Baiser avec une capote, c’est chiant. Tu perds tes sensations. C’est comme de nager en combi de plongée plutôt qu’à poil.
Sucer une bite couverte d’un préservatif c’est pas bandant. Goût de latex dans la bouche.
En plus, tu baise à sec, pas de foutre à partager.
Ca fait chier.
Mais est ce que tu veux risquer de te faire séropo, ta vie foutue passée en trithérapies, paria de la société?
Ca serait trop con, alors merde, dans le
doute, enfile un présé.
Semaine de galère au boulot. (c’est toujours le petit jeune qui se tape tous les sales boulots), couronnée par cette soirée de merde. Musique nulle, ambiance de beauf. La seule meuf qui me faisait bander avec son beau cul et qui dansait bien sensuel m’a scié les couilles quand je lui ai proposé qu’on s’isole pour faire connaissance plus profond. Elle ma balancé qu’elle ne baise qu’avec des négros, les seuls à avoir une bite assez grosse pour qu’elle y trouve son compte. J’allais pas sortir ma queue en public pour lui prouver qu’elle vaut bien une biroute de black, comme j’ai déjà pu le vérifier avec mes potes du quartier. Je me suis tiré. Plus qu’à rentrer me branler sur mon pieu en pensant à ses nichons. D’ailleurs c’était l’heure du dernier bus qui m’a ramené dans ma banlieue pourave et dont j’étais le seul passager. A peine descendu du bus, je me suis pris un monstre orage sur la gueule. Pas envie de me faire tremper pour rentrer chez moi. J’ai décidé d’attendre une éclaircie sur le banc de l’abri-bus. Evidemment l’éclairage était explosé, mais rester seul dans l’obscurité zébrée d’éclairs, à l’abri du déluge, c’était pas pour me déranger. J’ai dézippé mon jean, passé l’élastique de mon calebar sous mes balloches et j’ai commencé à m’astiquer le nœud. Soudain, surgit de nulle part, un coupe de jeunes beurs déboule dans mon abri tout essouflés, complètement trempés, elle, la blouse collée à ses seins, lui le torse nu ruisselant, sa chemise détrempée en parapluie au dessus de leurs têtes. En une fraction de seconde, plutôt que de remballer mon matériel avec embarras je choisis de continuer à me branler sans complexe devant eux en leur lançant un regard de défi. Ils échangent un coup d’œil entendu, le mec s’asseye à ma droite, la fille à ma gauche, et les deux me matent sans un mot. J’écarte les cuisses jusqu’à toucher les leurs avec mes genoux. La beurette prend ma main libre et la conduit gentiment à sa chatte sous son slip mouillé. Je sens son clito réagir au quart de tour et ce n’est pas la pluie qui mouille mes doigts glissés entre les lèvres de son vagin. Elle se penche vers mon sexe dressé, enrobe mon gland de sa bouche gourmande, et laisse courir sa langue sur toute la longueur de mon membre affolé, avant de le pomper en longues succions appuyées. Elle a glissé sa main sous mon t-shirt, explore mes abdos et trouve mes tétons. Cette nuit commence à être moins merdique. Le jeune beur à ouvert sa braguette et sorti une belle queue basanée en pleine érection. D’une main décidée, il me fait lâcher ma bite et me donne sa verge à branler. Elle est ferme et soyeuse à la fois, comme le clito que je suis en train de masser de l’index de l’autre main, les autres doigts fourrageant le vagin de la meuf qui déverse un flot de jus lorsqu’elle jouit en spasmes convulsifs. Le gars m’empoigne par les cheveux et attire mon visage à son pubis pour que je lui suce son gland protubérant dont je lèche le frein et le pourtour tout en accélérant mon coup de poignet. Sentant au raidissement de sa queue que le mec va décharger, je laisse son gland s’échapper de ma bouche mais prend une bonne giclée de sa purée en pleine gueule. Plus excitant que la pluie. A mon tour j’envoie ma sauce dans la bouche de la meuf qui s’en étrangle à moitié. Elle s’essuie du revers de la main. Je retire la mienne de son slip et lâche le boudin déjà moins dur du gars. J’éponge mes mains maculées avec mon t-shirt, me lève en laissant mes attributs visqueux pendre hors du jean. Je n’aurais pas imaginé que ma branlette de consolation prenne cette tournure. Je leur jette un regard appréciateur et reconnaissant. On s’est pas causé, mais on s’est échangé nos jus en bonne convivialité. J’ai maintenant une bonne raison de prendre la douche sous l’orage, et je me casse sous les trombes d’eau, le visage et la queue lavés par la pluie torrentielle. Finalement pas une soirée si pourrie.
Ma prose t'inspire?