressortir ses belles fesses rebondies. Elle ne porte visiblement rien sous sa robe moulante, comme le soir où, venue dîner avec son mari chez mes parents, elle m’avait littéralement violé sur le tapis de ma chambre au fonds de l’appartement que je lui faisais visiter. Ses cheveux de jais moussent autour de son beau visage aux lèvres pulpeuses et sensuelles. Elle s’approche du plongeoir et laisse glisser au sol sa robe de jersey, dévoilant ses seins d’ébène pointés comme des obus, ses hanches généreuses, son pubis à la toison crépue, et ses cuisses fuselées. Les deux mâles se sont relevés et la bouffent des yeux, leur sexe en main, déjà en train de reprendre vigueur. Mais c’est Cécile, toujours étendue sur la planche, genoux relevés, qui intéresse Loana pour l’instant. Elle l’enfourche à quatre pattes, lui présentant sa figue violacée et la fleur de son anus à déguster, et plonge sa tête entre ses cuisses largement écartées pour lui pourlécher la chatte qui coule encore, ses gros seins aux aréoles marron pressés contre le nombril de la jeune jouisseuse qui lui explore le con et le cul d’une langue agile. Leurs deux corps forment un Ying et un Yang noir et blanc des plus excitants, d’où sortent des bruits de succion et de lèche qui me font saliver.

Laissés pour compte, nous sommes les trois mecs à bander à nouveau comme des boucs au dessus des deux femelles, astiquant nos trois massifs polars inutiles d’un poignet souple. Gilles choisit de s’aventurer sur le bout du plongeoir qui plie dangereusement vers l’eau, s’y assied à califourchon au niveau de la tête de Loana, et aide de la main sa grosse bite durcie à s’introduire dans le vagin humecté de salive de Cécile, léchée au passage par la langue gourmande de la suceuse éjectée du con qu’elle barattait. Balançant son bassin d’avant en arrière, le gars tringle à grands coups de reins, ressort sa queue pour l’enfourner dans la bouche de la négresse qui l’engloutit couilles comprises, puis continue en alternant ses visites en force de la bouche de l’une et la chatte de l’autre, toutes les deux en attente avide de ce piston insaisissable qui s’en échappe sans cesse pour y revenir encore. Il choisit finalement le vagin de Cécile pour y décharger son foutre en une série de spasmes qui la secouent furieusement.

Sans perdre des yeux cette scène qui me fait mal à la queue d’excitation, je viens m’agenouiller en tête de plongeoir entre les fesses de Loana accroupie, au dessus de la tête renversée de Cécile qui laisse glisser sa langue enveloppante le long de ma bite jusqu’aux couilles qu’elle happe de sa bouche goulue et baigne de salive. De mon gland hypersensible, j’entrouvre les lèvres de la figue boursouflée et gorgée de jus de la belle noire, et me fraie un chemin le long de ce sillon humide en remontant jusqu'à dégager le clitoris en érection et le branler délicatement avec mon bout suintant. Je sens que le fruit est mûr à point, et, écartelant ses cuisses de mes paumes, je lui enfonce mon madrier jusqu’au seuil de la matrice d’un coup de reins rageur. La négresse pousse un rugissement de plaisir à demi étouffé par la bite de Gilles qui lui obstrue la bouche, et contracte les muscles de son vagin qui enserre ma bite dure comme de l’acier. Cécile concentre maintenant ses efforts sur mes couilles en béton qu’elle aspire dans sa bouche et fait rouler sous sa langue et dont elle tire la peau ensalivée entre ses lèvres à presque les arracher. J’ai introduit l’index dans le cul de Loana tendu vers moi, et l’enfonce en vrille dans cet antre douillet. Je la ramone énergiquement du doigt et de la bite et elle m’encourage en remuant son bassin en cadence. Mais je ressors mon braquemart de sa chatte qui ruisselle de ciprine, j’en enduis copieusement son trou du cul, et guidant de la main mon engin en folie à ce gouffre béant je m’y enfonce d’une poussée insistante. Je reste un moment à coulisser dans ce fourreau qu’on dirait ajusté à ma grosse pine, avant de revenir investir pour un moment son vagin pantelant. Je continue mon manège jouissif, alternant le moelleux du vagin et le soyeux du cul, les couilles affolées par les succions de Cécile. Arrivé au summum de l’excitation, je n’en peux plus et je décharge ma purée en giclées frénétiques qui éclabousse le pubis et le dos de Loana, et dégouline sur la figure de Cécile qui s’en pourlèche.

Fatigué de se branler, Angel vient se glisser derrière moi, lui aussi à genoux, et colle sa poitrine duveteuse contre mon dos. Il presse son gros phallus entre mes fesses et je le sens qui palpite le long de ma raie écartée. Récoltant dans ses doigts mon foutre qui dégouline de la toison pubienne de Loana et de mon sexe luisant, il s’en enduit la bite et m’en lubrifie le trou de balle. Je réalise que je vais recevoir le baptême de mon cul, et ce n’est pas pour me déplaire. Ma queue retrouve le chemin du con de Loana, et je m’affale sur son dos, écartant à deux mains mes fesses relevées et offertes. Je sens le gland du jeune jardinier qui force l’entrée de mon derche, et s’enfonce millimètre par millimètre dans mon fondement distendu. J’ai l’impression que son gland est démesuré et que son poteau d’airain trop gros pour cet espace étroit va m’éclater le fion écartelé. Mais les parois de mon anus se détendent peu à peu pour s’ajuster à l’intrus et je commence à ressentir un plaisir douloureux aux mouvements de ce piston qui coulisse avec insistance jusqu'à presser à chaque va et viens son gland contre ma prostate. Ses couilles bien pendues battent contre les miennes que les lèvres de Cecile ont retrouvé et qu’elle lèche avec application par en dessous. Du coup, je me reprends une érection solide au fonds de la moule gluante de Loana. Je passe une main derrière la cuisse d’Angel, éprouve la fermeté de ses muscles fessiers, empoigne à pleine main son sac par l’arrière et lui malaxe méchamment les couilles, les ongles plantés dans sa chair. Je les sens gonfler en même temps que son dard se rigidifie encore dans mon anus qui manque exploser quand il découille en longues rasades et tapisse de sperme bouillant ma prostate stimulée à l’extrême. Son foutre refoule de mon cul obstrué par sa grosse bite et coule le long de mes balloches où il est léché bruyamment par Cécile. Le petit enculeur ne sait pas qu’il m’a défloré le cul, mais je le lui glisse à l’oreille.

Nos mouvements se ralentissent jusqu’à s’arrêter. Angel appuie son torse sur mon dos et nous restons un moment vautrés les uns sur les autres à revenir sur terre. Cécile, comprimée contre la planche par le poids de nos corps affalés est la première à réagir. D’un coup de hanches de côté, elle nous débarque du plongeoir et nous nous retrouvons au fonds de la piscine qui nous rafraichit et nous épure une nouvelle fois.

J’ai pris un pied géant et je crois que je ne suis pas le seul. Je suis sûr que nous allons passer le reste du week-end tous les cinq à jouir par tous les orifices dans toutes les configurations possibles, mais je te raconterai çà mon retour. D’ici là, imagine ce qui t’excitera le plus.

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Par Tonio Bi - Publié dans : Récit Porno Bisexuel
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Dimanche 13 juillet 7 13 /07 /Juil 08:09
Ce dimanche de juillet, trop chaud pour rester enfermé. Je me traîne jusqu'au parc ombragé de mon quartier. Devant moi, un couple de jeunes presque encore ados. Lui, la main sur la fesse de la fille, relevant légèrement sa jupe courte qui dégage de belles cuisses bronzées. Ils se dirigent vers un banc de béton et s'y  vautrent.  Je suis sur le banc d'en face de l'autre côté de l'allée. Ils sont très beaux tous les deux. La main du mec glisse sur la cuisse découverte et  disparait sous la jupe. La fille écarte un peu les cuisses, autant que le lui permet le tissu tendu. Elle se penche vers lui et lui roule un patin d'enfer. La main du gars s'active à son entre-cuisses. La fille ne porte visiblement pas de slip, et elle a l'air d'aimer. Je bande comme un taureau. Lui, il se paye une érection carabinée qui moule son pantalon de toile. Il me regarde, mais n'en a visiblement rien à foutre que je les mate. Il a maintenant ressorti sa main et ils en lèchent ensemble les doigts visqueux. Penchée sur lui, elle palpe discrètement sa queue dure au travers du tissu. J'espère qu'il savent où aller pour baiser, ce serait dommage qu'ils doivent rester dans cet état. je me lève et prends à regret le chemin de mon appart. Moi aussi il faut que je me finisse. Pourvu que Béatice soit rentrée du sport. Sinon, il faudra que mon voisin de palier le bel étudiant me fasse une pipe dont il a le secret.
Par Tonio Bi - Publié dans : Récit Porno Bisexuel
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Samedi 12 juillet 6 12 /07 /Juil 18:10

Semaine de galère au boulot. (c’est toujours le petit jeune qui se tape tous les sales boulots), couronnée par cette soirée de merde. Musique nulle, ambiance de beauf. La seule meuf qui me faisait bander avec son beau cul et qui dansait bien sensuel m’a scié les couilles quand je lui ai proposé qu’on s’isole pour faire connaissance plus profond. Elle ma balancé qu’elle ne baise qu’avec des négros, les seuls à avoir une bite assez grosse pour qu’elle y trouve son compte. J’allais pas sortir ma queue en public pour lui prouver qu’elle vaut bien une biroute de black, comme j’ai déjà pu le vérifier avec mes potes du quartier. Je me suis tiré. Plus qu’à rentrer me branler sur mon pieu en pensant à ses nichons. D’ailleurs c’était l’heure du dernier bus qui m’a ramené dans ma banlieue pourave et dont j’étais le seul passager. A peine descendu du bus, je me suis pris un monstre orage sur la gueule. Pas envie de me faire tremper pour rentrer chez moi. J’ai décidé d’attendre une éclaircie sur le banc de l’abri-bus. Evidemment l’éclairage était explosé, mais rester seul dans l’obscurité zébrée d’éclairs, à l’abri du déluge, c’était pas pour me déranger. J’ai dézippé mon jean, passé l’élastique de mon calebar sous mes balloches et j’ai commencé à m’astiquer le nœud. Soudain, surgit de nulle part, un coupe de jeunes beurs déboule dans mon abri tout essouflés, complètement trempés, elle, la blouse collée à ses seins, lui le torse nu ruisselant, sa chemise détrempée en parapluie au dessus de leurs têtes. En une fraction de seconde, plutôt que de remballer mon matériel avec embarras je choisis de continuer à me branler sans complexe devant eux en leur lançant un regard de défi. Ils échangent un coup d’œil entendu, le mec s’asseye à ma droite, la fille à ma gauche, et les deux me matent sans un mot. J’écarte les cuisses jusqu’à toucher les leurs avec mes genoux. La beurette prend ma main libre et la conduit gentiment à sa chatte sous son slip mouillé. Je sens son clito réagir au quart de tour et ce n’est pas la pluie qui mouille mes doigts glissés entre les lèvres de son vagin. Elle se penche vers mon sexe dressé, enrobe mon gland de sa bouche gourmande, et laisse courir sa langue sur toute la longueur de mon membre affolé, avant de le pomper en longues succions appuyées. Elle a glissé sa main sous mon t-shirt, explore mes abdos et trouve mes tétons. Cette nuit commence à être moins merdique. Le jeune beur à ouvert sa braguette et sorti une belle queue basanée en pleine érection. D’une main décidée, il me fait lâcher ma bite et me donne sa verge à branler. Elle est ferme et soyeuse à la fois, comme le clito que je suis en train de masser de l’index de l’autre main, les autres doigts fourrageant le vagin de la meuf qui déverse un flot de jus lorsqu’elle jouit en spasmes convulsifs. Le gars m’empoigne par les cheveux et attire mon visage à son pubis pour que je lui suce son gland protubérant dont je lèche le frein et le pourtour tout en accélérant mon coup de poignet. Sentant au raidissement de sa queue que le mec va décharger, je laisse son gland s’échapper de ma bouche mais prend une bonne giclée de sa purée en pleine gueule. Plus excitant que la pluie. A mon tour j’envoie ma sauce dans la bouche de la meuf qui s’en étrangle à moitié. Elle s’essuie du revers de la main. Je retire la mienne de son slip et lâche le boudin déjà moins dur du gars. J’éponge mes mains maculées avec mon t-shirt, me lève en laissant mes attributs visqueux pendre hors du jean. Je n’aurais pas imaginé que ma branlette de consolation prenne cette tournure. Je leur jette un regard appréciateur et reconnaissant. On s’est pas causé, mais on s’est échangé nos jus en bonne convivialité. J’ai maintenant une bonne raison de prendre la douche sous l’orage, et je me casse sous les trombes d’eau, le visage et la queue lavés par la pluie torrentielle. Finalement pas une soirée si pourrie.

Par Tonio Bi - Publié dans : Récit Porno Bisexuel
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Lundi 7 juillet 1 07 /07 /Juil 06:53

Deux plombes du mat.
Sono à donf, basses lancinantes pulsant dans le sternum
La lumière rougeâtre strombe la pénombre enfumée.
Les mecs à torse peau, les filles presque à poil, beaux corps en sueur jeunes et sensuels qui se trémoussent. Ambiance exhib et sexuelle.
Tequila en rasades dégoulinant sur les mentons, les poitrines et entre les seins.
Devant moi, cette féline parfaite qui danse lascivement. Ses belles fesses mouvantes débordent du mini short. Sculptés par sa blouse humide, ses seins trempés que le rythme balance. Sa chevelure épaisse cadence les mouvements de sa tête renversée.
Presque accolé, torse luisant, son bel étalon blond déhanche dans un même mouvement son taille-basse qui cache mal sa gaule raidie.
Je m’approche d’eux à presque les toucher et m’insinue dans leur transe.
Leurs regards me jaugent avant de m’inclure dans leur corps à corps lascif plein de promesses.
Mal aux couilles pleines à exploser tellement je bande dans mon bermud sans slip.
Les lèvres de la fille effleurent le tatouage maori qui balafre mon biceps, puis sa langue électrise mon téton durci.
Ma main glissée dans son short épouse le contour ferme de la fesse et explore sa vulve mouillée. Le mec me susurre: «Si tu veux, on la baise ensemble, là tout de suite, et plus si affinités». «D’accord, mais d’abord je te suce la bite».
«Et moi je te lèche les couilles pendant que tu tringle ma meuf».
A genoux devant sa grosse trique dansante jaillie du jean fébrilement dézippé, je lui tête goulûment le gland, une main moite soupesant ses lourdes couilles imberbes, l’autre malaxant ses fesses contractées.
La fille à poil, accroupie les seins posés sur mes épaules, palpe mes fesses qu’elle à extraites du futal, et s’empare de ma bite qu’elle branle par l’arrière.
Ambiance survoltée du cercle des danseurs resserré autour de nous. Pas mal de filles ont maintenant les seins à l’air, massés par des mains mâles et femelles. Des biroutes en érection sortent des braguettes et des frocs tombés sur les chevilles. Des mains s’en saisissent et les branlent en nous matant.
 
J’accélère ma succion lubrique. Tout le corps de l’étalon se raidit en un spasme. La salve de son épaisse purée chaude m’inonde la bouche. Je me retourne vers la féline, cherche de la langue son clito et sa moule que je lubrifie de foutre régurgité.
Elle guide mon phallus en folie à son con bien poisseux et capture ma bouche gluante avec sa langue.
Je la besogne au rythme du beat en même temps que je branle son clito tétanisé. Elle décharge presque aussitôt en un raz de marée tiède qui m’inonde les parties.
Quelques voyeurs en rut éjaculent sur nous.
Mes burnes en feu happées par la bouche goulue de l’étalon la tête insinuée entre mes jambes, mon derche stimulé par son doigt inquisiteur, je me lâche et vide mes couilles en spasmes saccadés au fond du vagin encore secoué de soubresauts désordonnés.
Un autre trio nous a imités et copule, un mec en sandwich entre la femme qu’il lime sauvagement et la grosse pine d’un black qui lui défonce le trou du cul.
Le beau gosse me pousse de côté, lèche ma queue visqueuse encore bien raide à grands coups de langue gourmands, et enfourne son braquemart à nouveau dardé dans la figue encore suintante de sa dulcinée. Une fois son joystick bien enduit de sperme, il le ressort et l’encule en longues poussées rageuses, jusqu’à découiller en un torrent obscène qui coule le long des jambes de la fille repue.
Comme le blond, je rengaine mon engin débandant et reprend la danse avec ceux qui ont retrouvé leur décence. La meuf s’est échouée sur un divan et me tend un billet.
Le DJ a monté la sono. La musique a repris ses droits mais pour moi elle a perdu son piment. Leur numéro de portable en poche, je drift vers la sortie et un peu d’air frais.
Et plus si affinités. Peut-être explorer ensemble d’autres approches encore plus pornos.

Par Tonio Bi - Publié dans : Récit Porno Bisexuel
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