Ma gaule du petit matin

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L'excision c'est criminel

Les femmes ont droit au plaisir


TIKEN JAH FAKOLY

Le Sida c'est ta vie foutue


Baiser avec une capote, c’est chiant. Tu perds tes sensations. C’est comme de nager en combi de plongée plutôt qu’à poil.

Sucer une bite couverte d’un préservatif c’est pas bandant. Goût de latex dans la bouche.

En plus, tu baise à sec, pas de foutre à partager.

Ca fait chier.
Mais est ce que tu veux risquer de te faire séropo, ta vie foutue passée en trithérapies, paria de la société?

Ca serait trop con, alors merde, dans le doute, enfile un présé.

 


Sidaction
envoyé par sabotage

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Mardi 15 décembre 2 15 /12 /Déc 08:53


Encore un récit que m'a fait mon pote Philou: Orgie gay dans un WC public


J’ai toujours rêvé de me faire violer par une bande de brutes sur le carrelage d’un WC public.

Ce jour là, j’étais à l’étranger, j’avais besoin de pisser et j’étais curieux de voir de quoi les toilettes publiques avaient l’air dans cette ville. Mais j’avais aussi des idées derrière la tête, parce que j’étais en manque de sexe dans ce pays dont je ne parle pas la langue. Les toilettes étaient assez vastes, toutes carrelées de blanc du sol aux murs, avec des box de chiottes fermés à mi-hauteur et une rangée de pissoirs assez sales.

J’ai soulagé ma vessie, et comme j’étais seul, j’ai commencé à masser ma queue en pensant à mon fantasme de viol, et je me suis mis à bander comme un âne rien que d’y penser. J’ai commencé à me branler plus énergiquement.

C’est à ce moment que deux jeunes loubars balèzes sont entrés dans les toilettes. Ils ont choisi de venir uriner chacun de son côté, à ma droite et à ma gauche. Ca m’a excité grave de savoir que ces deux jeunes mecs me lorgnaient du coin de l’œil en train de me secouer le nœud pendant qu’ils pissaient. J’ai jeté un coup d’œil à leur bite et j’ai vu qu’ils commençaient à bander en finissant de pisser.

Ils se sont lancé un regard complice, et biroute dressée en main, se sont légèrement reculés pour se retrouver derrière moi. Je leur ai jeté un regard affolé, j’allais pas leur dire que je voulais me faire violer! Ils m’ont tiré en arrière, l’un d’eux, un grand blond m’a ceinturé, et m’a levé mon t-shirt jusqu’aux aisselles pendant que l’autre, un noiraud très poilu, défaisait la boucle de ma ceinture et me baissait brutalement le jeans et le boxer sur les chevilles. Je me suis retrouvé à poil dans ce WC, la bite en érection, à la merci des deux lascars qui s’échangeaient dans cette langue que je ne comprenais pas des commentaires dont je sentais bien qu’ils parlaient du sort qu’ils me réservaient.

Le mec de derrière m’a plaqué une main sur les fesses, de l’autre passée entre mes cuisses, il a enserré ma bite à pleine main et l’a tirée vers lui en la pliant à sa base. Celui qui était devant moi s’est assis au sol jambes écartées en m’attirant vers lui, et comme j’avais les chevilles entravées par mon froc, je suis tombé à genoux et sur les coudes, le visage plongé dans les poils de son pubis. Les relents acres de sa bite me sont montés au nez et ont redoublé mon érection. Il a forcé son gland entre mes lèvres et poussé sa grosse biroute bien dure au fonds de ma gorge. J’aimais trop être à moitié étouffé par ce membre qui pulsait dans ma bouche écartelée, mais j’ai poussé un râle indigné comme si j’étais pas consentant. Puis j’ai commencé à sucer cette queue au gout acide, tout enrobée de mon abondante salive.

Le noiraud s’est agenouillé derrière moi, m’écartant les cuisses de ses genoux, et set venu frotter sa bite contre la mienne tordue en arrière entre mes jambes. Il m’a écarté les fesses et j’ai senti qu’il crachait une série de glaires bien gras dans la raie de mon cul, dont il a lubrifié mon trou de balle de son doigt mouillé. J’y croyait pas, je vivais mon fantasme mieux que dans mes rêves! J’étais en train de me faire violer par deux brutes en rût sur le carrelage froid des WC. Le gars de devant me laissait pas respirer, me pressant à deux mains la tête pour que je le suce à la cadence frénétique qu’il m’imposait.

Mais mon attention était toute entière centrée sur mon trou du cul béant, en attente fébrile de l’estocade de l’autre gros pédé. Pour donner le change, je râlait comme un porc en secouant la tête pour signifier que je ne voulais pas me faire enculer, alors que je n’en pouvais plus d’être excité rien qu’à l’idée de ce manche hypertrophié qui allait me forcer le derche.

Ma résistance simulée a eu l’air d’exciter le mec, qui a commencé à m’injurier dans sa langue, et qui m’a enculé sans ménagement, poussant d’un coup son gland jusqu’au fond de mon fion à le faire péter tellement sa bite était énorme. C’était tellement bon, cette sensation d’une matraque qui rentre dans son fourreau, cette impression de plénitude, ce mal qui fais tant de bien! J’ai beuglé en sourdine, la bouche pleine de la pine de l’autre loubard. L’enculeur y est allé à grands coups violents, entrant et sortant de mon cul avec frénésie. J’ai senti que ma bite coulait son précum sur les couilles du mec contre lesquelles elle venait se frotter à chaque enculage, toujours broyée dans sa main crispée.

C’est à ce moment là que je me suis rendu compte que d’autres mecs étaient rentrés dans les toilettes, et passé leur surprise du spectacle qu’ils découvraient, avaient sorti leur paquet et se branlaient en me regardant me faire baiser. C’étaient trois jeunes beurs d’une trentaine d’années tous rudement bien montés.

Mais mon esprit est vite revenu se fixer sur ce que je vivais. Le blond m’a pris par les cheveux et tiré vers le haut de sa poitrine, me sevrant de sa bite pourtant si bonne, que je sentis glisser le long de mon corps, se frotter contre ma bite et mes couilles, et chercher à me pénétrer en même temps que celle du noiraud qui me ramonait avec violence. J’ai poussé un cri de réelle frayeur, mon derche n’allait pas pouvoir accueillir ces deux grosses bites sans être déchiré! Mais le blond a forcé son chemin, distendant au maximum les parois de mon anus et s’est mis à me limer à grands coups de reins ptt8bg7.jpg
de concert avec le noiraud collé à mon dos courbé. J’étais maintenant affalé sur le ventre du blond, ma pine et mes couilles plaquées contre son ventre transpirant.

Un de trois beurs s’est mis à poil du bas et est venu s’agenouiller au dessus de la tête du blond, lui offrant ses couilles à sucer et à moi sa bite à pomper. J’ai happé goulument cette queue basanée et suante qui suintait grave. Elle avait un goût un peu amer qui m’a mis les sens en folie.

Mes deux enculeurs ont pas tardé à décharger leur foutre à plein jet au fond de mon cul, en telle quantité qu’une bonne partie est ressortie et m’a coulé sur les couilles. Dans le même temps, le jeune beur m’a craché sa purée dans la gorge, en rasades puissantes que j’ai avalées avec gourmandise. C’était à une époque ou le Sida n’était heureusement pas encore apparu, aujourd’hui plus question de prendre comme ça directement du jus de couilles dans le cul sans protection.

Ils se sont tous retirés, mais ma fête n’était pas finie, l’orgie ne faisait que de commencer. Les deux autres les ont remplacé tour à tour dans mon derche, me bourrant sans peine avec tout le sperme qui le lubrifiait. Mon cul n’était plus qu’un garage à bites et n’arrivait plus à contenir tout le foutre qui en débordait lorsqu’ils lâchaient leur dose de jus épais.

Il m’ont ensuite fait lécher toutes leurs bites pour les nettoyer et j’ai dû les leur ranger dans leur slip. Les gars se sont rhabillés, m’ont jeté un regard narquois, et sont partis en parlant tous à la fois dans cette langue que je ne comprenais pas. Je me suis relevé la bouche pâteuse de foutre, le corps couvert de sperme séché que je voulais garder sur moi, et j’ai baissé mon t-shirt sans me laver et remonté mon boxer. Mais une fois rhabillé, une grande quantité de sperme a encore coulé de mon trou du cul et atterri dans mon slip qui s’était retrouvé gluant et humide.

J’ai gardé de cette aventure un souvenir nostalgique, auquel je pense chaque fois que je pisse dans des WC publiques, mais l’occasion ne s’est bien sûr jamais plus présentée et le Sida est venu bouleverser les cartes.

Par Tonio Bi - Publié dans : Récit Porno Bisexuel - Communauté : Arts érotiques
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