Baiser avec une capote, c’est chiant. Tu perds tes sensations. C’est comme de nager en combi de plongée plutôt qu’à poil.
Sucer une bite couverte d’un préservatif c’est pas bandant. Goût de latex dans la bouche.
En plus, tu baise à sec, pas de foutre à partager.
Ca fait chier.
Mais est ce que tu veux risquer de te faire séropo, ta vie foutue passée en trithérapies, paria de la société?
Ca serait trop con, alors merde, dans le
doute, enfile un présé.
Là, c'est mon pote Philou qui va te faire saliver avec le récit de ses débuts comme
soumis:
Y faut que je te raconte mes débuts de sac à foutre. Ca a commencé quand j'avais 19 ans. J'étais timide, encore vierge du cul, et je suis entré dans un ciné porno. Je savais que la pénombre me conviendrait si je devais faire une rencontre. Il devait y avoir une vingtaine de personnes dans la salle. Je me suis assis dans une des rangées latérales du fond. Sur l'écran, deux gars enculaient un mec qui râlait, leurs deux bites qui lui déchiraient son trou du cul. Ils étaient super bien montés. J'ai défait ma braguette et commencé à me caresser la queue, la main dans le slip.
Au bout d'un moment, un jeune mec s’est affalé dans le fauteuil à côté de moi. Il avait l’air de sortir du bureau, costard cravate, genre jeune loup carnassier. Sans me regarder, il a dézipé son froc. J’ai vu les poils de son pubis surgir, c’était clair qu’il portait pas de slip. Il a sorti sa queue en érection monumentale et a commencé à se branler. Quelques instants après, il m'a dit sur un ton assez autoritaire: «descend ton froc!». On ne m'avait jamais parlé comme ça mais j’ai aimé, et j’ai senti ma queue durcir un peu plus encore. J'ai donc descendu mon jean et me suis retrouvé en slip dans cette salle de cinéma avec des mecs qui me regardaient de leur place. Je dois dire que ma biroute est de belle taille et faisait une protubérance assez suggestive à mon slip. Il m'a lentement caressé la queue à travers le tissu, puis il l'a sortie de son écrin et a commencé à me la masser tout en se masturbant. Je suis un peu exhib, mais avec tous ce mecs autour, j’étais pas à l’aise. J’ai été soulagé quand le gars m'a dit: «remballe ton matos, on va aller chez moi». Ca m’a excité un max de penser à ce qui pourrait des passer chez lui, et je l’ai suivi sans hésitation. En chemin, il ne m’a pas parlé, et pas répondu à mes questions, mais il dégageait une autorité naturelle et je me suis senti comme en son pouvoir. Il habitait pas loin.
En arrivant chez lui, il m'a montré la salle de bain, m’a donné une serviette de bain et m’a dit de prendre une douche pendant qu’il donnait quelques coups de fil. Je me suis prélassé sous la douche, et lavé le cul bien à fond. J’avais bien l’intention qu’il me le déflore ce soir là. Quand je suis sorti de la salle de bain, avec ma serviette autour des reins, il était vautré sur le divan de son salon devant la télé, avec juste un slip en latex noir qui moulait ses attributs. Il bandait à mort. J’ai pu apprécier son torse musclé et ses abdos sans graisse. Un beau spécimen de jeune cadre sportif! Il avait mis une vidéo SM homo. Je me suis étendu près de lui en laissant ma serviette découvrir ma queue dressée. Il a glissé sa main le long de ma cuisse, et m’a caressé les couilles.
Soudain la sonnette a retenti. J’ai bondi du sofa et me suis emballé séré dans ma serviette. Il s’est levé et m'a dit «t’inquiète pas, j'ai juste invité quelques copains pour qu’on s’amuse un peu, on va bien s'occuper de toi». Il a été ouvrir à quatre gars dans son genre, dont un grand black super balèze, qui m’ont déshabillé des yeux d’un air lubrique. J’avais pas prévu un truc comme ça, à plusieurs. Pris de panique, je me suis dirigé vers la salle de bain ou j’avais laissé mes habits, mais un des gars m’a barré le passage avec un sourire en me susurrant : «on veut pas te faire de mal bébé, mais Michel nous a dit que t’était bien monté et que t’avais l’air chaud du cul, alors on veut aussi en profiter et te faire tester nos pines. Viens te mettre à l’aise sur le canapé». Je me suis laissé faire, et c'est à partir de ce moment là que j'ai été un jouet sexuel pour ces cinq vicieux.
Ils se sont déshabillé rapidement. Quatre portaient un slip de cuir et le black un jock rouge qui n’arrivait pas a contenir sa grosse bite turgescente. Un des mec m’a dit qu’ils allaient avant tout me raser. Je me suis couché sur la table de la salle à manger, et j’ai perdu tous mes poils du pubis, de la queue et des couilles. Mais cela ne leur suffisait pas. Ils m'ont retourné sur le ventre à même la table, les jambes pendantes qu’ils m'ont écartées au maximum pour bien ouvrir mes fesses et dégager mon cul, puis ils me l’ont rasé intégral. J’ai bien aimé le contact de la lame autour de mon trou du cul, avec cette crainte de me faire blesser. Je bandais comme un taureau, la bite comprimée contre le bois de la table. Mais j’en avait pas fini avec les préparatifs. Ils ont voulu me faire un lavement avec une poire et m’ont vidé les intestins.
Sans crier gare, ils m’ont ensuite attaché les mains et les pieds aux quatre pieds de la table avec des rubans de soie. J’étais à leur complète merci, presque écartelé, le cul grand ouvert, la bite et les couilles dépassant du bord de la table contre lequel elles étaient pressées. Avoir le cul ainsi exposé à cinq mecs en rut m’excitait beaucoup, j’avais les burnes comme du béton.
Ils ont voulu tester l'élasticité et l'ouverture de mon trou de cul encore vierge. Un tube de lubrifiant Eros a surgit et un des mec m’en a enduit le fion. C’était un peu pimenté, et ça m’a mis le cul en feu. Un index fouilleur m’a sondé, m’en a graissé l’intérieur aussi profond qu’il pouvait et en est ressorti en un mouvement vissé.
Puis Michel est réapparu dans mon champ de vision avec trois godes de tailles différentes dont un énorme qui faisait au moins 7 cm de diamètre. Ils me les ont enfoncé l’un après l’autre, en douceur et profondeur. Quand le plus gros a commencé à forcer mon cul, j'ai gueulé comme un âne. J’avais l’impression que mon derche allait se déchirer. Mais je me suis relâché, il s’est lentement distendu, et j’ai ressenti une grande plénitude. J’ai pas pu m’empêcher de crier : «bordel à queue, j’aime trop». L'un des gars m'a alors dit: «t’as maintenant le cul d'une vrai salope. Tu va pouvoir te le faire exploser et te faire enculer sans crainte, et tu vas en redemander».
Ils sont venus du coté ou j’avais ma tête et ils ont sorti leurs queues qu’ils ont posées sur la table devant mes yeux affolés. Quels braquemarts! Celle du black devait mesurer plus de 20 cm mais elle était surtout très épaisse. Le grand noir m'a dit: «pas de souci, mon bébé, avec le trou béant que tu as à présent, ma queue va renter comme dans du beurre, tu vas jouir grave, mais y faut d’abord que tu me suce». Et il m’a poussé sa grosse biroute entre les lèvres. J’ai pris son odeur forte et musquée en plein nez, et ça a décuplé mon excitation. Je l’ai sucé goulument, avant que les autres viennent se faire pomper par ma bouche avide qui les aspiraient à tour de rôle et même par deux à la fois. Je n'avais jamais sucé autant de bites, ni senti si fort l’odeur âcre qui se dégageait de leur poils pubiens et de leur bites pas lavées. Elles devenaient énormes et bien raides dans ma bouche et leurs couilles ballottaient sur mon menton. J’étais en transe, les sens affolés.
Pendant que je suçais comme un malade, ma séance d'enculage a commencé. C'était encore l'époque où le sida n'existait pas, un premier gland nu à forcé son chemin dans ma rondelle vierge et s’est enfoncé millimètre par millimètre dans mon fion tendu vers lui. J’attendais cette sensation depuis si longtemps! Ca m’a tellement excité que j’ai largué une giclée de foutre qui a coulé en bas de la table. Les queues se sont succédées dans mon trou. J'étais devenu un véritable garage à bites, un trou ouvert à tous. Les pédés m'ont enculé à tour de rôle, tous plus puissants les uns que les autres. Seul le black attendait son tour en s’attardant à se faire sucer, ce qui n’était pas pour me déplaire. Il m’a dit qu’il voulait que mon derche soit bien ouvert et lubrifié par le sperme de tous ses copains avant de me prendre. Les quatre bites se sont vidées dans mon cul et je crois même qu’un mec y est venu deux fois. Le sperme débordait de mon trou et coulait jusque sur mes burnes.
Le grand balèze noir m’a sevré en retirant sa pine de ma bouche. Il s’est approché de mon fion débordant de foutre, et a écarté davantage encore mes fesses pour faciliter la pénétration de son énorme queue. Il en a profité pour les claquer du plat de la main, et le molosse m'a embroché comme une pute. Je me sentais emmanché à la limite du possible, les parois de mon cul complètement écartelées.
Pendant ce temps, les autres m'ont donné leurs queues à lécher pour les nettoyer. Elle étaient encore dégoulinantes de sperme bien gluant que j’ai bouffé avec délice.
Après m’avoir ramoné et limé pendant un bon moment, mon enculeur s'est retiré de moi brusquement sans avoir joui, et m’a crié qu’il voulait me cracher son jus dans la bouche. J’ai ouvert la bouche aussi grand que je pouvais, et sa biroute est entrée toute entière jusqu’au fond de ma gorge. J'en avais presque le souffle coupé. Après quelques va et viens impatients, il s'est raidi et immobilisé quelques secondes avant de vider ses couilles à gros bouillons. Trois grosses giclées de ce jus de couilles tout chaud et épais ont envahi ma gorge, que j’ai avalé en hoquetant.
Ils m’ont abandonné pantelant, attaché sur la table, pendant qu’il allait se doucher tous ensemble, se sont rhabillés, et sont venus me libérer. J’étais à poil, la bouche pâteuse, la figure, les fesses et la queue maculés de foutre séché, au milieu de ces cinq jeunes mecs en costard, qui me regardaient comme si j’étais leur jouet, et j’ai vraiment aimé ça.
Comme j’avais pris goût à être soumis à cette bande d’enculeurs, depuis ce jour-là j’ai remis
ça souvent, avec des copains ou des inconnus, mais jamais avec violence. J’ai même une fois été mis à poils dans un WC public par trois mecs qui m’ont sodomisé à même le carrelage, sous l’œil de
deux autres qui sont arrivés par hasard. Mais aujourd'hui plus question de sperme dans la bouche ni dans le cul malheureusement, le préservatif est
de rigueur, sida oblige. Dommage!
Philou
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