Ma gaule du matin

Le Sida ça te pourrit la vie


Baiser avec une capote, c’est chiant.

Tu perds tes sensations. C’est comme de nager en combi de plongée plutôt qu’à poil.

Sucer une bite couverte d’un préservatif c’est pas bandant. Goût de latex dans la bouche.

En plus, tu baise à sec, pas de foutre à partager.

Mais est ce que tu veux risquer de te faire séropo, ta vie foutue passée en trithérapies, paria de la société?

Ca serait trop con, alors merde, dans le doute, enfile un présé.


 Sablier Humain

Une femme a droit au plaisir


TIKEN JAH FAKOLY "NON A L'EXCISION"

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Samedi 12 juillet 6 12 /07 /Juil 18:10

Semaine de galère au boulot. (c’est toujours le petit jeune qui se tape tous les sales boulots), couronnée par cette soirée de merde. Musique nulle, ambiance de beauf. La seule meuf qui me faisait bander avec son beau cul et qui dansait bien sensuel m’a scié les couilles quand je lui ai proposé qu’on s’isole pour faire connaissance plus profond. Elle ma balancé qu’elle ne baise qu’avec des négros, les seuls à avoir une bite assez grosse pour qu’elle y trouve son compte. J’allais pas sortir ma queue en public pour lui prouver qu’elle vaut bien une biroute de black, comme j’ai déjà pu le vérifier avec mes potes du quartier. Je me suis tiré. Plus qu’à rentrer me branler sur mon pieu en pensant à ses nichons. D’ailleurs c’était l’heure du dernier bus qui m’a ramené dans ma banlieue pourave et dont j’étais le seul passager. A peine descendu du bus, je me suis pris un monstre orage sur la gueule. Pas envie de me faire tremper pour rentrer chez moi. J’ai décidé d’attendre une éclaircie sur le banc de l’abri-bus. Evidemment l’éclairage était explosé, mais rester seul dans l’obscurité zébrée d’éclairs, à l’abri du déluge, c’était pas pour me déranger. J’ai dézippé mon jean, passé l’élastique de mon calebar sous mes balloches et j’ai commencé à m’astiquer le nœud. Soudain, surgit de nulle part, un coupe de jeunes beurs déboule dans mon abri tout essouflés, complètement trempés, elle, la blouse collée à ses seins, lui le torse nu ruisselant, sa chemise détrempée en parapluie au dessus de leurs têtes. En une fraction de seconde, plutôt que de remballer mon matériel avec embarras je choisis de continuer à me branler sans complexe devant eux en leur lançant un regard de défi. Ils échangent un coup d’œil entendu, le mec s’asseye à ma droite, la fille à ma gauche, et les deux me matent sans un mot. J’écarte les cuisses jusqu’à toucher les leurs avec mes genoux. La beurette prend ma main libre et la conduit gentiment à sa chatte sous son slip mouillé. Je sens son clito réagir au quart de tour et ce n’est pas la pluie qui mouille mes doigts glissés entre les lèvres de son vagin. Elle se penche vers mon sexe dressé, enrobe mon gland de sa bouche gourmande, et laisse courir sa langue sur toute la longueur de mon membre affolé, avant de le pomper en longues succions appuyées. Elle a glissé sa main sous mon t-shirt, explore mes abdos et trouve mes tétons. Cette nuit commence à être moins merdique. Le jeune beur à ouvert sa braguette et sorti une belle queue basanée en pleine érection. D’une main décidée, il me fait lâcher ma bite et me donne sa verge à branler. Elle est ferme et soyeuse à la fois, comme le clito que je suis en train de masser de l’index de l’autre main, les autres doigts fourrageant le vagin de la meuf qui déverse un flot de jus lorsqu’elle jouit en spasmes convulsifs. Le gars m’empoigne par les cheveux et attire mon visage à son pubis pour que je lui suce son gland protubérant dont je lèche le frein et le pourtour tout en accélérant mon coup de poignet. Sentant au raidissement de sa queue que le mec va décharger, je laisse son gland s’échapper de ma bouche mais prend une bonne giclée de sa purée en pleine gueule. Plus excitant que la pluie. A mon tour j’envoie ma sauce dans la bouche de la meuf qui s’en étrangle à moitié. Elle s’essuie du revers de la main. Je retire la mienne de son slip et lâche le boudin déjà moins dur du gars. J’éponge mes mains maculées avec mon t-shirt, me lève en laissant mes attributs visqueux pendre hors du jean. Je n’aurais pas imaginé que ma branlette de consolation prenne cette tournure. Je leur jette un regard appréciateur et reconnaissant. On s’est pas causé, mais on s’est échangé nos jus en bonne convivialité. J’ai maintenant une bonne raison de prendre la douche sous l’orage, et je me casse sous les trombes d’eau, le visage et la queue lavés par la pluie torrentielle. Finalement pas une soirée si pourrie.

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Par Tonio Bi - Publié dans : Récit Porno Bisexuel
Lundi 7 juillet 1 07 /07 /Juil 06:53

Deux plombes du mat.
Sono à donf, basses lancinantes pulsant dans le sternum
La lumière rougeâtre strombe la pénombre enfumée.
Les mecs à torse peau, les filles presque à poil, beaux corps en sueur jeunes et sensuels qui se trémoussent. Ambiance exhib et sexuelle.
Tequila en rasades dégoulinant sur les mentons, les poitrines et entre les seins.
Devant moi, cette féline parfaite qui danse lascivement. Ses belles fesses mouvantes débordent du mini short. Sculptés par sa blouse humide, ses seins trempés que le rythme balance. Sa chevelure épaisse cadence les mouvements de sa tête renversée.
Presque accolé, torse luisant, son bel étalon blond déhanche dans un même mouvement son taille-basse qui cache mal sa gaule raidie.
Je m’approche d’eux à presque les toucher et m’insinue dans leur transe.
Leurs regards me jaugent avant de m’inclure dans leur corps à corps lascif plein de promesses.
Mal aux couilles pleines à exploser tellement je bande dans mon bermud sans slip.
Les lèvres de la fille effleurent le tatouage maori qui balafre mon biceps, puis sa langue électrise mon téton durci.
Ma main glissée dans son short épouse le contour ferme de la fesse et explore sa vulve mouillée. Le mec me susurre: «Si tu veux, on la baise ensemble, là tout de suite, et plus si affinités». «D’accord, mais d’abord je te suce la bite».
«Et moi je te lèche les couilles pendant que tu tringle ma meuf».
A genoux devant sa grosse trique dansante jaillie du jean fébrilement dézippé, je lui tête goulûment le gland, une main moite soupesant ses lourdes couilles imberbes, l’autre malaxant ses fesses contractées.
La fille à poil, accroupie les seins posés sur mes épaules, palpe mes fesses qu’elle à extraites du futal, et s’empare de ma bite qu’elle branle par l’arrière.
Ambiance survoltée du cercle des danseurs resserré autour de nous. Pas mal de filles ont maintenant les seins à l’air, massés par des mains mâles et femelles. Des biroutes en érection sortent des braguettes et des frocs tombés sur les chevilles. Des mains s’en saisissent et les branlent en nous matant.
 
J’accélère ma succion lubrique. Tout le corps de l’étalon se raidit en un spasme. La salve de son épaisse purée chaude m’inonde la bouche. Je me retourne vers la féline, cherche de la langue son clito et sa moule que je lubrifie de foutre régurgité.
Elle guide mon phallus en folie à son con bien poisseux et capture ma bouche gluante avec sa langue.
Je la besogne au rythme du beat en même temps que je branle son clito tétanisé. Elle décharge presque aussitôt en un raz de marée tiède qui m’inonde les parties.
Quelques voyeurs en rut éjaculent sur nous.
Mes burnes en feu happées par la bouche goulue de l’étalon la tête insinuée entre mes jambes, mon derche stimulé par son doigt inquisiteur, je me lâche et vide mes couilles en spasmes saccadés au fond du vagin encore secoué de soubresauts désordonnés.
Un autre trio nous a imités et copule, un mec en sandwich entre la femme qu’il lime sauvagement et la grosse pine d’un black qui lui défonce le trou du cul.
Le beau gosse me pousse de côté, lèche ma queue visqueuse encore bien raide à grands coups de langue gourmands, et enfourne son braquemart à nouveau dardé dans la figue encore suintante de sa dulcinée. Une fois son joystick bien enduit de sperme, il le ressort et l’encule en longues poussées rageuses, jusqu’à découiller en un torrent obscène qui coule le long des jambes de la fille repue.
Comme le blond, je rengaine mon engin débandant et reprend la danse avec ceux qui ont retrouvé leur décence. La meuf s’est échouée sur un divan et me tend un billet.
Le DJ a monté la sono. La musique a repris ses droits mais pour moi elle a perdu son piment. Leur numéro de portable en poche, je drift vers la sortie et un peu d’air frais.
Et plus si affinités. Peut-être explorer ensemble d’autres approches encore plus pornos.

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Par Tonio Bi - Publié dans : Récit Porno Bisexuel
Vendredi 27 juin 5 27 /06 /Juin 08:48

Deuxième Partie: Plus de biroutes, plus de bien-être

Banane matinale

Le lendemain matin, contents de nous, Bandaï et moi reprenons notre travail de masseurs au spa de l’unique hôtel de l’île, un cinq étoiles dont les 12 pavillons luxueux sur pilotis sont disposés de part et d’autre d’un ponton qui s’avance dans la mer. A chaque suite est accolé un petit spa privé pour deux personnes pourvu d’un jacuzzi et où les clients peuvent se faire masser chez eux s’ils le souhaitent.

Dans la cour du centre de soins entourée de bananiers, nous sommes paresseusement vautrés sur la banquette d’accueil. Nos clients de ce matin ont commandé un massage en couple à leur bungalow dans une demi-heure. Nous tuons le temps en repassant le film de la nuit passée avec force commentaires, quand Bandaï me susurre: «on a raté une étape hier soir, tu es toujours vierge du cul, mon salaud, il faudrait qu’on corrige ça rapido». Je suis assez d’accord. C’est une expérience qui manque à mon initiation. Nous décidons de squatter une des salles de massage et mon complice cueille au passage une banane qu’il a choisie toute noire, manifestement trop mûre, et dont je devine facilement à quel usage il la destine.

J’envoie valser mon débardeur lâche et mon short que je porte sans slip, sous le regard intéressé du vicieux métèque qui se fout lui aussi rapidement à poil, exhibant une belle érection de bronze. Je me jette sur la table de massage, allongé sur le dos, les fesses au bord et les genoux relevés que mes deux mains tiennent écartés. Bandaï me fais face, les couilles posés sur le bord de la table, mes mollets appuyés sur ses épaules. Il se saisit de ma verge et la fais durcir en la manipulant entre ses doigts tentaculaires.

Dans son autre main, il tient la vieille banane dont il décalotte d’un coup de dents l’extrémité opposée à la tige, faisant apparaître un peu de chair brune et molle. Il la trempe d’huile de massage, et l’enfonce avec détermination dans mon cul offert, mes fesses largement écartées. Je sens coulisser la peau huileuse de la banane trop mûre le long des parois de mon anus qui se dilate sur son passage. Tout à la jouissance que me procure ce corps étranger qui l’envahit complètement, je bande à donf. Bandaï ne résiste pas à me sucer goulument le nœud qui suinte, ce qui me fais contracter les sphincters dont les anneaux écrasent la banane qui répand sa chair pulpeuse dans mon derche affolé.

Il retire comme un préservatif usagé la pelure vidée de son contenu, présente sa putain de biroute hypertrophiée à mon trou de balle débordant de purée de banane, et m’encule avec détermination en faisant refouler la pulpe de fruit autant vers le fond qu’à l’extérieur à chaque poussée de son énorme gland qui force son chemin. Je sens bien toutes les contractions de sa grosse bite de pédé qui a investi mon cul comme on enfile un gant de soie et le ramone sur toute sa profondeur. D’une main impatiente, il a tiré ma trique vers lui à la verticale et me branle furieusement pendant que de l’autre il me lacère les couilles de ses ongles. J’ai empoigné les siennes et les étire à les décrocher. Nous poussons tous les deux des beuglements saccadés jusqu’à ce qu’avec un râle inarticulé, il me tapisse la prostate de rasades de son foutre brûlant en un orgasme sauvage. Tout mon corps se raidit autour de son phallus convulsé, et je lui éjacule à mon tour une puissante giclée de semence en plein dans la gueule. Lorsque son manche est redevenu moins sensible, il le retire de mon trou et le laisse dégorger sur la table, pendant que le mien finit de suppurer sur mon ventre. Ce gros porc passe un doigt le long de ma raie pour y récolter un peu de la purée de banane mêlée de foutre qui y a coulé et dont il se pourlèche.

Nous passons à la douche en échangeant nos impressions. De mon point de vue, l’essai est plus que concluant, même si je n’ai pas l’intention de faire de mon fion une outre à foutre. Quant à lui, de me branler en même temps qu’il me défonçait l’a plus fait jouir que d’enculer Moana en lui caressant seulement les seins. Baiser des mecs lui plaît bien, même si je le soupçonne de préférer se faire douloureusement bourrer le cul.

Massages pornos

Nous enfilons nos habits de travail, un short cargo et un T-shirt blanc moulant qui dessine bien nos pectoraux, et sur lequel est brodé notre slogan: ma mission: votre bien-être, juste au dessous du bout du sein qui affleure le tissu. Il est temps d’aller prodiguer nos talents et nous traînons nos pieds nus jusqu’au pavillon 9, presque au bout du ponton. Sven Nivquist, le client qui nous ouvre en robe de bain, est un beau grand Suédois d’une cinquantaine d’année, bien baraqué, les cheveux grisonnants, le regard bleu métallique éclairant un visage buriné par le soleil. Nous apprenons que la séance de massage est un cadeau que lui et sa femme Pernilla s’offrent pour leur anniversaire de mariage. Il ajoute en confidence qu’ils attendent de nous plus qu’un simple massage. Elle est lassée de ne baiser qu’avec lui depuis quinze ans et il nous a choisis pour y mettre un peu de piment, après avoir surpris Vulgine, la femme de chambre, vanter au téléphone nos mérites lors de notre initiation de la veille. Il se montre très clair sur ce qu’il attend de nous et la liasse de billets qu’il fait apparaître nous met d’autant plus d’accord que nous l’aurions fait rien que pour le plaisir. Nous traversons la suite, et le client nous présente au passage sa femme. Elle a beau avoir dans les quarante ans, c’est une blonde super bien foutue, avec un visage de cinéma, une taille mannequin et des formes que son kimono entrouvert peine à contenir. La trique que je me paye déjà prouve bien qu’elle aurait pu avoir mes services gratos. Le regard appuyé qu’elle jette à nos muscles saillants laisse penser que notre physique ne la laissent pas indifférente non plus.

Le mini-spa en plein air prolonge le bungalow, sur la même plate-forme en teck huilé, grand ouvert sur le large mais protégé des voisins par deux palissades de bambous sur les côtés. L’espace en est occupé par le jacuzzi, une paire de lits de repos, deux confortables tables de massage placées côte à côte et une étagère ou sont disposés les produits, les huiles de massage et les linges éponges. Pendant que nous préparons nos huiles, Sven et Pernilla se dénudent et s’allongent côte à côte chacun sur une des tables, le visage enfoncé dans l’orifice ovale pratiqué dans la partie supérieure, avec sous les yeux une vasque remplie de pétales de rose que nous avons disposé au sol, juste en dessous des deux trous.

Nous travaillons depuis le côté droit des tables. Je suis à l’extérieur pour masser la femme blonde, et Bandaï me tourne le dos, debout entre les deux tables pour masser le mari. Nous les enduisons d’huile et commençons par leur masser longuement la nuque, les bras et le dos. Puis je descends aux fesses fermes et charnues de la belle suédoise ou je m’attarde, avant de m’attaquer aux cuisses et aux mollets bronzés.

A l’aveugle, Pernilla laisse un de ses bras chercher le contact avec ma cuisse, glisse une main baladeuse dans la jambe de mon short et s’empare de mon paquet imberbe qu’elle soupèse en experte avant d’agripper mon gros salami qu’elle tâte et dont elle approuve le diamètre et la rigidité d’un grognement satisfait. Je vois que, son autre main est partie à l’assaut du cargo de Bandaï, toujours à tâtons, et s’y infiltre par l’arrière, à la recherche de sa trompe bien couillue qu’elle fait sortir du short par le canon retroussé et qu’elle met doucement en branle.

Trop excités pour nous concentrer sur notre travail, nous interrompons nos massages et Sven, flairant que quelque chose d’intéressant se passe, se relève à demi et se tourne vers nous, appuyé sur un coude. Une toison de poils gris cascade de son torse et mousse autour de ses couilles et de son pénis, de belle taille pour un blanc. Un anneau en or orné d’une boule incrustée d’un diamant pend en piercing de son sac, et un autre est accroché à la base de son gland. Bandaï le saisit entre ses dents et se met à lui pomper le nœud avec un bruit de succion mouillée, jouant avec ses couilles, un doigt passé dans l’anneau qui les décorent et qu’il tire gentiment. Il a glissé deux doigts de son autre main entre les lèvres de Sven qui les lui sucent et l’encourage en caressant ses longs cheveux, tandis que de l’autre main il le libère de son polo pour explorer sa poitrine lisse et musclée.

Je bande comme un bouc en rut, manipulé et branlé délicatement par la main experte de Pernilla. Ma main huileuse explore son entrejambes complètement épilé, et en réponse, elle lève la croupe et écarte largement les cuisses, dégageant à ma vue son trou du cul béant et les lèvres distendues de son vagin qu’elles drapent. J’insinue mon index entre les pans de ces tentures rose foncé pour explorer la tiédeur de son con moite. Je lâche un filet de bave sur la fleur de son anus dans lequel j’enfonce mon pouce, puis je resserre mes doigts en tenailles tout en la fourrageant en aller-venues humides.

J’envoie balader mon t-shirt par-dessus ma tête, guide la main de Pernilla à mes pectoraux qu’elle découvre des doigts et déboutonne mon froc que j’expédie du pied vers l’étagère. Je contourne le haut de la table et viens appuyer mon nombril contre le bord, le bassin versé vers l’avant. La blonde, le visage toujours enfoui dans l’orifice de la table, a maintenant mon énorme phallus de négro dardé en gros plan sous les yeux. Elle me saisi les burnes d’une main, happe le gland de mon magnum d’une bouche avide, y ventouse ses lèvres et me le suce avec application. Mes doigts travaillent toujours activement son trognon et elle en frétille du cul. Elle branle toujours activement Bandaï mais le tire par la bite vers le haut de la table, à coté de moi. Elle lui lâche la queue pour le libérer de son short qui tombe sur ses chevilles, avant de la reprendre en main pour l’attirer à sa portée et à sa vue. La salope se l’enfourner dans le bouche pourtant déjà bien remplie par la mienne et qui doit être complètement distendue. Le contact de cette biroute chaude et vivante collée contre la mienne décuple mes sensations, d’autant plus que Pernilla nous caresse les boules qui s’entrechoquent et se mélangent sous ses doigts. Je ne résiste pas à palper les fesses de Bandaï, qui est penché en avant, toujours affairé à sucer Sven et lui triturer les roupettes, et mon index trouve tout naturellement le chemin de sa fente et de son trou de balle dans lequel je le visse. Nous savourons tous les quatre ce moment de volupté intense en lâchant des soupirs et des halètements d’aise.

Bouches-trous besogneux

C’est Pernilla qui rompt le charme en premier. Elle laisse échapper nos verges de sa bouche, non sans les lécher encore une fois sur toute la longueur, et passe sur l’autre table rejoindre son mari qu’elle renverse sur le dos et enfourche. Elle s’agenouille au dessus de lui et s’empale du vagin sur son engin turgescent, bien lubrifié par la salive de Bandaï. Sven s’empare de ses mamelles aux bouts dilatés et les sucent goulument, tout en imprimant à son bassin un lent va et vient lascif.

Bandaï sait ce qu’on attend de lui. Il s’enduit le cigare d’huile de massage, monte sur la table de massage derrière Pernillla, les pieds au niveau de ses genoux et s’accroupit pour enfoncer son énorme boudin brun dans son cul largement ouvert. Je ne veux pas être en reste, et voyant qu’il reste un peu de place, je viens aussi me joindre à la fête. Je m’agenouille derrière les fesses de Bandaï, à califourchon au dessus des cuisses de Sven, et conduit mon mandrin d’ébène au con de Pernilla déjà obstrué par le long poireau blanc de son mari que je comprime pour faire ma place dans la chatte écartelée. Pernilla pousse un cri affolé. Trois queues de beau diamètre qui la besognent, coulissant en cadence dans son cul et sa chatte, c’est plus qu’elle ne pouvait demander. Elle est en nage, et s’agite en tous sens, les seins pelotés par son mari qui cherche sa bouche.

En plus de la biroute du suédois qui pulse contre la mienne, je sens celle du métis à travers la fine membrane qui sépare le vagin de l’anus. Devant moi, le dos et les fesses en mouvement de Bandaï sont perlés de sueur, qui lui coule le long de la raie et gouttent de ses couilles sur mon pubis. Mon excitation est à son comble, mais s’est Sven qui jouit le premier, tout son corps raidit, lâchant une rageuse décharge de purée qui lubrifie le fourreau dont nous partageons l’étroitesse et refoule sur nos burnes qu’elle englue. A son tour, Pernilla se lâche, et le flux de son jus est si intense que je crois tout d’abord qu’elle me pisse dessus. Bandaï atteint lui aussi le point de non-retour et je sens qu’il envoie sa sauce jusqu’au fonds du cul de la femelle en secousses compulsives, et s’écroule, plaqué à son dos. Je me retiens encore, au paroxysme de l’excitation. Je retire ma bite enduite de foutre et de jus visqueux, me relève un peu et force le trou de balle mouillé de sueur de Bandaï en lui écartant les fesses à deux mains. Il approuve d’un oui plaintif. J’ai à peine poussé trois fois mon gland jusqu’au fonds de son cul étroit que la sève se rue de mes glandes et que j’éjacule en un festival de sperme épais.

Lorsque j’ai laissé ressortir ma queue de son cul inondé, Bandaï se dégage de celui de Pernilla et passe sur l’autre table, un filet de semence d’un blanc sale coulant encore le long de ses cuisses. Sven est toujours couché sous sa femme. Son sexe débandé à glissé hors du vagin ou il avait explosé et repose sur sa cuisse dans une mare de spermes mélangés. J’en récolte un peu sur mes doigts et les enfilent dans la fente de la suédoise à la recherche de son clito que je badigeonne de foutre et branle en un doux mouvement circulaire. Elle relève la croupe sous mes caresses, mettant son cul gorgé de foutre à portée de ma bouche et dans lequel je darde ma langue, avant de la conduire à sa touffe que je viens lui bouffer à grands coups gourmands. Tout son corps tendu comme une corde de violon, elle est complètement concentrée sur le travail de mon doigt et de ma langue, son bouton de rose mis en vibrations au rythme de mes caresses. Elle ne résiste pas longtemps à ce régime, serre les fesses et les cuisses en une crispation ultime et jouit violemment en poussant des petits cris d’extase, larguant une onde de choc qui m’inonde la bouche et me coule le long du menton.

Bandaï est à la recherche de son polo sous les tables. Il s’est essuyé le cul et les parties avec une serviette éponge et a déjà remballé son matériel dans son short. J’abandonne le couple enlacé affalé sur la table, et attrape à mon tour un linge, éponge mon service trois pièces maculé de nos sécrétions et le range bien sagement dans mon cargo. Nous sommes prêts à nous éclipser. Je marmonne un truc à la con: «bon, ben voilà, on va vous laisser, bonne journée», et nous nous dirigeons vers le ponton, mais Pernilla nous rappelle d’une voix alanguie: «Merci les gars, assez gratiné comme anniversaire, mais il faudra que vous reveniez pour terminer le massage que vous avez bâclé. Alors ramenez vos couilles demain matin à la même heure; et soyez d’attaque, il se pourrait que nous ayons encore envie de nous servir de vos belles grosses biroutes». Nous n’avons pas de peine à promettre d’être au rendez-vous et en forme. Nous regagnons notre base au centre de soins. Le reste de la journée risque d’être moins bandant: je dois masser une grosse allemande obèse puis un vieux crouton décharné, mais je me réjoui déjà de retrouver Vugine et Moana ce soir pour leur détailler notre matinée.

Voilà le récit que je voulais te faire partager. S’il t’a bien fait saliver ou peut-être même souiller ton slip, tu peux m’en faire part sur le blog de mon pote Tonio. Si tu veux, je te donnerai les coordonnées de mon île. Nous sommes toujours prêts à accueillir un bon coup, alors viens te vautrer dans le stupre avec nous, tu ne seras pas déçu, et nous, on est toujours amateurs de chair fraiche. Alors à bientôt peut-être.

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Par Tonio Bi - Publié dans : Récit Porno Bisexuel
Vendredi 27 juin 5 27 /06 /Juin 07:04

Première Partie: Une île où le sexe est roi

J’habite une petite île paradisiaque du pacifique, le genre palmiers dans une nature luxuriante, lagon turquoise, plages de sable et douceur de vivre.

Je m’appelle Thebo, je suis un jeune black assez grand, avec un visage harmonieux, mangé par une barbe naissante et les cheveux fous en longs rastas. On dit que le corps d’ébène dont j’ai hérité est proche de la perfection, bien proportionné et très musclé par tout le sport que je lui fais faire.

Mes concitoyens ne sont pas tous aussi noirs de peau que moi. A cause de tous les marins et flibustiers qui ont accosté notre île à travers les âges et y ont copieusement copulé avec les femmes d’ici, on trouve des corps de toutes couleurs dans notre petite communauté, du presque blanc aux cheveux blonds au noir le plus sombre en passant par tous les métissages.

Parce que l’histoire de mon île a toujours baigné dans le sexe, ses habitants ont un rapport très libre et ouvert avec leur sexualité. Le seizième anniversaire y représente une étape importante, marquée par une initiation sexuelle qui constitue en quelque sorte un rite de passage pour les jeunes hommes et femmes de l’île.

Tout d’abord, le chef du village réunit les jeunes qui ont eu seize ans dans les mois précédents, leur explique dans le détail comment exploiter toutes les ressources de leur corps sans tabous, et leur apprend à donner et prendre un maximum de plaisir sexuel sans inhibition. Puis les jeunes sont laissés à eux-mêmes toute une nuit sans témoins par groupes de quatre pour mettre en pratique les enseignements du sage et découvrir leurs préférences sexuelles.

Tout comme mon copain Bandaï et les deux plus belles filles de mon âge, Vulgine et Monoa, j’ai fêté mes seize ans, je suis puceau et impatient de découvrir enfin tous les plaisirs du sexe partagés qui me font fantasmer un max lorsque je me branle le nœud consciencieusement en matant des vidéos pornos.

Ce matin, le chef nous a expliqué les préparatifs à cette initiation et les différentes choses que nous pourrons expérimenter les quatre pour atteindre la nuit prochaine notre pleine maturité sexuelle.

Douloureuse épilation

La première chose que nous devons faire en ce début de soirée, Bandaï et moi, c’est de nous épiler mutuellement le corps à la cire chaude. Bandaï se met à poil le premier et s’étend sur la table de la terrasse du bungalow qu’on nous a prêté pour que nous puissions opérer tranquillement. C’est un grand métis au corps fuselé par les compétitions de natation, sans un poil de graisse, les cuisses et les bras puissants, la poitrine bien découplée, les abdos ciselés en carrés et la ligne d’aine bien marquée. Son visage d’ange est encadré par de longs cheveux foncés très épais qui tombent sur ses larges épaules. Contrairement à moi, il n’est pas très poilu, sauf au niveau du pubis qui disparaît dans un foisonnement de poils noirs. Je commence par appliquer les bandes de cire chaude sur son torse. Je le sens se crisper un peu lorsque les poils de ses tétons s’arrachent avec la bande de tissu, mais il n’a pas l’air de trop souffrir. La séance continue avec le devant des jambes et des cuisses. Il se tourne ensuite sur le ventre pour que je puisse terminer l’épilation de l’arrière de ses cuisses. Son dos présente un beau tatouage géométrique qui vient mourir à l’échancrure de ses fesses. Je m’attaque ensuite aux poils qui frisent autour de son trou du cul, que je lui arrache en même temps qu’un cri rauque de douleur. En sentant ma bite durcir dans mon short, je découvre que j’éprouve un malin plaisir sadique à maltraiter son anus, mais lorsqu’il se retourne à nouveau sur le dos, je constate que ce maso s’est lui aussi mis à bander grave. J’empoigne sa longue verge bien droite d’une main et m’empresse de poursuivre ma torture à son entre-jambes, son sac de couilles et la base de sa queue. Il réagit avec force beuglements, mais je sens sa biroute se dilater encore plus dans ma main à chaque arrachement, et je continue de développer moi-aussi une érection carabinée. Il se relève, le corps maintenant complètement glabre, et la vison obscène de sa longue biroute dure au diamètre imposant fièrement dressée et de ses grosses couilles imberbes et bien pendantes ne me laissent pas indifférent.

Je baisse à mon tour mon froc, lui dévoilant du coup mon émoi, et me fais traiter de salaud de sadique qui ne perd rien pour attendre. En effet, comme je suis très poilu, je sens que je vais déguster, et ne suis pas sûr d’y trouver du plaisir. Mon bourreau propose de commencer par mes parties génitales arguant que se sera plus facile avec ma queue en érection qui tend la peau de mes couilles. L’opération se révèle aussi douloureuse que je m’y attendais, et ma bite qui se ramollit me confirme que je ne suis pas masochiste. De son côté, Bandaï prends clairement son pied à me martyriser, comme en atteste son sourire cynique et la persistance de sa formidable érection. Une fois mon calvaire terminé, tout le corps en feu, du poitrail aux mollets en passant par les burnes et la raie du cul, je me fais enduire d’un baume apaisant que j’applique aussi avec une certaine délectation sur tout le corps lisse de mon copain. Sa queue n’a pas débandé durant toute la séance et balader mes mains sur tout son corps a redonné vigueur à la mienne qui s’est redressée à la verticale, mais nous n’y faisons pas allusion même si nos regards gourmands en disent long sur nos pensées.

Les taureaux entrent dans l’arène

Nous enfilons les strings en peau de python que nous avions préparé pour l’occasion, comprimant à l’extrême nos braquemarts toujours turgescents, cachons le tout dans nos bermudas extra larges et sortons sur la plage pieds et torse nus. La nuit est entre temps tombée, et nous avons hâte d’atteindre la chambre d’initiation en bambous dont nous distinguons les pilotis plantés dans l’eau au bord de la plage. Nous grimpons impatiemment l’escalier d’accès éclairé par quelques flambeaux plantés dans le sable. L’entrée de la maison au toit de palmes est fermée par un panneau de fibres tressées qui ne résiste pas à notre poussée fébrile et que nous refermons derrière nous, pour découvrir enfin l’espace ou vont se dérouler nos ébats. C’est une pièce circulaire, sur le sol de laquelle on a jeté une grande natte écarlate. Les murs sont presque entièrement couverts de tapisseries brodées qui présentent de multiples scènes franchement pornographiques. Les torchères fixées aux murs procurent une lumière chaude et dansante et projettent de longues ombres qui modulent la pénombre. Au milieu de la chambre se dresse un grand podium rectangulaire de cinquante centimètres d’épaisseur en fibres tressées, recouvert d’une épaisse natte matelassée et de quelques coussins rebondis. Au dessus d’un des angles du podium, une nacelle ovoïde est suspendue au faîte du toit par une corde en lianes tressées. Elle est faite de tiges de bambous entrecroisées en un canevas lâche, largement ouverte sur l’avant, avec un trou de la taille d’une grande assiette dans le fonds arrondi situé à une vingtaine de centimètres au dessus du podium. Notre mentor nous en avait parlé, comme des calebasses en demi-sphères décalottées remplies de liquides colorés et des divers accessoires de formes allongées qui sont disposés au sol contre la paroi. Dans l’air flotte un parfum suave d’ambre musqué et il règne dans la pièce une douce torpeur un peu moite.

Vulgine et Monoa nous ont précédés et sont installées sur le podium, appuyées contre les coussins, les jambes repliées de côté. Elles sont très différentes l’une de l‘autre mais toutes deux sublimes dans leur déshabillé en fine toile blanche juste noués par un fin ruban au dessus des seins qu’on voit pointer au travers, et qui laisse transparaitre à la lueur des torches le contour de leurs formes parfaitement harmonieuses. Vulgine est la plus grande et la plus foncée, splendide négresse aux lèvres pulpeuses, au visage délicat que mangent de grands yeux noirs aux longs cils et les cheveux crépus relevés en un chignon ananas. Ses longues jambes musclées aux mollets bien galbés témoignent de son goût pour le sport. Monoa est de type polynésien, à la peau brun cuivré avec de longs cheveux noirs brillants et soyeux qui se répandent sur ses épaules et lui tombent jusqu’au bas du dos. Elle a des yeux de jade aux reflets limpides. Elle est mince et parfaitement proportionnée, même si une certaine lascivité se dégage de son attitude. Elle a d’ailleurs laissé négligemment remonter son déshabillé sous ses fesses et ses cuisses légèrement écartées laissent entrevoir les lèvres sombres de son vagin fraichement épilé.
Les deux filles ont le regard vissé sur le bas-ventre de Bandaï qui a déjà retiré son short. Je constate sans surprise qu’il n’a toujours pas débandé et que son string prêt à péter peine à contenir ses attributs congestionnés. Je laisse à mon tour glisser mon bermuda sur mes chevilles. Les yeux des deux vénus s’écarquillent en voyant mon énorme phallus d’ébène émerger de mon slip dont le gland a écarté la peau de serpent qui le comprimait et qui se déploie jusque loin au dessus de mon nombril, la couture supérieure du string le maintenant plaqué contre mon ventre. Elles émettent de petits cris mêlés de rires et tendent leurs mains vers nous en gloussant. Nous nous approchons du podium, prenant leurs mains dans les nôtres pour les empêcher d’aller droit à nos bites alléchantes.

Dépucelages

Je passe derrière Monoa, insinue mes mains sous sa tunique et caresse son dos en faisant remonter le tissu qui découvre ses fesses charnues couleur de bronze. Elle m’aide à la dépouiller de sa tunique, qui découvre sa poitrine plantureuse. Ses gros seins sont magnifiquement galbés, les bouts effrontément dressés au centre des larges aréoles foncées. Comme aimantées, mes mains glissent de son dos sous ses aisselles et viennent envelopper ses mamelles dont je découvre les tétons déjà durcis d’excitation. Elle tourne son beau visage vers moi et me tend ses lèvres que je happe avec fièvre. Nos langues se trouvent et nous nous embarquons dans un baiser torride et mouillé qui nous électrise. Puis je laisse divaguer ma bouche le long de son cou et de son dos jusqu'à ses fesses dont je lèche avec délice la ronde plénitude. Mes bras sont restés scotchés sur ses seins dont je fais rouler les bouts entre mes doigts, pendant que ma langue parvenue au creux de ses fesses s’égare dans la raie de son cul déjà baignée de sueur à laquelle je mêle ma salive. Elle soulève doucement sa croupe de reine pour mieux écarter les fesses et m’offrir sa fleur dans laquelle je laisse couler un filet de salive et darde ma langue aussi profond qu’elle peut aller. De ses mains nerveuses elle vient me pétrir les oreilles et farfouiller mes dreads. Je ramène mes mains pour caresser la chair ferme et lisse de ses fesses moites. Comme elle relève encore le bassin en s’appuyant sur les coudes, je ressors ma langue de son anus et lèche copieusement l’espace qui le sépare de son vagin avant d’en écarter délicatement les lèvres et de découvrir avec la langue la douceur de velours et la chaude moiteur visqueuse de cette figue éclatée. Ma bouche, comme animée d’une vie propre, la suce furieusement et se pourlèche du suc épais qui en suinte. Je suis de la langue le sillon de ses lèvres écartées et butte contre son clitoris dilaté qui en dépasse et que j’aspire goulûment et branle avec ma langue, le nez maintenant enfoui dans son con aux enivrants effluves de fruits de mer. Elle gémit en ondulant de la croupe, et je bande tellement que j’ai l’impression que mon engin a décuplé de volume et que mes couilles ont la taille de pamplemousses. Les choses vont trop vite, il faut que nous nous calmions un peu. D’une main, je fais passer la couture de mon string sous mes couilles pour les libérer. Je me relève en faisant glisser ma poitrine mouillée de transpiration contre son cul, suivie de ma bite hypertrophiée qui remonte le long de son cul et se plaque entre ses fesses où elle s’encastre le long de la raie qu’elle remplit jusqu’au bas de son dos.

Par dessus le buste de Monoa, je vois maintenant la scène qu’elle avait devant les yeux pendant que je lui astiquais l’arrière train. Bandaï se tient à genoux sur le podium, les cuisses écartées, le torse redressé et la tête renversée en arrière, Vulgine lui faisant face assise sur ses talons. Elle a dégagé son braquemart démesuré en lui arrachant le triangle de peau du string dont il ne reste plus que le lacet de cuir qui lui ceinture la taille et ceux qui lui passe entre les jambes en contournant son sac de couilles pour finir dans la raie de son cul. Une main affairée à lui masser ses grosses burnes imberbes pendant que l’autre évalue la fermeté d’une de ses fesses, elle lui suce avidement le gland, laissant s’échapper un peu de salive qui coule le long de sa longue verge fièrement dressée. Il l’a débarrassée de son déshabillé, et je peux admirer son ventre plat et ses seins qui pointent fièrement comme des obus d’airain, les tétons et les aréoles rétrécis par le désir. Bandaï les lui triture à l’aveugle, absorbé qu’il est par la succion consciencieuse de son gland que lui prodigue Vulgine. Non contente d’être spectatrice, Monoa se penche en direction du couple et se met elle aussi à baiser et lécher le membre du métis sur toute sa longueur. Loin de me calmer, cette vision me met au bord de l’apoplexie. Je décolle ma queue de l’entre-fesses de Monoa, j’écarte largement ses cuisses et prends en main mon engin que je conduis fermement jusqu’à sa moule bien mise en condition et prête à l’accueillir. Trop excitée et occupée à sucer mon copain, elle ne réalise pas que je suis en passe de lui déchirer sa rondelle. Vu la taille de mon gourdin fortement cambré, je dois la dépuceler délicatement si je ne veux pas la blesser. De mon gland hypertrophié j’écarte les lèvres gonflées de son vagin et introduis en douceur mon mandrin dans cette caverne accueillante, vite arrêté par son hymen dont mon gland éprouve l’élasticité. Je me décide à la pénétrer plus avant, distend la membrane que je sens se déchirer d’un coup. J’enfonce mon piston jusqu’à la garde et le ressort baigné de sang, puis je perds le contrôle et la bourre en une série de coups de boutoirs frénétiques. Très vite, je sens un flux irrépressible monter de mes couilles et je décharge en une série de spasmes violents. Presque en écho, Monoa jouit à son tour en soubresauts désordonnés, lâchant un torrent chaud qui m’inonde la gaule et dégouline le long de mes couilles, puis je continue de faire coulisser mon membre encore bien dur dans son écrin gorgé de laitances qui en fluidifient les mouvements.

De l’autre côté du lit, Bandaï n’a pas changé de position, mais Vulgine s’est retournée, lui présentant ses fesses, et c’est elle qui vient s’accroupir entre ses jambes pour s’empaler lentement sur son monolithe dressé, se déflorant elle même en se l’enfonçant profond avec un petit cri de douleur. Un filet de sang s’échappe et colore l’aine de Bandaï qui, trop excité, envoie en poussant un puissant brame une salve de purée qui fait tressauter la dépucelée. Prise de frénésie, elle entame une série de va et vient et se ramone le con avec la bite du métis bien lubrifiée par son sperme, jusqu’à ce qu’elle aussi soit prise de transe jouissive et se répande sur le pubis de Bandaï qui s’est écroulé en arrière.

Voilà, nous ne sommes plus puceaux, les filles sont déflorées, et nous y avons tous pris notre pied. Mais nous n’allons pas nous arrêter là, la nuit ne fait que commencer, et nous avons encore plein de choses à expérimenter.

Suceurs de bites

Je retire mon calibre débandant et gluant, laisse choir mon string au pied du podium et vient m’affaler sur le dos au milieu des autres sur le podium, saisissant au passage une des calebasses qui contient du beurre de karité dont nous allons nous enduire la pine pour qu’elle reste lubrifiée. Imitant Vulgine qui lave à grands coups de langue la biroute et les couilles de Bandaï maculées de foutre et de sang virginal, et qui s’est remis à bander comme un taureau, Monoa aspire mes roustes dans sa bouche et les ripoline avec sa salive et sa langue avant de les recracher et d’engloutir ma biroute pour la laver aussi des restes de découille rougie de sang. Ses longs cheveux me caressent le bas du ventre et les cuisses, et je sens que ma bite se reprend une érection dans sa bouche qui ne peut bientôt plus en contenir tout le volume et la laisse ressortir à moitié. Elle se concentre alors sur mon gland qu’elle entreprend de sucer comme si elle devait faire fondre une friandise en chocolat noir. Vulgine, qui en a terminé avec le lessivage de la queue de l’autre mâle, se fraye un chemin vers nous, s’immisce entre mes cuisses et s’avise de me brouter les couilles. Laissé à lui-même, Bandaï contourne le podium, attiré lui aussi par mon magnum. Il m’enfourche carrément, à califourchon sur mon torse, sa bouche cherchant à participer au festin de ma verge, son cul et ses parties offerts en gros plan obscène à mon visage. Je dois avouer que cette vue m’excite passablement. J’agrippe ses testicules que j’enserre en y enfonçant les ongles. De mon autre main, j’empoigne son énorme engin et le tire en arrière entre ses jambes pour le forcer jusqu’à ma bouche. J’en prends entre mes dents le bout turgescent d’ou suinte un peu de cérumen que je goutte avec la langue, et me mets à le sucer avec délectation. Cette nouvelle expérience, couplée avec la sensation que me procure les trois bouches qui me lèchent et me sucent le dard, décuplent mon excitation. Je sens en plus des mains me caresser l’intérieur des cuisses et le bas-ventre, d’autres se glisser sous mes fesses et les pétrir, et des doigts m’enserrer le nœud en anneau et me branler doucement. C’en est trop pour un seul homme, tous mes sens s’affolent et je laisse mon mamba noir dressé de toute sa hauteur cracher furieusement son venin blanchâtre à la gueule des trois suceurs qui suffoquent. Tirant d’une main sur le sac de couilles de Bandaï à presque l’arracher, je le branle énergiquement de l’autre tout en le suçant avec rage, fébrile que je suis de découvrir moi aussi le goût du foutre, qu’il ne tarde pas à me décharger en longues rasade chaudes qui m’emplissent la bouche, me coulent dans le gosier et que j’avale en gorgées au gout douçâtre. Je lâche son tuyau d’arrosage qui, comme mû par un ressort, reprend sa position vers l’avant, s’essuyant au passage sur ma poitrine ou il laisse une trainée de foutre épais, et finit de dégorger dans mon nombril. Bandaï se laisse aller de tous son poids sur moi, et repose sa tête sur ma cuisse, le visage contre ma queue baveuse qui débande. J’ai ses fesses relâchées juste devant mes yeux, son trou du cul bien ouvert, décoré de fine gouttelettes de sueur, zébré par les lacets de cuir du string que je lui arrache avec les dents. Je me dis qu’il faudra que je m’occupe de ce cul qui ne demande qu’à être malmené, mais plus tard. Pour l’instant je suis bien et j’éprouve juste le besoin de récupérer quelques minutes.

Carrousel lubrique

La température de la pièce a monté de plusieurs degrés. Nous sommes tous quatre en nage, et une envoutante odeur de stupre enveloppe le podium. Bandaï et moi nous passons une des calebasses qui contient un breuvage énergétique à base de caféine, de taurine et de plantes aphrodisiaques macérées dans du vin de palme. Les deux femelles se sont emparées de la calebasse de karité, et s’activent à m’enduire copieusement le sexe dont elles ont retroussé la peau pour dégager le gland. Le beurre forme une couche luisante sur ma peau sombre, du plus bel effet dans la lumière des torches, d’autant plus que de petites gouttelettes de sueur se sont formées sur tout le pourtour de mon membre viril. Bandaï a roulé sur le côté, et attendu son tour étendu de tout son long sur la natte. Chez lui aussi, le karité met en valeur sa longue bite de couleur caramel en lui donnant des reflets mordorés. Maintenant allongées côte à côte, Vulgine et Monoa se sont fourré la chatte avec un bon morceau de beurre et étroitement enlacées, en profitent pour se faire mutuellement reluire le clito en se trémoussant, tout en se roulant un langoureux patin longuement appuyé. Le spectacle nous fait pas mal d’effet et revigorés par le breuvage alcoolisé, nous nous remettons à bander comme des boucs en rut.

Je descends du podium la bite en étendard, prends Vulgine par la main, l’arrache à son étreinte pour l’amener vers la nacelle suspendue au dessus de l’angle, et l’aider à s’y asseoir, jambes relevées, les genoux à hauteur des seins, et les pieds posés au bord de l’ouverture ovale. Ses fesses et sa vulve dépassent largement au travers du trou percé dans le fond, cerclé par le bambou qui en délimite le pourtour. En rampant sur le dos, je viens me placer sur la natte matelassée, juste au dessous. Levant le bassin, je plante sans peine mon solide madrier copieusement beurré jusqu’au fond de la moule étroite mais bien lubrifiée que me présente la belle pouliche noire qui l’accueille avec un soupir d’aise, sachant bien ce qui l’attend. Je saisis la base du panier à deux mains, et lui imprime une lente rotation autour de mon gros vit qui lui sert d’axe et frotte contre les parois de son vagin comme dans un moyeu graissé. Je lève et abaisse mon bassin en un rythme lascif, faisant coulisser ma pine qui se met en vrille, essorée entre les lèvres resserrées de la vulve qui lui tourne autour, me donnant l’impression qu’elle va se dévisser. J’accélère le mouvement du carrousel, provoquant des jappements de plaisir de la jouisseuse qui tourbillonne dans la nacelle et largue un tsunami de jus tiède qui m’arrose le ventre et les testicules. Je suis au comble de l’excitation, et à mon tour lâche ma sauce sans retenue, ma bite hypersensible traversée de décharges électriques et le corps parcouru de frissons délicieux. Je laisse le panier ralentir sa course de lui même, le bassin toujours en mouvement vertical, savourant le glissement visqueux autour de ma trique, mon plaisir rehaussé par les contractions que Vulgine impose à son vagin. Lorsque la nacelle s’est immobilisée et que nous avons retrouvé notre calme, j’extrait ma limace géante et roule de côté sur le ventre. J’ai en face de moi le cul de Monoa agenouillée la croupe relevée, en train de récupérer les coudes au sol et le visage enfoui dans un coussin. Son trou du cul dégouline de foutre brunâtre, témoignant que Bandaï n’a pas perdu son temps pendant que nous jouions à la toupie. Le voyant sortir à poil de la pièce, j’envoie une bonne claque sur les fesses de la jeune enculée et propose que nous le suivions tous pour aller nous aussi nous jeter à l’eau au clair de lune.

Châtiment porno-sadique

Le sable est encore chaud, et l’eau tiède du lagon ne nous rafraîchit pas, mais nous lave de nos miasmes, et nous y sommes de toutes façon dans notre élément. Bandaï propose que le premier qui atteindra l’îlot de corail décidera d’un gage pour les autres, et nous nous lançons dans un crawl de compétition. Vulgine démarre en trombe, mais Bandaï et moi la rattrapons bientôt et je prends la tête de la course. Soudain, à quelques brasses de l’îlot, Bandaï annonce une crampe et lorsque je stoppe pour lui prêter main-forte, il me dépasse et touche le corail le premier dans un grand rire. Il prétend avoir gagné et veut nous infliger un gage, mais nous le traitons de faux-cul et ce salaud de traître accepte finalement, un peu trop volontiers, de se faire châtier dès notre retour à la case, ce qui le fais bander d’avance. Les deux filles ramènent leur prisonnier en le tirant chacune par un biceps, et je les suis en lui prodiguant des claques sur ses fesses musclées.

L’odeur de baise et de transpiration musquée qui flotte dans la pièce surchauffée me dilate les narines et me met en érection. Le tricheur se laisse docilement installer debout face au podium, jambes écartées, le buste penché en avant reposant sur le matelas. Vulgine se positionne à cheval sur le haut de son dos, lui écrasant de son poids la poitrine contre la natte, les fesses assises sur sa nuque, lui maintenant les bras en croix sous ses genoux. Ses mains appuyées sur les reins de notre victime, elle a la vue plongeante sur son cul, aux premières loges pour le spectacle de son supplice. Monoa s’est laissé glisser au pied du podium, la tête sous les attributs virils de Bandaï. Elle a ramassé un fin lacet de cuir souple dont elle ligature bien serré les couilles et saucissonne étroitement la bite bouffie du tricheur qui proteste mollement. Je me suis emparé d’un fouet à manche de cuir d’ou part un faisceau de longues lanières. Je commence par lui en caresser le cul avant de lui claquer plus sévèrement le fessier, les lanières imprimant leur marque dans la peau de ses fesses tendues qui prennent une belle couleur brun rouge foncé. Je m’arrange pour que le bout des lanières vienne lui brûler les couilles. Le supplicié braille sous les coups mais ce vicieux en redemande. Ma gaule me fait mal tellement je bande dans mon rôle de tortionnaire, mais je ne veux pas déchirer son beau cul trempé de sueur.

Parmi les accessoires, j’ai aussi sélectionné un gros boudin en boyau élastique rempli de billes de verre que j’ai trempé dans le beurre de karité, et dont je m’apprête à forcer son trou du cul encore vierge. Monoa m’aide en lui écartant les fesses et je pousse le godemiché dans son fondement en un mouvement vissé. Le viol de son cul le fait gueuler comme un putois et me maudire mais le filet de liquide visqueux qui suinte de sa bite bandée à faire péter le lacet qui l’entrave montre bien qu’il prend son pied. Lorsque le boudin est emmanché jusqu’au fonds, je tords l’extrémité du boyau comme si je voulais l’essorer, ce qui comprime les billes de verre plus à l’intérieur en leur donnant moins de place en longueur, les forçant à déformer le boyau élastique et distendre à l’extrême les parois de l’anus sous la pression latérale. Je manœuvre la prothèse en tous sens pour que Bandaï sente bien son cul trop rempli s’élargir au maximum, avant de la retirer doucement en un mouvement circulaire.

Le trou de balle de mon esclave est maintenant mûr pour qu’il ne se déchire pas quand je vais l’enculer. Monoa a beurré ma poutre d’ébène que je plante dans sa cible et pousse centimètre par centimètre jusqu’à toucher sa prostate. Ma bite découvre la sensation du resserrement de ce fourreau soyeux un peu trop étroit et qui se contracte, très différente de la volupté d’une accueillante chatte largement offerte. Je commence à lui labourer le cul en un va et vient de plus en plus frénétique, pressé de vider mes couilles dans son trou, ce qui arrive bientôt en un feu d’artifice de purée abondante qui le rempli et refoule autour de ma queue pour couler le long de son sac. Monoa lui a délacé son phallus et le branle avec ardeur jusqu’à ce qu’il lâche sa découille entre les seins de la métisse. Vulgine se laisse rouler de son dos, et de mon côté, je libère son cul, essuie ma trique poisseuse avec un des déshabillés abandonné, monte sur le podium et me jette sur les coussins, vautré sur le dos entre Vulgine et Bandaï.

Pénétration en force

Nous avons déjà bien progressé dans notre initiation sexuelle. Je crois que nous sommes tous assez doués pour la baise et que nos penchants sont assez clairs. Mais Vulgine n’en a manifestement pas encore assez. Elle commence par me caresser les abdos en remontant ma poitrine pour venir agacer mes tétons qui réagissent au quart de tour. Mais c’est mon pénis sagement rangé sur ma cuisse qui l’attire. Elle s’en saisit et se met à la manipuler doucement, faisant coulisser la peau autour du gland qui apparaît et disparaît en s’y frottant agréablement tandis que ma verge se raidit lentement dans sa main. De l’autre main, elle soupèse mes lourdes couilles qu’elle masse avec application. Je glisse une main fébrile entre ses cuisses, remonte mon index entre les lèvres de sa figue humide et trouve son clitoris bien beurré que je roule gentiment en cercles gourmands, et que je fais grandir jusqu’à dépasser de ses lèvres vaginales pourtant bien boursouflées. Sans lâcher ma bite, elle se tourne vers moi, me rampe sur le ventre en pressant ses seins contre ma poitrine et vient coller sa bouche entrouverte contre mes lèvres qui la happe avec avidité. Pendant que nous nous suçons la langue comme des perdus, elle conduit d’une main décidée mon braquemart à son con béant qui l’aspire en son tréfonds. Je me mets à la limer lentement, tout en continuant de branler son berlingot, mon autre main affairée à lui exciter un téton, nos bouches toujours soudées.

Du coin de l’œil, j’entrevois Bandaï qui m’enjambe et vient s’accroupir derrière le cul de Vulgine, sa grosse pine en pleine érection bien en main. Je pense qu’il va l’enculer, mais c’est un doigt qu’il lui enfonce dans le fion, et je sens son gland forcer son passage dans le vagin en glissant contre ma queue complètement comprimée dans cet espace confiné, ses burnes pendant sur les miennes. La baiseuse qui a lâché ma bouche doit penser que sa moule distendue va se déchirer, et pousse de petits cris affolés. Je sens la bite de mon compère battre contre la mienne. De la main, il tient nos deux queues accolées à leur base, et nous nous mettons à tringler la noire femelle lubrique en coordonnant nos lents mouvements de va et vient. Ses cris se transforment en soupirs et elle mouille abondamment. Son clitoris est dans tous ses états sous mon doigt, et à l’accélération du de nos coups de bourre haletants, je me dis que nous allons jouir les trois en même temps. En tous cas mes roupettes en feu sont pleines et je lâche une puissante giclée de foutre sans attendre, tout de suite suivi par Bandaï qui décharge en jets saccadés sa sauce brûlante. Vulgine se lâche elle aussi et le flot de son jus nous éjecte de sa vulve débordante de sperme.

Notre trio se disloque en roulant chacun dans son coin pour reprendre ses esprits, puis, laissant tout en plan, nous sortons à poil tous les quatre au petit jour nous laver dans la mer, et nous nous affalons sur le sable pour nous sécher un peu avant de regagner nos pénates et passer la journée à récupérer.


La suite:  Initiation bisexuelle sous les tropiques: 2ème partie (à quatre)

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Par Tonio Bi - Publié dans : Récit Porno Bisexuel
Jeudi 26 juin 4 26 /06 /Juin 16:03

Deuxième Partie: Chorégraphie porno pour trois mâles en rut et deux femelles en chaleur

 

Champagne

Cette dernière journée de négociations et le dîner qui l’a suivie ont été longs mais je ne suis pas mécontent du résultat. Même si je n’étais pas toujours à mon affaire après ma nuit mouvementée, je peux rentrer demain avec les contrats en poche. De retour à l’hôtel, un billet du directeur du palace m’attend avec ma clé: Brad, j’ai touché un mot de notre nuit à la cliente de la suite Panoramique. Elle serait ravie de nous offrir un verre ce soir vers onze heures pour faire ta connaissance en petit comité. Crois moi, tu ne le regretteras pasC’est signé Miguel. Dommage, j’aimais bien Tonio Bande Dur comme nom, mais Miguel, ça ira aussi! Je ne sais pas ce qui m’attend, mais si ça pouvait être à moitié aussi bandant que la nuit dernière, je serais déjà comblé. Je griffonne au dos: La suite me va, je te fais confiance, ma bite en salive déjà. Brad. Je la remets dans son enveloppe et la confie à la réceptionniste.

Je me paye un quart d’heure de bien-être sous la douche, et ripoliné de fonds en comble au gel-douche jusqu’au tréfonds du cul (on ne sait jamais!), je me prépare avec soin pour monter au dernier étage de l’hôtel. J’enfile mes dernières fringues propres, un boxer noir en soie que je laisse dépasser de mes jeans taille basse et un t-shirt blanc bien moulant qui met en valeur mes muscles.

L’ascenseur me dépose en douceur au huitième. Je repère la plaquette qui proclame «Suite Panoramique» et pousse la porte laissée entrouverte. Je découvre un vaste salon très design, dans des tons beige bruns, au milieu duquel sont disposés en angle deux canapés profonds et généreux en cuir crème qui entourent une grande table basse en verre dépoli. La lumière indirecte est tamisée, ce qui permet de voir le clair de lune par la baie vitrée qui couvre entièrement la paroi sud du sol au plafond. Elle est ouverte sur une grande terrasse qui surplombe la mer, où trône un vaste jacuzzi habillé de teck, éclairé de l’intérieur, entouré de deux lits de repos en fibre tressée et de plantes exotiques aux larges palmes. Dans la pièce, un grand écran plasma couve une autre des parois, sous lequel court un long bar en verre et inox. Deux ouvertures se découpent sur le mur d’en face, probablement les portes de la chambre à coucher et de la salle de bain. Une musique new age joue en sourdine.

C’est le beau Miguel alias Tonio Bande Dur qui vient à ma rencontre, élégant dans le costume que je lui ai déjà vu ce matin, mais la veste maintenant à même la peau, ouverte sur son torse imberbe, exhibant ses pectoraux bien découplés. J Lo est aussi là, assise sur l’un des canapés, toujours aussi bandante dans une robe noire à bretelles très minimaliste, dont le fin tissu laisse deviner qu’elle ne porte rien en dessous. Miguel me présente à l’heureuse cliente de la suite, une belle jeune femme aux longs cheveux blond cendrés, l’allure sportive, qui a pris possession de l’autre canapé. Elle porte une robe bustier sans manches, très décolletée, qui laisse ses épaules découvertes et dégage sa poitrine qui en déborde presque, soulignée par un collier de perles à deux rangs. Ses longues jambes sont gainées par des bas noirs qui en font ressortir le galbe parfait. Elle a de magnifiques yeux bleus que mettent en valeur son teint halé, et son visage est mangé par des lèvres délicieusement pulpeuses qui la font ressembler à Scarlett Johansson, l’actrice qui me fais le plus bander. C’est Susan, la femme d’un armateur très occupé, soucieuse de ne pas dépérir d’ennui en son absence. Elle me déshabille du regard en tripotant son bracelet de perles et lance: «Tes amis m’ont mise dans tous mes états en me décrivant votre nuit. Je suis impatiente de tester ton matériel». Je n’ai pas de peine à lui assurer qu’elle peut compter sur moi, que j’attend beaucoup d’une femme dont le prénom est Suce-Anne, et que j’ai assez envie d’être son jouet. Elle prend la bouteille de Champagne qui dormait dans un seau à glace sur la table basse, et me sert une flûte pour que je trinque avec eux trois. Il règne une chaleur moite dans la pièce. La soirée s’annonce prometteuse, et je suis en forme.

Miguel a tombé la veste, et rejoint torse nu Jennifer restée sur le sofa et qui s’affaire déjà à le dépouiller de son futal. Il ne porte maintenant plus qu’un string en lycra blanc qui peine à contenir sa déjà monstrueuse érection, ses belles fesses basanées à l’air, juste séparées par le trait blanc du string dans la raie du cul. Il fait glisser des épaules de Jenny les fines bretelles de sa robe qui tombe et fais apparaître ses fermes seins plantureux couleur de miel qu’il saisit à pleines mains et dont il masse délicatement les bouts. De son coté, elle lui sort ses attributs du slip, passant sous ses grosses couilles l’élastique qui les fait encore plus gonfler et les souligne d’un autre trait blanc. S’emparant de sa bite qui se dresse jusqu’au nombril, elle se met à le branler en experte, le pouce massant le champignon de son gland protubérant. Bande Dur insinue une main fébrile entre les cuisses de J Lo et les lui écarte pour frayer un chemin à ses doigts jusqu’à la chatte boursouflée, l’index lui agaçant le clitoris qui pointe à l’orée de la touffe de poils noirs. Jenny est visiblement folle de désir, les yeux fixes et exorbités, et ses seins ont l’air durs comme du bronze. Elle se retourne sur le ventre et offre sa croupe levée, ses mains écartant ses fesses et les lèvres de sa moule en invitation à se faire pénétrer. Miguel ne se fait pas prier. Il enfonce son madrier jusqu’à la garde dans cette grotte accueillante. Le ventre plaqué à ses fesses, les mains enrobant les seins qui pendent sous elle, il halète et bave dans son cou, la bourrant à grands coups de sa massue forcenée. Je m’approche des canapés pour mieux mater les deux lubriques qui ne tardent pas à jouir en soubresauts violents dans un concert de râles gutturaux.

Sans perdre une miette de la scène, notre hôtesse se lève, pose son verre et m’attire vers elle contre le canapé. Elle glisse ses mains sous le t-shirt qui dessine mes abdos et les caresse en remontant jusqu’aux seins qui réagissent aussitôt et tendent le tissu. Je me laisse faire, les bras posés sur ses épaules de velours tout en continuant de siroter mon champagne. Elle remonte mon maillot jusqu’aux aisselles, dont elle fouraille les poils de ses doigts baladeurs, qu’elle glisse ensuite dans les manches du t-shirt pour explorer mes biceps et les en extraire en le faisant passer par dessus mes coudes et ma tête. Elle effleure mon nombril de sa bouche humide, et la laisse vagabonder dans le sillon de ma poitrine dénudée jusqu’au téton auquel elle se ventouse. A tâtons, sa main défait ma ceinture, trouve ma braguette qu’elle déboutonne impatiemment, et pèle mon jean qu’elle fait glisser sur mes chevilles et que j’envoie valser du pied. Elle me repousse un petit peu pour mieux jouir du tableau que je lui offre, bien campé jambes écartées devant elle, mon service trois pièces moulé dans la soie brillante du boxer noir. Elle ne résiste pas à le saisir à travers le tissu comme pour en vérifier la rigidité, tandis qu’elle glisse son autre main sous l’élastique pour tâter mes fesses fermes. Sans doute convaincue des promesses de son jouet, elle baisse prestement mon caleçon, faisant jaillir ma verge turgescente comme un diable de sa boite. Elle pousse un petit cri admiratif, se laisse tomber à genoux entre mes cuisses, empoigne mon engin à deux mains et se le frotte avidement contre le visage. D’une main preste, elle se dépouille de son bracelet de perles, le tord pour former un anneau étroit à deux rangs qu’elle passe autour de ma queue et entortille à la base de mes couilles qu’il enserre et décore d’un double rang de perlouzes.

Toujours debout le verre à la main, je caresse ses cheveux soyeux que je dégage de sa nuque pour faire de la place à mes lèvres au creux de son oreille et de son cou ou elles musardent. Je repère dans son dos la glissière de sa robe que je défais. Son bustier s’ouvre comme une corolle et laisse échapper ses seins blancs aux bouts fièrement relevés qui viennent s’appuyer contre mes cuisses.

Elle attrape le seau à champagne sur la table basse, en sort la bouteille dont elle prend une gorgée à même le goulot, et la renvoie à son seau au pied du canapé. Elle me saisit par les couilles emperlées et empale sa bouche pleine de champagne sur ma trique qu’elle noie dans le liquide mousseux qui explose ses petites bulles autour de mon gland émoustillé. Elle entreprend de me pomper le nœud en aspirant et refoulant le liquide pétillant dont le trop-plein s’échappe de sa bouche, arrose les poils de mon sac, les perles, et me coule le long des cuisses. Je verse sur ma queue pour l’irriguer encore plus les quelques gouttes qui restent au fonds de mon verre que je dépose sur le dos du sofa. Mon excitation est à son comble et je sens que je vais perdre tout contrôle.

Je passe mes avants-bras sous les aisselles de Suce-Anne et la relève lentement. Sa bouche laisse échapper sa proie comme à regrets avec un bruit de succion et remonte de mon pubis à ma poitrine en léchant mes poils blonds, puis s’attarde pour sucer mon téton dardé. Je sens contre mes jambes sa robe glisser à terre. Mes coudes pressent ses seins l’un contre l’autre à hauteur de ma queue entre lesquels elle est comprimée. En vue plongeante, je vois leurs aréoles rose foncé et les tétons plus clairs dressés en érection vers mon gland qui joue avec eux. Un filet de liquide séminal suinte de mon urètre ouvert qui cherche maintenant le contact du téton comme s’il voulait le téter et auquel il est relié par un filet de cette bave visqueuse. D’une main elle se caresse les seins avec mes couilles poilues pendant que l’autre me palpe les fesses.

Je l’asseye sur le canapé et me laisse glisser à mon tour à quatre pattes, la tête au niveau de son ventre plat et lisse, suivant de mes mains le contour de ses hanches galbées et soyeuses. Mes yeux descendent à la hauteur de son sexe en un travelling qui s’arrête sur un string en soie rouge grenat bordé de dentelles très classe, surmonté d’un porte-jarretelles de même ton rattachés aux bas noirs qui font ressortir la blancheur de ses cuisses. Mon approche lui fait écarter les cuisses au maximum, les genoux repliés et ses hauts talons en chevreau noirs plantés dans le bord du siège. D’un doigt, j’écarte la dentelle de soie sur le côté et découvre la peau blanche de son pubis aux poils blond rasé en ticket de métro, et sa vulve écarlate et béante devant mes yeux comme une figue trop mûre éclatée. Mon doigt s’infiltre dans la fente ouverte et humide qu’il parcourt jusqu’à trouver son clitoris déjà raidi auquel il reste vissé. Je fourre mon nez dans son con à l’odeur puissamment enivrante qui me monte au cerveau et m’affole les sens. Ma langue est juste bien placée pour lécher l’espace entre son anus et l’amorce de sa vulve, la lisière de dentelle du slip en soie me frottant la joue. Les mains de Susan me fourragent les cheveux et me triturent le lobe de l’oreille. Ma langue remonte ensuite entre les lèvres de son vagin et trouve sans peine le clito qu’elle enveloppe de salive et lèche doucement.

D’une main, je tâtonne vers la table basse et trouve la bouteille de champagne que j’empoigne par le goulot. Je verse un peu du nectar pétillant dans son nombril bien dessiné, orné lui aussi d’une perle, et le lampe a grands coups de langue bruyants comme une huitre perlière, rattrapant ensuite le liquide qui s’est échappé en direction de son sexe et mouille le porte-jarretelles au passage. Passés sous mon menton, les doigts de ma main libre écartent la soie du slip puis les lèvres du vagin qui mouille déjà. J’y introduis en douceur le goulot de la bouteille renversée, et laisse le reste de son contenu le remplir avec un glouglou peu discret. Le contact du verre glacé et du liquide froid lui arrache de petits cris et la fait se trémousser du bassin. J’enfonce la bouteille un peu plus profond en un mouvement vissé avant de la retirer et de la remplacer par ma langue et ma bouche qui aspire goulument le champagne mêlé aux sécrétions de sa figue noyée. Susan me tire à elle par les cheveux, tendant sa bouche vers la mienne pour capter un peu de liquide qui mousse encore sous ma langue. Je n’en peux plus de désir, il faut que je calme un peu mon phallus qui sinon va exploser. Toujours à quatre pattes, j’attire à moi le seau à glace que je tire entre mes cuisses, prends en main mon sexe collant de champe et le plonge dans l’eau glacée jusqu’aux couilles, mon gland écartant les glaçons cylindriques en se frottant à la paroi glacée du récipient. Le froid me crispe la biroute et me rétrécit les testicules qui laissent échapper le bracelet qui coule au fond du seau. J’ai l’impression que ma queue est prise dans une banquise. En relevant le bassin, je la laisse ressortir en la faisant glisser le long de la paroi d’où elle jaillit dégoulinante, les poils gorgés d’eau, et reprend sa position agressive, fièrement dressée.

Susan qui a suivi mon manège avec impatience, s’empare de mon braquemart, le guide à sa chatte, lui fait écarter la dentelle du slip qu’il trempe au passage et se l’enfile en poussant les hanches en avant. J’agrippe ses fesses à pleines mains comme des poignées et commence à la tringler en longues poussées de mon piston hypertrophié qui distend les parois de son con resserré et bute contre le fonds à chaque coup de boutoir. Je sens mon sac de couilles battre contre la fleur de son anus. Arcboutée sur ses talons aiguilles, elle amplifie mes mouvements à grand coups de bassin. Les perles de son collier roulent sous ma langue. Ses mains sont agrippées aux poils de ma poitrine, les ongles plantés dans la chair de mes seins. Ses jarretelles impriment leur empreinte dans la peau de mes cuisses contre lesquelles crissent ses bas à chaque frottement. La soie du string écarté par ma queue la frotte à chaque passage, me portant au comble de l’excitation. C’est Susan qui atteint l’orgasme la première en larguant son jus en une inondation qui baigne nos poils mêlés en un chapelet de spasmes désordonnés. Je n’en peux plus de bander si grave et ne suis plus maître de mes moyens. Je sens le foutre affluer de mes boules en inox, monter dans ma bite en caoutchouc vulcanisé vers mon gland en céramique qui le crache comme un volcan sa lave brûlante en jets convulsifs. Je m’écroule sur Suce-Anne comme un pantin, et laisse mon pénis dégorger lentement en elle pendant qu’elle reprend peu à peu son souffle.

Rastas

On frappe à la porte de la suite. Miguel rengaine partiellement son encombrant engin dans son string et se dirige vers la porte avec un sourire entendu: «je vous ai concocté une petite surprise». Il fait entrer un jeune black juste pubère en livrée de chasseur de l’hôtel, l’air bien à l’aise dans son corps, une belle gueule un peu veule avec un regard insolent, la tignasse en rastas. «Je vous présente Thebo le bien nommé. Il a débarqué il y a un mois à peine à l’hôtel, vient de fêter sa majorité sexuelle avec un test sida négatif, et comprends tout juste assez notre langue pour piger ce qu’il faut qu’il fasse ce soir pour mériter le double salaire que je lui ai promis». Il pousse gentiment le presque encore adolescent vers le centre de la pièce tout en déboutonnant les brandebourgs de sa vareuse qu’il laisse choir en chemin. Le jeune rasta porte dessous un débardeur de basketteur XXL en nylon trop grand pour lui qu’il lui enlève aussi, dévoilant un torse baraqué et des abdominaux musculeux en carrés couleur chocolat. Son bras droit est tatoué d’un barbelé qui entoure le biceps, et un anneau doré pend en piercing d’un de ses tétons. La légèreté du duvet noir qui mousse sur sa poitrine et couvre son nombril trahit sa jeunesse. Miguel l’arrête pour le détrousser de son froc de larbin, et le laisse debout devant nous, les poils pubiens dépassant de son short de rappeur retenu plus par ses fesses charnues et la base de sa queue que par ses hanches étroites. Ses cuisses sont très musclées, sa peau très foncée est luisante de sueur. C’est un beau mâle un peu sauvage qui nous contemple avec un air de défi amusé.

Je l’attire contre moi vers le canapé, tâte les muscles de ses épaules et de son poitrail que je parcours en descendant vers les hanches et je lui baisse le short sur les chevilles, découvrant son long pénis d’ébène au diamètre impressionnant qui lui descend plus bas que mi-cuisses. Ses roustes copieuses disparaissent dans la toison crépue de son entre-jambes musclé. Je palpe cette trompe couillue et la retrousse pour en dégager le gros gland brun foncé un peu collant. Elle s’anime dans ma main et commence à se développer en durcissant sous mes doigts, se dressant en une prodigieuse érection que je contemple en salivant.

Miguel a ressorti son matériel de son string, l’élastique passé sous les burnes, et approche son grand corps basané et glabre de nous, la bite dressée en étendard complètement obscène. Je la capture de mon autre main et en fais coulisser la peau d’un mouvement lent du poignet. Les deux mecs se caressent mutuellement les fesses et le torse. Je lâche leurs deux poteaux dressés contre moi, plaque chacune de mes mains sur une de leurs fesses, me laisse tomber assis sur le divan et attire les deux mecs de part et d’autre de mon buste. Leurs pièces d’artillerie sont maintenant tout près de mon visage, si bien que j’ai en gros plan les deux engins érigés insolemment sous mon nez. Celui du jeune black dégage une forte odeur de fauve qui a macéré tout le jour dans son slip, mêlée au fumet douceâtre de la queue de Bande Dur pas encore sèche de sa partie de baise. Ce mélange sauvage à la fois m’écœure et me fait remonter un frisson d’excitation le long de l’échine.

Je m’empare des deux bites visqueuses et les enfourne ensemble dans ma bouche, les lèvres distendues par leur volume, le nez enfoui dans les poils du rasta puant la sueur acide. Le goût amer et acre de leurs bites malpropres qui m’envahit la gorge me fait grimacer de dégoût, mais m’envoie en même temps une formidable bouffée d’excitation jusque dans les couilles. C’est délicieusement répugnant et je bande comme un bouc. Je salive abondamment et lave avec ma langue les deux monstres accolés qui m’emplisse la bouche. J’empoigne fermement leurs sacs de couilles moites et les malaxe en les tirants vers le bas à les arracher. Je sens sur ma langue la tension transmise à leurs verges dilatées à péter, et leurs glands enfler encore plus au fonds de ma gorge qu’ils obstruent. Je ressens un besoin irrésistible de sucer, et ma bouche écartelée amorce un va et vient frénétique de succion pulsée, mes mains crochues toujours arrimées à leurs roustons qui doivent être en feu. Les deux mâles en rut lâchent des petits gémissements de plaisir douloureux et se trémoussent l’un contre l’autre en roulant les hanches, leurs mains parcourant avec frénésie leurs bustes et leurs fesses en tous sens.

Suce-Anne nous a rejoint à quatre pattes sur la moquette et s’est approprié mon gros bâton de berger qu’elle peine à enfourner entièrement dans sa bouche pulpeuse. Je gémis aussi sous les allées-venues de ses lèvres ventousée à mon braquemart prêt à éclater, mon excitation encore renforcée par le massage vigoureux qu’elle prodigue à mes burnes enflammées. Jenny s’est couchée sur le dos à même la moquette, dans le prolongement de Susan, la tête sous son bassin pour lui bouffer la chatte. En mal de bite, elle s’est fourré dans le vagin le goulot de la bouteille de Veuve Clicquot qu’elle manipule comme un godemiché géant.

C’est le métisse qui découille le premier, me lâchant sa purée tiède en longs jets abondants qui tapissent mon palais et m’étouffe à moitié. Les deux bites s’échappent de ma bouche qui refoule la vague de foutre sur mon menton et qui coule le long de mon cou. Le jeune branleur noir prend précipitamment son tuyau d’arrosage en main et m’envoie sa sauce en pleine gueule, en une série de salves saccadées accompagnées d’un rugissement bestial. Le visage dégoulinant de foutre qui remplit mes narines et la bouche engluée, j’ai du mal à respirer. C’est superbement dégeulasse. Mes sens sont complètement affolés et à mon tour je décharge en puissantes giclées dans la bouche de Suce-Anne qui manque s’étrangler en avalant une rasade de mon sperme épais et en recrache le trop-plein visqueux. J’entends le bruit mouillé du flot de jus qui jaillit de son vagin lorsqu’elle vient elle aussi, stimulée par les coups de langue de Jenny et dont elle asperge le visage, la faisant jouir à son tour sur la bouteille de champe qu’elle manipule frénétiquement. Nous sommes tous les cinq haletants, trempés de sueur, de sperme et de jus, effondrés sur les canapés ou gisants sur la moquette.

Magnums

Lorsque nous avons un peu repris nos esprits, notre hôtesse sort sur la terrasse et enclenche le jacuzzi. Elle envoie promener ses escarpins, ses bas et son string, ne gardant que son collier, et je vois ses belles fesses charnues et luisantes disparaître dans le bain ou elle se laisse couler jusqu’au cou. Miguel et Jennifer la rejoignent et plongent avec entrain dans les bulles. Thebo semble hésiter, même si à vue de nez, c’est lui qui a le plus besoin d’un bain. D’une main ferme, je le pousse au cul en direction de la terrasse et il saute rejoindre les autres dans l’eau chaude. Je me glisse à sa suite et me cale entre Miguel et lui. A cinq, nous remplissons tout l’espace circulaire au coude à coude. Je plonge la tête sous l’eau et me lave avec les mains, puis me laisse relaxer, les mains sous la nuque appuyée au bord du jacuzzi. Le flot de bulles qui roulent sous mon corps et remonte entre mes cuisses me remue agréablement les bourses et me masse gentiment les fesses. Nous nous prélassons depuis un long moment sous les jets quand J Lo laisse sa main tâtonner en direction de l’entrejambes de Miguel, à la recherche d’une pièce de viande à se mettre sous la main dans cette soupe bouillonnante. Susan ne tarde pas à l’imiter, et pêche ma queue et celle de Thebo qu’elle prend sérieusement en mains. Nous sommes les trois mâles cuisse à cuisse, les deux femelles nous faisant face à nous astiquer le manche sous l’eau. Leur entreprise ne reste pas longtemps sans effet. Bientôt je sens mon morceau se raidir et je vois nos trois glands émerger des tourbillons de bulles. Sans nous concerter, nous nous levons les trois au centre du jacuzzi, laissant plus d’espace aux femmes dans le bassin. Susan me paraît fortement troublée par la vue des trois énormes phallus exhibés côte à côte sous son nez. C’est le jeune taurillon noir qui est le mieux monté, le gland de son impressionnant gourdin noir au duvet crépu lui couvrant le nombril. Mais Bande Dure et moi pouvons presque rivaliser avec lui quand au volume de nos attributs respectifs, les couilles marron du métisse plus grosses et pendues que les miennes, mon poteau aux poils blonds plus massif que le sien.

A genoux dans les remous, Suce-Anne rapproche nos trois bites de ses lèvres, et lèche tour à tour à grand coups de langue gourmands les trois magnums café, vanille et chocolat, qui loin de fondre, en durcissent encore plus. Boulimique, elle les prend chacun en bouche en alternance pour les déguster. Du plat de ses mains actives, elle fouille nos poils pubiens et caresse nos trois bas-ventres. Jennifer s’est faufilée entre Susan et nous, et la tête renversée en arrière émergeant à peine de l’eau, elle nous suce les couilles à grand bruit, avec une préférence marquée pour celle de Miguel sans doute parce qu’elles sont les plus volumineuses et qu’elles sont épilées. Debout en demi-cercle dans le bouillonnement qui nous gicle les couilles, nos monolithes géants érigés comme des statues de marbre, nous laissons les deux prêtresses officier religieusement, l’une des vestales nous pompant la bite à tour de rôle en les faisant s’entrechoquer, l’autre faisant de même avec nos burnes. Pendant que les deux officiantes célèbrent leur culte, mes mains explorent les fesses des  deux éphèbes au raz de l’eau, entre lesquelles mes deux index s’infiltrent et trouvent leur trou de balle où je les enfonce. De leur côté, Thebo et Miguel me travaillent chacun une fesse et un téton. En plus des sensations intenses que j’éprouve, le spectacle que nous offrons me met en transes.

Miguel se dégage et, prenant appuis sur ses mains, se hisse pour s’asseoir sur le bord du Jacuzzi, son priape effrontément dardé en l’air. Il prend Thebo par ses rastas, attire sa tête au niveau de son membre dressé, et l’introduit entre les lèvres du jeune larbin qu’il force à le branler avec sa bouche en le tenant par les joues. J’ai maintenant les reins cambrés du jeune black aux belles fesses tentantes tendues vers moi à hauteur de ma biroute alléchée. Je lui écarte les fesses et mouille son trou de balle pour mieux forcer son cul d’ébène que je lui défonce à grand coups furieux, tout en lui claquant méchamment le fessier. Jenny est restée sous ma queue et s’occupe de mes roustes, pendant que Susan me lèche l’anus en spirales. Quand je me lâche et remplis le cul de l’étalon noir de mon foutre laiteux en convulsions saccadées, Bande Dur lui a déjà craché sa purée en pleine gueule, lui composant un masque tribal en noir et blanc complété par les peintures de guerre de mon sperme blanchâtre qui lui coule le long des cuisses.

Plénitude

Notre hôtesse se relève, manifestement frustrée de n’avoir pas pu participer plus activement à nos ébats. Elle sort du jacuzzi, plonge la tête de Thebo sous l’eau pour le rincer, et l’index passé dans la boucle du piercing de son téton, le conduit ruisselant d’eau et bandant comme un taureau jusqu’à la table basse en verre du salon, sur laquelle elle le fait s’allonger sur le dos. Elle revient sur la terrasse, nous prend, Miguel et moi par la main, et nous ramène à l’intérieur de la pièce, dégoulinants toute notre eau qui coule le long de nos sexes ramollis comme si nous pissions sur la moquette, y laissant un sillage sur notre passage. Susan nous fais nous agenouiller face à face de part et d’autre de la table détrempée et sans un mot nous montre comment nous agripper mutuellement les avant-bras avec nos poignets au dessus de Thebo, toujours étendu comme sur un autel.

Je comprends où elle veut en venir lorsque, s’appuyant des mains sur nos épaules, elle se hisse en arrière, et vient s’asseoir sur nos bras, le creux des genoux et le dos retenus par nos avant-bras noués, l’arrière train passé dans le trou carré formé par nos bras et nos poitrines. Son cul pend juste au dessus du gland démesuré du rasta qui dirige à deux mains son mandrin vers la cible mouvante que constitue la vulve écarlate suspendue en l’air au dessus de lui. Nous baissons un peu la chaise percée que nos bras forment pour que son vagin béant puisse s’emmancher sur cette bite d’amarrage. Confiante dans notre force à la soutenir, elle lâche nos épaules, s’empare de nos queues maintenant à nouveau bien raides et se met à les manœuvrer comme des manches à balais, de droite et de gauche, nous indiquant du coup dans quel sens faire tourner son corps avec la moule convulsée empalée sur la poutre de chair noire. Pilotés par les mouvements alternés imprimés à nos bites, nous faisons pivoter ce bilboquet en augmentant l’amplitude à chaque changement de direction jusqu’au demi-tour dans chaque sens, pendant que Thebo le met en vrille, faisant coulisser verticalement son manche de pioche en levant son bassin en rythme avec nos torsions. Il soutient les fesses de Susan qui pousse des cris de plaisir comme une petite fille sur un manège de voltigeurs, à la différence qu’elle est à poil, embrochée comme une volaille et qu’elle mouille abondamment.

Commençant à fatiguer, nous baissons la garde de nos bras et laissons la jouisseuse redescendre se planter jusqu’à la garde sur l’énorme madrier du black, plaquer son ventre blanc contre le sien, les seins roses et gonflés appuyés contre les plaques de chocolat de son torse, la bouche cherchant ses tétons presque noirs et trouvant l’anneau piercé qu’elle arrache presque avec les dents. Miguel contourne la table, et vient s’assoir sur les cuisses de Thebo, derrière Susan. Il crache abondamment dans ses doigts pour lubrifier de sa salive sa bite congestionnée et le trou du cul de la blonde. Profitant des ahanements du jeune rasta en plein travail sur le con, en s’aidant des mains qui écartent les fesses à les déchirer presque, il enfile par à-coups sa grosse pièce durcie dans l’anus de la chienne, qu’il distend à l’extrême.

Jennifer ne perd rien de la scène, mais ne veut pas être en reste. Elle s’accroupi derrière le métisse, darde sa langue dans son cul, et évalue d’une main enveloppante la taille des couilles des deux mecs en rut, pendant que de l’autre elle se branle la moule et le clitoris déjà bien stimulé.

Ce spectacle décuple mon érection et je ne veux pas rester non plus sur la touche, si bien que je me déplace à l’autre extrémité de la table, sur laquelle je monte à califourchon au dessus du visage de Thebo qui prend mes couilles entre ses dents et me les mange en les suçant. Je présente ma verge en chaleur aux lèvres pulpeuse de Suce-Anne qui la happe avec une fébrilité avide et lui transmet le va et vient des deux mandrins qui la pistonne depuis l’autre bout de la table. Chacun de ses trous est maintenant obturé et ramoné par un énorme phallus en mouvement. En prime, je lui triture le bout durci de ses seins moites. Elle doit ressentir cette plénitude de tous ses orifices si intensément qu’elle lâche bientôt un raz de marée de jus mousseux qui inonde les parties des deux fouteurs transpirants. A la succion accélérée que Thebo prodigue à mes testicules enflammés et la crispation de sa mâchoire, je pressens qu’il est en train de décharger grave, tout comme le râle guttural de Miguel ne laisse pas douter de l’intensité de son éjaculation féroce. A mon tour, je sens que j’atteins le paroxysme de l’excitation et j’ai l’impression qu’un bon décilitre de mon sperme brûlant monte en bouillonnant dans ma bite pour gicler en saccades au fonds de la gorge de Suce-Anne, qui doit se sentir comme une grosse outre remplie de foutre qui déborde par tous ses trous. Je retire lentement ma queue fatiguée de sa bouche et elle régurgite ma semence sur le poitrail de Thebo, qui en capte avec la langue quelques gouttes sur mon gland débandant lorsqu’il glisse au passage sur sa bouche et son visage.

Rassasiée, Susan se dégage des deux queues qui la fourraient et se laisse rouler sur un des canapés dont elle macule le cuir en s’y essuyant. Miguel s’écroule en nage sur l’autre canapé, la bite déjà en berne d’avoir trop baisé, abandonnant J Lo qui se retrouve face à l’érection par contre encore tout à fait utilisable de Thebo. Elle l’enfourche et vient se finir frénétiquement sur la poutre d’ébène, les seins nageant dans la sueur mêlée de foutre qui baigne le poitrail du jeune noir, puis s’affale de tous son poids sur lui, la tête dans le creux de son épaule.

Je me traine jusqu’à mon froc qui gît en torchon sur le tapis, l’enfile à même le sol et y remballe mon matériel visqueux. J’avise le seau à glace à portée de ma main et y puise une poignée de glaçons fondants. Je me relève, m’approche à nouveau du groupe avachi de torpeur, écarte les fesses relâchées de Jenny couchée sur le black, et propulse un cylindre glacé dans son anus, lui arrachant un cri d’agréable surprise. Je trouve la bouche de Miguel et lui force un glaçon entre les dents comme une ostie, puis j’écarte les cuisses mollement abandonnées de Susan et lui en fourre un dans le vagin, lui rafraîchissant aussi la touffe avec l’eau qui en coule. Puis je déverse ceux qui me restent au creux de la poitrine de Thebo où ils se mêlent à sa sueur et coagulent mon sperme dont il est trempé. Je murmure:« Merci pour cette putain de bonne bourre, les potes. Vous avez tous été foutrement bons et moi aussi j’espère. Sûr que je vais en garder un souvenir nostalgique. Bye-bye». Je ne récolte qu’une série de grognements de contentement et d’approbation, sauf de Miguel qui me fais: «Prends bien soin de tes fesses mon salaud, et ne laisse pas traîner ta bite n’importe où, tu sais pas sur qui tu peux tomber, hin-hin!». Je ramasse mon slip et mon t-shirt avec lequel je m’éponge la queue et traîne les pieds jusqu’à la porte. Je jette un dernier coup d’œil aux quatre corps lascivement abandonnés avant de quitter la pièce et de descendre jusqu’à ma chambre en me repassant le film de la soirée. Je me dis qu’il faudra que je me trouve un nouveau fantasme. Le jour pointe déjà. Je me débarrasse de mon jean, me jette sur le lit et m’endors comme une masse pour une nuit sans rêve.

Epilogue

C’est là que mon récit s’achève. Ni Miguel ni Jennifer ne se sont montrés le lendemain matin lorsque j’ai quitté l’hôtel, et mon voyage de retour ne présente pas d’intérêt. Même si j’étais seul dans le compartiment première classe de l’avion, dorloté par une jeune hôtesse eurasienne hyper-bandante et un petit steward au cul de toréador qui tous deux me faisaient clairement comprendre qu’ils étaient à mon service, je n’en ai pas profité, préférant rester fidèle à ma femme, …et la queue encore trop endolorie du festin des deux nuits précédentes.

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Par Tonio Bi - Publié dans : Récit Porno Bisexuel
Jeudi 26 juin 4 26 /06 /Juin 15:53

Prologue

J’espère que tu prendras autant ton pied à lire ce récit que j’en ai eu à l’écrire en me remémorant ces chaudes nuits. Je ne l’ai pas montré à me femme, mais elle en a indirectement profité, parce que je n’ai pas débandé pendant toute la période ou je l’ai écrit et la fréquence et l’intensité de nos parties de baise en ont été démultipliées en conséquence.

 

Première Partie: Variations au clair de lune pour deux bites, trois culs et un vagin

 

Fantasme

La journée a été longue, comme souvent dans mes voyages d’affaires, mais je n’ai pas sommeil. Je suis étendu à poil sur le lit king-size de ma chambre d’hôtel 5 étoiles, avec la pleine lune comme seul éclairage de la chambre par la fenêtre ouverte sur la mer.

Je suis un mec bien sous tous rapports, un mètre quatre-vingt cinq, blond, les yeux bleus, pas Brad Pitt, mais avec une petite ressemblance tout de même. Je m’occupe bien de mon corps, je suis bien dans ma peau et dans mes couilles. Je m’entends super bien avec ma femme sur tous les plans, les idées, les goûts, le mode de vie, les amis, la baise. C’est une femme vraiment belle, avec ce qu’il y a de mieux là ou il faut. En plus, elle a de l’humour et elle est complètement décomplexée. J’aime ça. Nos parties de baise en sont le reflet. La nature m’a pourvu d’une longue bite de gros calibre et d’une bonne grosse paire de couilles très pendantes, qu’elle aime prendre bien à fond dans sa bouche presque à les avaler. Me faire sucer les couilles et la trique est un de mes plaisirs favoris, et elle y met une ardeur qui me comble. De son coté, elle est très vite excitable. Son clito est extrêmement érectile et sa vulve mouille dès que mes doigts et ma langue la travaille un peu. C’est donc dans les meilleures conditions que je peux ensuite l’enfiler. Mais elle sait aussi m’offrir son cul quand j’ai envie de l’enculer, ce qui me prends de temps en temps pour varier les plaisirs. Je suis donc un mec comblé, et je n’ai pas de mérite à être fidèle à ma femme.

Mais comme tout le monde, j’ai aussi mes fantasmes. Celui qui me fait bander le plus intensément est de sucer la bite d’un mec pendant que je me fais sucer la mienne. Se serait le pied géant de savoir quelle sensation et quel goût procurent les deux actions conjuguées. Mais ça ne me gène pas que ce fantasme ne reste qu’un fantasme. Je n’aurais pas envie de me faire un mec pour l’assouvir, et surtout, je ne voudrais pas que mon petit cul étroit se fasse bourrer par une bite étrangère. Ca, ce n’est pas du tout mon fantasme!

Ainsi allongé mollement sur ce lit, je me branle doucement pour me détendre, sans penser à rien. Je ne suis pas circoncis. En faisant coulisser la peau de mon membre, le va et vient de mon poignet fait apparaître et disparaître mon gland, ce qui me procure une sensation de bien-être jouissif. Mais il fait assez chaud et humide, je suis moite et il me vient une envie de boire quelque chose de frais. Je me glisse en bas du lit, enfile le peignoir de bain suspendu dans le dressing, et sors de ma chambre pour atteindre l’automate à boissons au bout du couloir.

La sensation de moelleux du tissus éponge qui frotte agréablement mon sexe et de mes burnes qui glissent doucement sur mes cuisses quand je marche contribuent à entretenir mon érection qui pointe effrontément sous le peignoir. Juste avant que je passe devant la troisième porte après celle de ma chambre, elle s’ouvre et une femme se glisse dans le couloir dans la même direction que moi sans se retourner. Sa silhouette se détache dans la lumière crue du corridor au tapis épais, et me coupe le souffle. Elle ne porte qu’un léger déshabillé semi-transparent ultra court, qui laisse plus apparaître qu’il ne cache. Elle pensait probablement elle aussi atteindre l’automate à boissons sans rencontrer personne à cette heure de la nuit. De dos, elle n’a rien à envier à un mannequin. De longs cheveux noirs, des longues jambes au galbe parfait, et un cul de reine aux fesses musclées. Entendant mon pas dans son sillage, juste avant d’atteindre le distributeur elle se retourne à moitié, légèrement surprise, et je peux vérifier que son déshabillé n’est fermé sur le devant que par un seul ruban lâche. Son regard scan ma personne de haut en bas et coule un regard plus insistant à la hauteur de mon sexe. Je me rends compte que mon érection est très visible sous le peignoir, renforcée par ce que je suis en train de mater: Le coté face de cette inconnue est encore plus bandant que le coté pile. Elle a un visage à damner un saint, quasiment sosie de Jennifer Lopez. Les tétons de ses seins de bronze aux larges aréoles sombres transpercent presque la fine toile transparente de son déshabillé qui couvre à peine la toison noire de sa chatte qu’elle essaye aussi discrètement que vainement de cacher entre ses longues cuisses cuivrées. Plus vite revenue de sa surprise que moi, elle me lance: «Toi aussi la moiteur de cette nuit t’as donné des envies, mon grand?». Comme je suis un mec cool et sans complexes, je réponds: «J’avais la gorge sèche, mais te mater me laisse langue pendante. Une bouteille d’eau ne va pas suffire à l’hydrater, pas plus que de la verser sur ma queue ne suffira à la calmer». Avec un petit sourire en coin, elle plaisante: «Moi qui croyait que tu cachais une bouteille de coca sous ton peignoir, je suis choquée». Nous tirons chacun une boisson, et je la laisse repartir en premier en direction de sa chambre, puis je m’engage après elle, frottant la bouteille glacée le long de ma bite pour la décongestionner. Je sens un peu de sueur perler au creux de mes reins dont une goutte s’échappe et roule entre mes fesses.

J’arrive à la hauteur de sa porte qu’elle n’a qu’à moitié franchie, quand elle se retourne et me fait: «Comme la pleine lune a l’air de te faire autant d’effet qu’à nous, viens te payer un peu de bon temps dans notre chambre, beau morceau», sur quoi elle tend sa main libre vers moi, agrippe ma queue et mes couilles sous le peignoir et me tire dans la pénombre de la chambre. Là, j’ai comme un doute: Nous? Notre chambre? Où est ce que je mets les pieds et la bite?

Elle lâche mes burnes en feu, fait tomber mon peignoir, détache le ruban qui retient son déshabillé et se glisse dans mon dos. Elle colle son ventre, ses seins et son vagin moites contre mon dos et me pousse gentiment vers le grand lit que je commence à distinguer à la lumière blafarde diffusée par la lune. Malgré la fenêtre ouverte, l’atmosphère est torride. Je sens les poils de son pubis qui me caressent les fesses et le bout de ses seins qui suintent contre mon dos. Elle passe un bras le long de la raie de mon cul, glisse sa main entre mes cuisses et saisit à nouveau à pleine main mon manche qu’elle tire vers l’arrière. Je suis totalement en rut. Je me laisse pousser à quatre pattes en travers du lit, la main de Jennifer Lo toujours solidement arrimée à mes testicules et à mon membre prêt à exploser, son autre main m’ébouriffant les cheveux depuis l’arrière, et sa bouche collée à mon cou, juste à la racine de mon oreille. Je suis si excité que j’ai du mal à penser. Je distingue tout de même de l’autre coté du lit une forme allongée sur le dos droit devant mon nez qui dit d’une voix ensommeillée: «tu as ramené quelque chose à se mettre sous la dent?» «j’ai mieux que ça» répond Jenny d’un ton rauque et elle allume une lampe de chevet. Le jeune éphèbe qui est vautré nu sur les oreillers les cuisses légèrement écartées ouvre un œil, et après avoir apprécié la scène, sourit d’un air assez lubrique. C’est un grand latino à la peau matte, musclé en carrés de chocolat avec des cuisses et des bras de sportif accompli, une gueule à la Antonio Banderas. Il est entièrement épilé, a l’exception de sa chevelure noire en désordre et d’une toison bien taillée qui boucle au dessus de la base de la longue et grosse bite couleur café qui repose sagement sur ses cuisses, entre lesquelles pendent de copieuses burnes un peu à l’étroit dans leur enveloppe de peau bistre. «Salut Brad Bite», il me fait, «On vient de finir de baiser, mais si t’es partant, on peut remettre ça à trois, tu m’as l’air d’avoir des ressources!». Là, je me dis: eh mon vieux c’est ton fantasme qui te tends les bras, et je fais: «Ca pourrait se faire, Antonio Bande Dur, tringler ta J Lo en suçant ta belle queue c’est mon fantasme, j’en salive déjà».

Je sens la chevelure soyeuse de Jennifer Lo glisser de mes épaules vers mon torse lorsqu’elle se décolle de mon dos, libère ma queue, et se glisse sur le lit à l’envers, sa tête renversée maintenant à hauteur de la mienne. Je me laisse aller sur le côté et soude un instant sa bouche inversée à la mienne, mais elle m’échappe et commence à me lécher le cou en descendant lentement le long de ma poitrine. Comme elle a les bras passés au dessus de la tête, ses mains ont pris de l’avance et caressent déjà fermement le contour des muscles de mes fesses. Ses seins gonflés aux aréoles dilatées me passent devant les yeux. Je les happe à pleine bouche et les suce goulument. Sa langue s’arrête aussi un peu pour mouiller et titiller mes tétons durcis, puis continue de descendre insidieusement le long de mon ventre aux muscles contracté. Sa langue fouille mon nombril et le rempli de salive pendant qu’elle m’arrache quelques poils avec les dents et que ses ongles m’enserrent déjà le gland et s’enfoncent dans la peau de mes couilles. Je suis au bord de la syncope. Mes mains moites sont arrivées au niveau de son fessier généreux, les doigts des deux mains réunis dans la raie de son cul tirant pour écarter ses fesses épanouies que mes paumes malaxent. Ma bouche est à hauteur de son con bouffi à l’odeur puissante de moule qui émerge des poils noirs de sa toison bouclée et dont les lèvres largement offertes se gonflent en rythme avec sa respiration haletante et suintent de façon tout à fait obscène. Enivré par les effluves de son vagin, j’y plonge le nez, la bouche, la langue, et m’y vautre sans retenue, suçant à pleine bouche et lapant le suc qui suinte de sa vulve et qui se mélange à ma salive. L’entendre gémir de plaisir me stimule encore plus, mais mon attention est détournée lorsque je sens pendant quelques secondes son haleine chaude sur ma bite avant qu’elle ne fasse doucement glisser mon gland entre ses lèvres entrouvertes, sans relâcher la prise de ses doigts autour de l’attache de mes couilles, fourrageant les poils humides de mon sac et de mon cul de son autre main. Puis elle commence à m’aspirer à l’intérieur de sa gorge avec un mouvement en spirale de sa langue qui manque me faire chavirer. Elle a plaqué une main sur mes fesses tendues et, aidée par le flot de sueur qui me mouille le dos et a coulé entre mes fesses, elle enfonce lentement son index dans le trou de mon cul qui du coup se relâche pour l’accueillir. De mon côté, j’empale ma bouche sur son clitoris qui me semble d’une taille démesurée et qui me fais soudain penser à mon fantasme. Je réalise alors que Tonio a roulé près de nous deux, sa tête presque contre la mienne, et qu’il me susurre à l’oreille: «eh, Brad Bite, laisse en pour moi, et occupe toi plutôt de mon gland orphelin». Il me prend par les épaules et me tire doucement en arrière, arrachant de la moule ouverte de J Lo ma bouche dégoulinante pour la présenter à sa verge qui a maintenant développé une érection spectaculaire. Sa queue légèrement cambrée a plus que doublé de volume et doit mesurer au moins18 centimètres de long. Le gland turgescent d’un brun plus foncé est énorme et luisant. Il en a déjà suinté un peu de liquide séminal qui forme une goutte transparente en son sommet. L’odeur épicée de son membre tendu me dilate les narines. Je saisis religieusement ce monolithe et l’approche de ma bouche haletante. Une grosse veine court sur toute sa longueur, et je la sens battre dans ma main. Je commence par promener délicatement ma langue autour de la base du gland qui réagit en gonflant encore un peu plus, puis je lèche la sécrétion au gout acidulé qui en perle. Je sens ses fesses musclées se contracter et son bassin se tendre vers moi.

Un frisson délicieux me contracte les couilles et court le long de ma bite. J’imagine la vision que doit procurer le triangle formé par nos trois corps, Tonio Bandeur en train de branler le clito de J Lo avec sa langue, pendant qu’elle ramone mon membre aux poils blonds avec assiduité et que je suce avec avidité le monstrueux gland du métisse.

Ma main trouve ses lourdes couilles imberbes et pleines que je soupèse avant de les attirer vers ma bouche et de les lécher copieusement. De mon autre main, je commence à caresser l’espace de peau qui les sépare du trou de son cul. il écarte les cuisses, lève un peu son bassin et ouvre ses fesses dont les muscles sont maintenant relâchés. Du coin de l’œil, je vois que ses mains à lui ne sont pas inactives non plus. Il travaille les tétons de Jenny, les pinçant délicatement entre ses doigts et les étirant en tous sens, pendant qu’il continue de fouiller sa chatte et de faire vibrer son clitoris avec la langue. De son coté, elle est en train de lécher ma biroute sur toute sa longueur, une main emprisonnant toujours mes boules prêtes à exploser, l’autre bien calée dans la raie de mon cul, avec l’index qui me branle énergiquement le trou de balle en cadence. A mon tour, je fais glisser mon index fébrile jusqu’à la fleur de l’anus mouillé de sueur du beau latino et le lui enfonce sans peine bien profond en un mouvement vissé. Nous sommes tous deux dans la même enviable situation. Je fais à Tonio tout ce que Jenny me prodigue et je peux vivre avec mes doigts, ma langue, et dans ma bouche, tout ce que ma bite congestionnée, mes testicules enflammés et mon cul dilaté ressentent sous ses caresses. Tous les trois nous laissons échapper des soupirs d’aise et d’excitation. La bouche pleine de mon engin gonflé à péter, Jennifer me pompe le gland tout en le massant de sa langue. J’ai appuyé mon cul sur sa main si bien que son index est enfoncé à fonds et m’excite la prostate. Tout mon corps est bandé comme un arc. J’ai l’impression de n’être qu’une immense bite tellement tendue qu’elle va éclater. Ma bouche peut à peine contenir la moitié de la queue de Bande Dur, et j’ai l’impression que son gland va m’étouffer tant il est enflé. Je le sens battre au rythme de mes succions et mes coups de langue semblent l’électriser comme le mien. Nom de Dieu, je sens que je ne vais pas pouvoir supporter cet état beaucoup plus longtemps, je suis sur le point de découiller.

Jennifer pousse un long gémissement, son clito et sa vulve doivent être au paroxysme de l’excitation. Une série de spasmes secouent son corps qui se cambre, et son vagin libère une vague généreuse qui inonde le visage de Tonio encore enfoui dans sa touffe. A son tour, il se raidit, je sens ses fesses se serrer autour de mon doigt et son membre se contracter entre mes lèvres. Puis son gland démesuré explose sa purée chaude dans ma bouche et me remplis la gorge. J’étouffe à moitié en avalant son sperme dont je découvre le goût salé et la consistance glaireuse. C’en est trop, je sens partir de mes couilles aussi dures que du bois un flot irrépressible qui monte dans ma queue hypertrophiée jusqu’au gland dilaté à l’extrême, et avec un rugissement rauque je lâche moi aussi une copieuse giclée de foutre dans le gosier de J Lo en un feu d’artifice qui lui coupe le souffle et la force à avaler en hoquetant.

Elle se laisse retomber pantelante et en sueur sur le lit, un filet de ma semence coulant de sa bouche jusqu’entre ses seins, éteint la petite lampe et ferme les yeux. Le visage et les cheveux encore mouillés du jus déchargé par Jennifer, Tonio est pourtant le seul à ne pas avoir la bouche dégoulinante de foutre. Il me saisi la queue à pleine main, l’enserre sans serrer trop et se la presse en douceur contre les lèvres pour récupérer quelques gouttes de découille sur sa langue. Ses cheveux m’humectent agréablement l’entre-jambes et quelques gouttes de sa transpiration me coulent le long des couilles. Dans la lumière blafarde de la lune, à mon tour je prends dans ma main sa queue déjà un peu moins dure d’ou suinte encore un peu de sperme épais et en caresse la peau soyeuse, puis je la remets délicatement dans ma bouche encore gluante de foutre et la suce doucement. Maintenant qu’elle est un peu calmée et a repris des proportions plus raisonnables, j’arrive juste à me l’enfourner en entier avec ses couilles, le nez pressé contre ses poils pubiens au parfum âcre. La tension retombe lentement. Lorsque nos bites sont calmées malgré nos caresses mutuelles, il regagne ses oreillers et s’y jette de tout son long sur le ventre, les fesses luisantes de sueur au clair de lune. Moi je ne bouge pas, je m’affale sur le dos au bord du lit, les jambes écartées, les pieds posés sur la moquette, les yeux clos. D’une main j’étale la sueur qui trempe mon ventre, ma poitrine et mes cuisses, et je m’en lave la queue collée de sperme figé. Malgré la fenêtre ouverte, une agréable odeur musquée de baise flotte dans la chambre retombée dans une moite pénombre.

Promiscuité

Jennifer reprends ses esprits plus vite que nous. Il est vrai qu’elle doit être un peu frustrée. Ni ma bonne grosse bite qu’elle à maté, palpé et sucé jusqu’au trognon, ni la trique géante de son branleur café au lait n’ont trouvé jusqu’ici le chemin de sa moule ou de son cul. Les yeux fermés, je la devine qui rampe jusqu’à moi. Elle glisse son ventre luisant sur le mien, ses seins en caressant le duvet, les mains plaquées sur mes épaules, et m’enfourche carrément. Sa croupe sur mon bassin, les jambes repliées de chaque côté des mes hanches, sa vulve béante enveloppe mon sexe innocent et l’englouti dans sa chaude moiteur. Sa bouche effleure le bord duveteux de mon oreille, ses dents en mordillent le lobe, puis elle me prend la tête entre ses mains, colle avidement ses lèvres pulpeuses aux miennes et nos langues prennent fougueusement possession l’une de l’autre en un long baiser appuyé. A tâtons, mes mains partent à l’assaut de ses seins lisses et fermes qu’elle à décollés de ma poitrine, et les pétris, tout en massant de mes pouces les bouts humides de ses tétons transpirants qui réagissent en durcissant.

Nos bouches se sont dessoudées, ses lèvres dérivent le long de mon torse, trouve mon sein et sa langue en agace le bout avant de s’attaquer à l’autre pour le réveiller lui aussi. Mes tétons humectés réagissent au quart de tour et me font presque mal tant ils se contractent. Jenny a glissé ses mains sous mes fesses et commence à remuer doucement son bassin en un lancinant mouvement circulaire. Elle commande aux muscles de son vagin une série de contractions lentes qui se transmettent en pressions rythmées à ma verge déjà moins paresseuse. Un fourmillement intense me parcourt les burnes et je sens ma queue se retrousser lentement, dégageant le gland déjà excité, et s’enfler en une monstrueuse érection qui remplis l’antre de J Lo jusqu’à en toucher le fonds, comme un sabre rentre à fonds dans son fourreau. A part mes mains travaillant toujours activement ses seins, je reste sans bouger, les yeux maintenant grands ouverts, tout entier abandonné aux sensations qui montent en moi.

Tonio sort lui aussi de sa léthargie et se glisse vers nous. Sans un mot, il s’empare d’une de mes mains et la conduit fermement à son entre-cuisses. Je referme les doigts sur son membre engourdi, jouant en passant à faire rouler ses grosses boules dans leur bourse et je commence à le manipuler, faisant coulisser doucement la peau autour du gland, mon pousse effleurant la grosse veine maintenant familière. Sous la pression de mes doigts, je sens sa belle bite basanée se raidir et se déployer rapidement dans ma main pour atteindre la taille monstrueuse que je lui connais. Je me mets à le branler plus fortement, mais il se dégage bientôt, roule en bas du lit et disparaît de ma vue. Très vite je sens sa tête se faufiler entre mes cuisses en les écartant. Je devine qu’il s’est agenouillé entre mes pieds toujours posés sur la moquette. Je sens ses cheveux me balayer les roustes et son souffle chatouiller les poils de mon cul avant qu’il ne se mette à lécher le pourtour de mon trou du cul qui se dilate d’aise sous les longs coups de sa langue râpeuse. Jennifer roule son bassin d’avant en arrière pour faire coulisser mon nœud dans son écrin en un va et vient qui me fait bander encore plus et commence à la faire copieusement mouiller.

Je suis pour continuer comme ça indéfiniment, mais Tonio se redresse, lâche un filet de salive qui me baigne la fleur du cul et de la main guide comme une tête chercheuse sa verge raidie vers mon trou de balle que son gland disproportionné essaye de forcer. «Oh, mon salaud» je gueule «tire ta queue de mon cul, c’est pas du tout mon fantasme!». Avec un grognement de dépit, il obtempère et rétorque: «Sorry mec, il est trop tentant, mais alors fais pas l’égoïste, laisse moi une place au chaud». Il se relève et du coup vient s’assoir à califourchon sur mes cuisses, derrière Jennifer, le ventre collé à ses fesses et le torse à son dos. Heureusement mes pieds sont solidement campés au sol et supportent son poids. Il pousse Jenny un peu en avant, faisant sortir presque en entier mon phallus boursouflé de sa vulve convulsée, et glisse sa grosse bite contre la mienne, avec ses couilles qui pendent par dessus les miennes jusqu’à mon trou du cul qu’elles frottent. Je comprends maintenant ou il veut en venir, et une bouffée d’excitation supplémentaire me monte au cerveau.

Je passe une main entre la fesse de Jenny et la cuisse de Tonio, saisi nos deux bites accolées que j’arrive à peine à contenir dans ma main et les enfourne avec peine dans la fente qui s’écartèle pour les laisser entrer les deux ensemble. Je garde le pouce et l’index en anneau autour de nos instruments pour les guider et mieux sentir leur promiscuité. Je sens le sang battre de concert dans nos gourdins en rut. De mon autre main, j’atteins vicieusement nos roustons durcis que je masse ensembles. Nous commençons à tringler la bonne J Lo qui gémit d’être si pleine de nos énormes bites et baigne nos couilles de son jus. Nos queues sont deux âmes sœurs et battent au même rythme. Nous n’avons pas besoin de limer de la sorte longtemps avant de sentir une lame de fonds nous inonder, tremper nos couilles et mes mains. Sans que nous nous soyons concertés, je sens que nous allons tous deux jouir aussi, et c’est dans une série de spasmes furieux qui secoue nos deux corps que nos engins crachent de furieuses giclées de sauce au fonds de la grotte détrempée de Jennifer qui s’écroule sur ma poitrine. Bande Dur se laisse aller sur elle et nous restons comme cela un bon moment, seule ma main encore active à triturer nos couilles vidées de leur suc, et Jenny encore parcourue de frissons répétés, les mains crispées sur mes fesses. Lorsque je sens que nous commençons à débander, je débarque mes deux fardeaux sur le lit d’une torsion des hanches, éjectant nos deux biroutes baveuses avec un bruit de succion, je me tourne sur le ventre en essuyant ma sueur et mon foutre au drap, et m’endors presque instantanément.

Baptême

Je ne sais pas si j’ai dormi longtemps, mais mon réveil est assez brusque et déplaisant: Je suis toujours couché sur le ventre, le visage enfoui dans les draps, mais je ne peux plus bouger. Mes jambes sont largement écartées de part et d’autre de l’angle du lit, les pieds probablement entravés par des draps entortillés autour des chevilles et attachés à deux pieds du lit. Malgré mes contorsions, ces liens empêchent tout mouvement de mes jambes écartelées. Mes bras et mes épaules étalés en croix sont immobilisés par les cuisses de cette salope de Jennifer agenouillée sur mes biceps, les fesses assises sur la base de mon crâne, pressant ma tête dans les draps. Je sens les lèvres ouvertes de sa vulve appuyer sur ma nuque et la tartiner de notre foutre qu’elle dégorge encore. Ses avant-bras sont appuyés sur mes reins et ses mains m’écartent les fesses sans ménagement. J’entends Tonio s’affairer au bas du lit et je réalise la situation foireuse dans laquelle je suis. Je me mets à gueuler, protestant que mon cul n’est pas pour lui, mais le son de ma voix sort étouffé et inarticulé des draps. Toutefois, il me répond calmement: «Pas de panique, Brad, je vais pas te détruire le cul, mais MON fantasme c’est de le remplir de mon foutre, c’est tout». J’enrage d’impuissance.

La tête de ce salaud de métèque à repris la place qu’elle avait tout à l’heure entre mes cuisses ouvertes, mais sa langue qui me lèche le trou du cul ne me fait pas du tout le même effet. Le salopard basané s’éloigne de mon trou de balle quelques instants, puis je sens qu’il m’y enfonce le goulot étroit de ce qui me semble être un flacon en plastique mou à l’embout caoutchouté qui y pénètre de quelques centimètres. Malgré tous mes efforts, l’écartèlement de mes cuisses et les mains de Jennifer m’empêchent de serrer les fesses pour protéger mon cul comme je le voudrais. Une longue giclée d’un liquide tiède et huileux me remplis le fondement avant que qu’il n’en retire l’embout. Ce foutu connard est en train de me lubrifier le cul pour pouvoir mieux m’enfiler. J’entends d’ailleurs un bruit de succion qui doit provenir d’un gel dont il enduit sa maudite barramine. Je contracte au maximum les muscles de mon sphincter pour faire barrage aux assauts futurs de son braquemart. Il ne m’aura pas! Mais presque tout de suite, une immense bouffée de chaleur envahit mon cul dont les parois se dilatent et deviennent brûlantes. Il doit m’avoir injecté une huile fortement pimentée, et maintenant je ne demanderais qu’une chose, c’est de pouvoir ouvrir mon cul plus grand et qu’on m’y coule un liquide glacé pour le refroidir. C’est le moment qu’il choisit pour pousser son gland d’acier dans la fleur de mon cul. Le gel qui le lubrifie doit être mentholé, car j’ai la sensation d’un piton de glace qui commence à apaiser l’entrée de mon cul et dont j’aimerais qu’il pénètre plus profond pour éteindre l’incendie qui l’embrase en entier.

Sentant ma résistance se transformer en désir soumis, Jennifer quitte sa position de tortionnaire, passe les fesses par dessus ma tête, m’autorisant du coup à redresser les épaules, prendre appui sur les avant bras et relever la tête. Renversée sur le dos, elle glisse ses jambes sous mon torse, saisit ma biroute à nouveau en pleine érection entre ses pieds et présente à ma vue sa chatte pulpeuse dont elle dégage avec les doigts les lèvres et le clitoris déjà bandant. Je comprends qu’elle veut aussi sa part du gâteau, et l’aide à se glisser sous moi jusqu’à encastrer ma grosse banane dans son con affamé et gourmand, ses jambes repliées, les genoux contre mes épaules.

Le mandrin de Bande Dur a lentement pénétré mon cul comme un piston, centimètre par centimètre, et je sens son gland qui bouscule ma prostate. Je dois bien m’avouer que ça m’excite à mort. Les contractions de sa grosse bite se transmettent aux parois de mon anus et je lui réponds en le resserrant sur elle au même rythme. Il entame ensuite un prudent va et vient qui fait coulisser son immense membre lubrifié et soyeux comme dans un fourreau parfaitement ajusté. Ses couilles se frottent aux miennes, m’en hérissant les poils. De mon côté, j’ai empoigné les fesses de J Lo et transmet à son bassin le même mouvement rythmé. J’ai l’impression que mon madrier furieusement stimulé prend autant de place que nos deux bites réunies dans la séance de tout à l’heure. En fait, je suis le seul à rester parfaitement immobile, toutes les parties de mon corps électrisées, alors que les deux autres s’activent à m’astiquer à fonds le cul et la queue d’avant en arrière. Mon violeur se met à accélérer la cadence des coups de boutoir dont il me ramone le trou de balle, son sac de couilles cognant en rythme contre le mien comme le battant d’une cloche. D’une main après l’autre, Il me claque furieusement les fesses. Nos trois corps sont maintenant embarqués dans un même va et vient frénétique qui affole mes sens. Avec un puissant râle, Tonio éjacule en un spasme violent et décharge un feu d’artifice de foutre qui m’expose dans le cul et en crépit le fonds, mais, trop abondant pour l’étroit espace laissé par son membre démesuré, déborde de mon anus distendu et coule sur mes burnes affolées. Jenny ne nous a pas attendu pour jouir et à déjà noyé mon braquemart de son jus abondant, secouée de spasmes qui éjectent ma bite de sa moule. Avec un brame puissant, je laisse à mon tour mon engin orphelin envoyer sa pleine dose de purée en longs jets laiteux à travers sa figure levée vers moi. Jenny suffoque mais agrippe ma lance de pompier à deux mains et l’enfourne dans sa bouche maculée de foutre pour en traire une dernière giclée. Je ressens un grand vide quand Antonio retire son engin gluant de mon cul rassasié.

Je m’affale sur la moquette, la bite encore dardée, saisissant au passage ma bouteille qui y avait roulé. J’asperge d’eau gazeuse ma queue et ma figure autant que j’en fais couler dans ma gorge desséchée. Je suis moulu, j’ai l’impression que tous mes muscles sont endoloris, j’en ai eu ma dose. Les deux autres sont écroulés sur un coté du lit dans le prolongement l’un de l’autre, l’air tout aussi rétamés que moi. Couchée sur le dos, elle a appuyé sa tête sur les cuisses du latino, qui gît sur le ventre, la tête sur un bras et l’autre pendant du lit.

Je me relève paresseusement, la verge un peu débandée, et m’approche du lit dans la pénombre, tous les muscles relâchés, les bras ballants. Debout au bord du lit, je laisse pendre une main molle qui trouve son chemin entre les cuisses entrouvertes de Jenny. Je laisse traîner nonchalamment ma main qui longe l’intérieur de ses cuisses, se perd quelques instants dans sa fourrure humide, avant que mes doigts n’atteignent sa fente poisseuse qu’ils écartent et remontent jusqu’à effleurer le clito. Mes doigts dessinent un sillon le long de son ventre mouillé, suivant la ligne de son sein dont il taquine doucement le bout assoupi, puis de son cou pour atteindre sa bouche dans laquelle ils se faufilent. Jennifer les happe et les suce gentiment. D’une main, elle attire ma queue vers sa bouche, y pose doucement les lèvres et murmure «Merci belle bite, revient quand tu veux». Ma main poursuit son chemin, caressant sa joue puis ses cheveux répandus sur les cuisses luisantes de Tonio entre lesquelles mes doigts se glissent avant d’atteindre la raie de son cul dans laquelle ils se plantent et qu’ils suivent lentement en glissant sans peine jusqu’au creux de ses reins détrempés. Du plat de la main, j’essuie son dos en sueur en remontant jusqu’à l’épaule que je presse affectueusement sous ma paume, pour finalement pousser mes doigts écartés en peigne en haut de sa nuque et rebrousser ses cheveux épais. Il lève mollement son bras pendant du lit, soulève du dos de la main mes couilles et mon sexe alanguis comme s’il voulait les soupeser, et me fait: «T’as pas l’air de trop m’en vouloir pour le baptême de ton cul, mon frère, c’est cool». Sans répondre, je me dirige sans hâte vers la porte, ramassant au passage mon peignoir que je jette sur mes épaules sans l’enfiler, et je me glisse hors de la pièce dont je referme la porte doucement après avoir vérifié que ma clé se trouve toujours dans la poche de ma robe de chambre. J’enregistre le numéro de la chambre: 369 – facile à retenir!

A la lumière crue, je réalise la vision obscène qu’aurait quelqu’un qui déboucherait dans le couloir: Mon corps est luisant de transpiration, les poils de ma queue, mon ventre et ma bite sont maculés de semences séchées, et de mon cul coule encore du foutre brunâtre le long de mes cuisses. Je presse le pas, m’engouffre dans ma chambre, balance mon peignoir et entre dans la douche. Le premier contact de l’eau glacée qui tombe sur ma tête et m’inonde le corps me saisit, mais je reste un long moment sans bouger sous cette pluie drue. Je me savonne avec vigueur, puis je règle la pomme de douche en position massage, la colle à mon anus et laisse le jet puissant me récurer le fondement. Complètement ragaillardi, je m’emballe voluptueusement dans un linge moelleux pour me sécher, me jette à poil sur le lit et m’endors presque aussitôt.

Soupçon

Les rayons du soleil qui pénètrent par la fenêtre m’ont à peine réveillé en me caressant les fesses que mon téléphone portable se met à vibrer sur la table de nuit. Je vois que c’est ma femme qui appelle et je décroche, toujours enfoncé dans les oreillers. Je suis content d’entendre sa voix enjouée: «Bonjour mon chou, bien dormi? Comment s’est passée ta soirée?» «Très calme, je suis resté dans ma chambre à me branler en regardant un DVD porno où une belle plante se faisait mettre par deux gars à la fois (assez bandant je dois dire), et puis j’ai dormi comme un bébé jusqu’il y a deux minutes». Je n’allais tout de même pas lui avouer que j’avais passé la nuit avec un couple inconnu à téter un braquemart, baiser couilles rabattues à deux bites dans le même trou et me faire bourrer le cul! «Et toi, passé une bonne journée ma puce?» «Pas mal, mais puisque tu me parle de porno, il faut que je t’avoue quelque chose: Hier matin, je suis allé à la mer. Je voulais bronzer nue dans la petite crique où nous allons des fois baiser à l’abri des regards, mais elle était déjà occupée. Tu sais, le jeune maître nageur sénégalais grand format dont tu dis toujours qu’avec les fesses qu’il a, il aurait meilleur temps de porter un string que son mini-slip rouge Ferrari qui ne les lui couvre qu’à moitié. Eh bien c’était lui qui était étendu à poil sur notre sable, mais il était pas seul. Il y avait aussi un blond aussi bien foutu que lui, et les deux balèzes se suçaient la bite avec ardeur. J’en suis restée bouche bée, tu peux me croire. Je me suis retirée sans être vue et je me suis installée en maillot sur la grande plage où je me suis assoupie. Mais il faut croire que le spectacle de ces deux mecs en train de se bouffer la queue m’a travaillé, parce que je suis partie dans un rêve cochon que j’ose à peine te raconter: J’étais de nouveau à la crique, cette fois avec les deux mecs, à califourchon sur les cuisses athlétiques du jeune blond qui s’était couché sur le sable. J’avais sa grosse bite bien emmanchée dans mon sexe, mais c’est pas tout, j’avais aussi la bouche pleine de la monstrueuse queue du négro, debout les jambes de part et d’autre de son copain, et je le suçais avec délice. Le grand black m’a ensuite contournée pour venir s’agenouiller derrière moi et me planter son engin démesuré dans le cul. Dans mon rêve, les coups de bélier des deux triques me décollaient du sol, et je jouissais en quasi lévitation. Quand je me suis réveillée, la culotte de mon maillot était trempée, et j’ai couru à la mer pour en cacher la raison et me rafraîchir. Alors, tu vois, heureusement que tu rentre demain, parce que j’ai énormément envie de baiser et de sentir ta queue en moi». Je l’assure que je serai à la hauteur de son attente et qu’elle ne perd rien pour attendre, je l’embrasse partout à distance et je raccroche.

Je reste songeur. Je me dis que son rêve que je visualise très clairement était un peu trop détaillé pour être honnête, et me prends à soupçonner que sa rencontre avec ces deux mecs montés comme des ânes s’est en fait réellement passée et qu’elle se les est vraiment envoyés par tous les orifices. Je dois admettre que cette idée m’excite au plus au point et je me prends à souhaiter que la crique revive ces instants en ma présence. Les images de son récit se mêlent à celles de ma nuit mouvementée et me foutent une trique monumentale. Je me dis que d’ici à ce soir je serai mûr pour une séance du style de celle d’hier avant de rentrer demain, mais peut-être que cette fois ce sera mon tour de décider quel culs se feront défoncer.

Sur le coin du bureau, je griffonne une petite note: Je laisserais bien ma biroute et mon cul défloré traîner encore à votre portée ce soir…Brad Bite, et la glisse dans une enveloppe de l’hôtel. Je jugule mon érection dans un slip propre et me sape en homme d’affaires dans mon costume Armani pour descendre prendre mon petit déjeuner. Comme je passe devant la chambre 369, je vois que la porte en est entrouverte. Je la pousse discrètement du pied pour guigner à l’intérieur, et constate avec surprise qu’elle est vide, les lits faits, sans aucune trace d’effets personnels. Je me précipite jusqu’à la réception et demande quand le couple qui occupait la chambre 369 est parti. La réceptionniste consulte son registre et me dit d’une voix surprise: «Mais Monsieur, je suis désolée, cette chambre n’a pas été louée ces deux dernières nuits». Perplexe et songeur (je ne peux pas avoir rêvé tout ça), je me dirige vers la salle à manger, passant devant un jeune type sanglé dans un costard bien coupé et dont le badge doré proclame fièrement qu’il dirige ce palace. Il me lance avec un sourire narquois: «Bonjour Monsieur, j’espère que votre séjour dans notre établissement comble vos attentes», c’est à ce moment que je reconnais avec surprise Bande Dur. Je lui rends son sourire et lui fais un clin d’œil appuyé mais je continue mon chemin sans répondre. L’hôtesse du restau m’accueille elle aussi avec le sourire et me demande mon numéro de chambre que je lui donne d’autant plus volontiers que c’est la J Lo de la nuit dernière.

La suite: Débauche bisexuelle au palace cinq étoiles: 2ème partie (de cul) 

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Par Tonio Bi - Publié dans : Récit Porno Bisexuel
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